Investing.com - L'euro était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce lundi, le moral général ayant progressé, bien que les craintes concernant les perspectives de croissance de la zone euro ne jugulent toute velléité d'envolée.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. fléchissait tout de même devant lui, l'EUR/USD grignotant 0.14% pour se hisser à 1.3359.
L'angoisse d'un retour en récession de la zone euro avait été ravivée ce matin par ses autorités, avouant que le taux de chômage y avait atteint sans surprise en février un nouveau sommet historique à 10.8%, contre 10.7% auparavant.
Les ministres des finances de la région s'étaient mis d'accord vendredi pour renforcer le pare-feu antidette, mais l'incertitude concernant la capacité de celui-ci à empêcher la contamination de l'Espagne et de l'Italie demeurait palpable.
La livre sterling lui a par contre faitt céder quelques pouces de terrain, l'EUR/GBP trébuchant de 0.03% pour glisser à 0.8327.
La devise de la Grande-Bretagne avait été largement renforcée par un rapport montrant que l'activité manufacturière nationale avait connu en mars son augmentation le plus rapide des dix derniers mois.
L'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier britannique s'est en effet élevé le mois dernier depuis les 51.5 revus à la hausse de février vers 52.1, prenant de court les experts tablant sur un recul à 50.5.
Le yen l'a faite céder sous sa pression, mais pas le franc suisse, l'EUR/JPY se laissant saper 0.01% pour ployer à 110.56 et l'EUR/CHF arrachant 0.02% pour grimper à 1.2042.
Le devise nippone avait connu en début de matinée un passage à vide suite à un indice du moral manufacturier japonais ayant davantage diminué que prévu au premier trimestre, ravivant la crainte que la Banque du Japon ne procède à de nouveau assouplissements monétaires.
Un rapport helvétique signalait de son côté que l'activité du secteur secondaire avait augmenté en mars pour la première fois en sept mois, et ce de manière supérieure aux attentes.
Un autre soulignait toutefois que les ventes au détail du pays avaient moins progressé qu'espéré en février.
Ses homologues australienne, et néo-zélandaise l'ont par contre toutes trois dominée, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD perdant 0.32% pour tomber à 1.2851, l'EUR/CAD arrachant 0.06% pour culminer à 1.3322 et l'EUR/NZD chutant de 0.03% pour se retrouver à 1.6288.
Le dollar australien s'était trouvé soutenu après qu'il ait été montré en fin de semaine que l'activité du secteur manufacturier chinois s'était envolée en mars vers un pic des 11 derniers mois, apaisant l'angoisse d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale, et première importatrice de produits de l'Australie.
Les autorités de cette dernière également avaient fait savoir ce matin que le nombre des permis de construire avait diminué sans crier gare en février, plongeant de 7.8% après avoir pourtant gagné 1.1% le mois précédent.
Les Etats-Unis devraient quand à eux voir l'institut de gestion des approvisionnements ISM dévoiler cet après-midi ses résultats de l'activité manufacturière nationale.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. fléchissait tout de même devant lui, l'EUR/USD grignotant 0.14% pour se hisser à 1.3359.
L'angoisse d'un retour en récession de la zone euro avait été ravivée ce matin par ses autorités, avouant que le taux de chômage y avait atteint sans surprise en février un nouveau sommet historique à 10.8%, contre 10.7% auparavant.
Les ministres des finances de la région s'étaient mis d'accord vendredi pour renforcer le pare-feu antidette, mais l'incertitude concernant la capacité de celui-ci à empêcher la contamination de l'Espagne et de l'Italie demeurait palpable.
La livre sterling lui a par contre faitt céder quelques pouces de terrain, l'EUR/GBP trébuchant de 0.03% pour glisser à 0.8327.
La devise de la Grande-Bretagne avait été largement renforcée par un rapport montrant que l'activité manufacturière nationale avait connu en mars son augmentation le plus rapide des dix derniers mois.
L'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier britannique s'est en effet élevé le mois dernier depuis les 51.5 revus à la hausse de février vers 52.1, prenant de court les experts tablant sur un recul à 50.5.
Le yen l'a faite céder sous sa pression, mais pas le franc suisse, l'EUR/JPY se laissant saper 0.01% pour ployer à 110.56 et l'EUR/CHF arrachant 0.02% pour grimper à 1.2042.
Le devise nippone avait connu en début de matinée un passage à vide suite à un indice du moral manufacturier japonais ayant davantage diminué que prévu au premier trimestre, ravivant la crainte que la Banque du Japon ne procède à de nouveau assouplissements monétaires.
Un rapport helvétique signalait de son côté que l'activité du secteur secondaire avait augmenté en mars pour la première fois en sept mois, et ce de manière supérieure aux attentes.
Un autre soulignait toutefois que les ventes au détail du pays avaient moins progressé qu'espéré en février.
Ses homologues australienne, et néo-zélandaise l'ont par contre toutes trois dominée, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD perdant 0.32% pour tomber à 1.2851, l'EUR/CAD arrachant 0.06% pour culminer à 1.3322 et l'EUR/NZD chutant de 0.03% pour se retrouver à 1.6288.
Le dollar australien s'était trouvé soutenu après qu'il ait été montré en fin de semaine que l'activité du secteur manufacturier chinois s'était envolée en mars vers un pic des 11 derniers mois, apaisant l'angoisse d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale, et première importatrice de produits de l'Australie.
Les autorités de cette dernière également avaient fait savoir ce matin que le nombre des permis de construire avait diminué sans crier gare en février, plongeant de 7.8% après avoir pourtant gagné 1.1% le mois précédent.
Les Etats-Unis devraient quand à eux voir l'institut de gestion des approvisionnements ISM dévoiler cet après-midi ses résultats de l'activité manufacturière nationale.