Investing.com - Le dollar U.S. était nettement en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, l'espoir que les élus américains réussissent à trouver un compromis afin de dissiper l'ombre de la catastrophe budgétaire pesant sur le pays renforçant la désirabilité des valeurs les plus risquées.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.35% pour grimper à 1.3265.
L'attention restait d'autre part concentrée sur les négociations visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires pour un total avoisinant 600 milliards d'USD.
Le président Barack Obama compte rentrer aujourd'hui de ses vacances afin de pouvoir prendre part à Washington aux débats destinés à l'éviter, avec les deux chambres du parlement qui reprendront aussi du service.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.24% pour se hisser à 1.6176.
Des informations émanant de spécialistes avaient auparavant révélé que le nombre des prêts hypothécaires accordés dans le Royaume-Uni avait moins augmenté en novembre qu'espéré, le situant à 33 600 au lieu des 33 100 précédents, alors que les experts espéraient qu'il irait jusqu'à 34 600 pour la période considérée.
Le yen a d'autre part subi sa pression, l'USD/JPY engrangeant 0.1% pour se retrouver à 85.71, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.28% pour tomber à 0.9108.
La devise du pays du soleil levant restait sur la sellette après que Shinzo Abe ait été formellement intronisé hier par les députés nippons, alors qu'il avait récemment exhorté la Banque du Japon à procéder à des injections de liquidités illimitées de manière à lutter contre la déflation et à redonner un coup de fouet à une économie durement frappée par la récession.
Taro Aso, nouveau ministre des finances, a quand à lui déclaré à l'aube qu'il lui avait demandé de mettre au point une série de mesures stimulatrices ne respectant pas les limites d'émissions de bons du trésor précédemment admises, tandis que son collègue de l'économie Akira Amari estimait que l'unité monétaire nationale commençait à approcher un niveau réaliste grâce à son récent dérapage, et qu'il était important de poursuivre sur cette voie.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD régressant de 0.27% pour aller vers 0.9917, l'AUD/USD trébuchant de 0.01% pour descendre à 1.0377 et le NZD/USD engrangeant 0.19% pour culminer à 0.8213.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.27% pour se situer à 79.49.
Les Etats-Unis comptent de leur coté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec des informations concernant les ventes de logements neufs et la confiance des consommateurs.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.35% pour grimper à 1.3265.
L'attention restait d'autre part concentrée sur les négociations visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires pour un total avoisinant 600 milliards d'USD.
Le président Barack Obama compte rentrer aujourd'hui de ses vacances afin de pouvoir prendre part à Washington aux débats destinés à l'éviter, avec les deux chambres du parlement qui reprendront aussi du service.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.24% pour se hisser à 1.6176.
Des informations émanant de spécialistes avaient auparavant révélé que le nombre des prêts hypothécaires accordés dans le Royaume-Uni avait moins augmenté en novembre qu'espéré, le situant à 33 600 au lieu des 33 100 précédents, alors que les experts espéraient qu'il irait jusqu'à 34 600 pour la période considérée.
Le yen a d'autre part subi sa pression, l'USD/JPY engrangeant 0.1% pour se retrouver à 85.71, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.28% pour tomber à 0.9108.
La devise du pays du soleil levant restait sur la sellette après que Shinzo Abe ait été formellement intronisé hier par les députés nippons, alors qu'il avait récemment exhorté la Banque du Japon à procéder à des injections de liquidités illimitées de manière à lutter contre la déflation et à redonner un coup de fouet à une économie durement frappée par la récession.
Taro Aso, nouveau ministre des finances, a quand à lui déclaré à l'aube qu'il lui avait demandé de mettre au point une série de mesures stimulatrices ne respectant pas les limites d'émissions de bons du trésor précédemment admises, tandis que son collègue de l'économie Akira Amari estimait que l'unité monétaire nationale commençait à approcher un niveau réaliste grâce à son récent dérapage, et qu'il était important de poursuivre sur cette voie.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD régressant de 0.27% pour aller vers 0.9917, l'AUD/USD trébuchant de 0.01% pour descendre à 1.0377 et le NZD/USD engrangeant 0.19% pour culminer à 0.8213.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.27% pour se situer à 79.49.
Les Etats-Unis comptent de leur coté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec des informations concernant les ventes de logements neufs et la confiance des consommateurs.