Investing.com - La livre sterling a laissé l'avantage au dollar U.S. ce jeudi, l'émettrice de son adversaire n'ayant pourtant donné aucun signe d'une réduction prochaine de ses coups de pouce, tandis que les yeux se tournaient vers les prises de cap de la sienne et de la Banque Centrale Européenne.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5127 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5234, perdant 0,30%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à &,5079, son plancher du 19 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,5254, son plafond d'hier.
La Réserve Fédérale a quand à elle achevé hier ses deux jours de réunion en affirmant qu'elle poursuivrait ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats de prêts hypothécaires et d'obligations nationales, précisant que la croissance demeurait "modérée".
Les chiffres de l'emploi que les Etats-Unis diffuseront demain seront aussi sous surveillance, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail.
Le baromètre de la vigueur du secteur secondaire britannique établi le groupe de recherches économiques Markit grimpait quand à lui de 52,9 à 54,6 pour juillet, alors qu'un faux pas à 52,8 était redouté.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,21% pour se hisser à 0,8727.
Markit a aussi révélé que son indice de la vigueur des industries de l'Espagne avait connu un passage à vide depuis 50,0 vers 49,8 au cours du mois passé, retombant ainsi du mauvais côté de la barrière.
Les experts pensaient pourtant le voir s'élever à 50,9 pour la période considérée.
Les observateurs guettaient les conclusions du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre, le second sous l'égide de son nouveau gouverneur, Mark Carney.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5127 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5234, perdant 0,30%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à &,5079, son plancher du 19 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,5254, son plafond d'hier.
La Réserve Fédérale a quand à elle achevé hier ses deux jours de réunion en affirmant qu'elle poursuivrait ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats de prêts hypothécaires et d'obligations nationales, précisant que la croissance demeurait "modérée".
Les chiffres de l'emploi que les Etats-Unis diffuseront demain seront aussi sous surveillance, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail.
Le baromètre de la vigueur du secteur secondaire britannique établi le groupe de recherches économiques Markit grimpait quand à lui de 52,9 à 54,6 pour juillet, alors qu'un faux pas à 52,8 était redouté.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0,21% pour se hisser à 0,8727.
Markit a aussi révélé que son indice de la vigueur des industries de l'Espagne avait connu un passage à vide depuis 50,0 vers 49,8 au cours du mois passé, retombant ainsi du mauvais côté de la barrière.
Les experts pensaient pourtant le voir s'élever à 50,9 pour la période considérée.
Les observateurs guettaient les conclusions du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre, le second sous l'égide de son nouveau gouverneur, Mark Carney.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.