Investing.com - La livre sterling s'est élevée vers un sommet journalier ce mardi, grâce à de belles performances du secteur secondaire là où elle a lieu, alimentant l'optimisme concernant les perspectives économiques du pays.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5391 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 29 juillet, puis s'est stabilisée vers 1,5378, prenant 0,15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5332, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5412, son plafond déjà évoqué.
Le bureau britannique des statistiques a en effet révélé que la production manufacturée avait bondi de 1,9% en juin, pulvérisant les 0,9% espérés.
Elle a d'autre part gonflé de 2% d'une année sur l'autre, au lieu des 0,9% pressentis, alors qu'elle avait plongé de 2,9% en mai.
Il était aussi à noter que la production industrielle avait avait avancé de 1,1% après ajustement saisonnier au cours du sixième mois de l'année, au lieu des 0,6% envisagés.
Cette bonne nouvelle survenait au lendemain de l'annonce selon laquelle les prestataires de services du Royaume-Uni avaient connu le mois passé leur plus nette embellie en plus de six ans et demi, alors qu'il avait été indiqué la semaine dernière que les usines nationales avait connu en juillet leur plus belle embellie en deux ans et demi.
Mais le billet vert gardait cependant des couleurs après qu'il ait été montré hier que l'activité du domaine tertiaire américain avait connu en juillet sa plus forte amélioration en cinq mois.
L'institut de gestion des approvisionnements a ainsi déclaré que son indice des directeurs des achats non manufacturiers avait bondi depuis 52,2, sa pire valeur en trois ans, vers 56,0, grâce à une augmntation des nouvelles commandes.
Cette belle surprise a du coup aidé à faire oublier que les autorités américaines n'avaient compté vendredi que 162.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 184.000 était envisagée.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné quelques centimètres de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,05% pour glisser à 0,8630.
Sur le front européen, l'Allemagne comptait révéler aujourd'hui le volume des commandes passées auprès de ses usines, et les Etats-Unis faire de même concernant le solde de leur commerce extérieur.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5391 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 29 juillet, puis s'est stabilisée vers 1,5378, prenant 0,15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5332, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5412, son plafond déjà évoqué.
Le bureau britannique des statistiques a en effet révélé que la production manufacturée avait bondi de 1,9% en juin, pulvérisant les 0,9% espérés.
Elle a d'autre part gonflé de 2% d'une année sur l'autre, au lieu des 0,9% pressentis, alors qu'elle avait plongé de 2,9% en mai.
Il était aussi à noter que la production industrielle avait avait avancé de 1,1% après ajustement saisonnier au cours du sixième mois de l'année, au lieu des 0,6% envisagés.
Cette bonne nouvelle survenait au lendemain de l'annonce selon laquelle les prestataires de services du Royaume-Uni avaient connu le mois passé leur plus nette embellie en plus de six ans et demi, alors qu'il avait été indiqué la semaine dernière que les usines nationales avait connu en juillet leur plus belle embellie en deux ans et demi.
Mais le billet vert gardait cependant des couleurs après qu'il ait été montré hier que l'activité du domaine tertiaire américain avait connu en juillet sa plus forte amélioration en cinq mois.
L'institut de gestion des approvisionnements a ainsi déclaré que son indice des directeurs des achats non manufacturiers avait bondi depuis 52,2, sa pire valeur en trois ans, vers 56,0, grâce à une augmntation des nouvelles commandes.
Cette belle surprise a du coup aidé à faire oublier que les autorités américaines n'avaient compté vendredi que 162.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 184.000 était envisagée.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné quelques centimètres de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,05% pour glisser à 0,8630.
Sur le front européen, l'Allemagne comptait révéler aujourd'hui le volume des commandes passées auprès de ses usines, et les Etats-Unis faire de même concernant le solde de leur commerce extérieur.