Investing.com - L'euro était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, suite à la révélation de performances encourageantes de la part de l'Allemagne, son blason se trouvant redoré par l'espoir d'avancées décisives lors de la réunion des chefs d'état de l'Union Européenne de cette semaine.
En début de seconde partie de séance européenne, le dollar U.S. a fléchi pour le laisser atteindre un pic de plus d'une semaine, l'EUR/USD engrangeant 0.51% pour grimper à 1.3013.
Le centre de recherches économiques ZEW a pour sa part fait savoir que son baromètre du climat économique de l'Allemagne était remonté ce mois-ci depuis -18.2 vers -11.5, au lieu des -15 espérés.
Le sommet de l'Union Européenne prévu jeudi restait au centre des débats, avec l'espoir que l'Espagne finisse par accepter l'aide de ses partenaires régionaux dans les prochaines semaines.
Elle activerait ainsi le programme de la Banque Centrale Européenne destiné à abaisser les coûts des emprunts des membres périphériques du bloc euro.
Des représentants du gouvernement grec avaient toutefois fait savoir hier qu'un accord avec les bailleurs de fonds internationaux avait peu de chances d'être trouvé avant cette rencontre.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.42% pour se hisser à 0.8091.
Le bureau national des statistiques du Royaume-Uni quand à lui déclaré que l'inflation au détail britannique s'était limitée à 2.2% le mois dernier, sa valeur la plus faible depuis novembre 2009, contre 2.5% en août.
Ce ralentissement pourrait permettre à la Banque d'Angleterre de disposer de davantage de marge pour procéder à des accomodements destinés à encourager la croissance d'une économie chancelante.
Le yen a également subi sa pression, l'EUR/JPY bondissant de 0.77% pour se retrouver à 102.6, mais le franc suisse y a mieux résisté, l'EUR/CHF n'arrachant que 0.06% pour frémir à 1.209.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont aussi éprouvé sa domination, l'EUR/AUD prenant 0.27% pour monter à 1.2663, l'EUR/CAD s'élevant de 0.93% pour caracoler à 1.2819 et l'EUR/NZD raflant 1.1% pour culminer à 1.5987.
Celle de l'Australie gardait toutefois des couleurs après que le compte-rendu de la réunion tenue en début de mois par la banque centrale nationale ait laissé entendre qu'elle estimait possible de renouveler les diminution des taux d'intérêt, suite à la révision à la baisse des perspectives d'expansion économique découlant d'un passage à vide de l'industrie minière.
Un rapport émanant des autorités de Nouvelle-Zélande indiquait par contre que l'inflation du pays s'était limitée à 0.3% pour le troisième trimestre, au lieu des 0.6% prédits.
Le gouvernement américain comptait de son côté fournir en fin de journée ses informations au sujet des variations des prix proposés dans les magasins et de la production industrielle.
En début de seconde partie de séance européenne, le dollar U.S. a fléchi pour le laisser atteindre un pic de plus d'une semaine, l'EUR/USD engrangeant 0.51% pour grimper à 1.3013.
Le centre de recherches économiques ZEW a pour sa part fait savoir que son baromètre du climat économique de l'Allemagne était remonté ce mois-ci depuis -18.2 vers -11.5, au lieu des -15 espérés.
Le sommet de l'Union Européenne prévu jeudi restait au centre des débats, avec l'espoir que l'Espagne finisse par accepter l'aide de ses partenaires régionaux dans les prochaines semaines.
Elle activerait ainsi le programme de la Banque Centrale Européenne destiné à abaisser les coûts des emprunts des membres périphériques du bloc euro.
Des représentants du gouvernement grec avaient toutefois fait savoir hier qu'un accord avec les bailleurs de fonds internationaux avait peu de chances d'être trouvé avant cette rencontre.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.42% pour se hisser à 0.8091.
Le bureau national des statistiques du Royaume-Uni quand à lui déclaré que l'inflation au détail britannique s'était limitée à 2.2% le mois dernier, sa valeur la plus faible depuis novembre 2009, contre 2.5% en août.
Ce ralentissement pourrait permettre à la Banque d'Angleterre de disposer de davantage de marge pour procéder à des accomodements destinés à encourager la croissance d'une économie chancelante.
Le yen a également subi sa pression, l'EUR/JPY bondissant de 0.77% pour se retrouver à 102.6, mais le franc suisse y a mieux résisté, l'EUR/CHF n'arrachant que 0.06% pour frémir à 1.209.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont aussi éprouvé sa domination, l'EUR/AUD prenant 0.27% pour monter à 1.2663, l'EUR/CAD s'élevant de 0.93% pour caracoler à 1.2819 et l'EUR/NZD raflant 1.1% pour culminer à 1.5987.
Celle de l'Australie gardait toutefois des couleurs après que le compte-rendu de la réunion tenue en début de mois par la banque centrale nationale ait laissé entendre qu'elle estimait possible de renouveler les diminution des taux d'intérêt, suite à la révision à la baisse des perspectives d'expansion économique découlant d'un passage à vide de l'industrie minière.
Un rapport émanant des autorités de Nouvelle-Zélande indiquait par contre que l'inflation du pays s'était limitée à 0.3% pour le troisième trimestre, au lieu des 0.6% prédits.
Le gouvernement américain comptait de son côté fournir en fin de journée ses informations au sujet des variations des prix proposés dans les magasins et de la production industrielle.