Investing.com - L'euro n'a guère évolué face au dollar U.S. et au yen ce mercredi, l'espoir s'amenuisant de voir des avancées concrètes dans la lutte contre le problème du surendettement régional se matérialiser au cours de la rencontre de l'Union Européenne de demain.
En fin de première partie de séance européenne, il a oscillé entre légers gains et pertes minimes contre le billet vert, l'EUR/USD arrachant 0.01% pour se hisser à 1.2495.
Les probabilités d'apparition de solutions à la crise de la dette semblaient s'évanouir à l'approche de la réunion des chefs des états membres de l'UE, alors qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, avait martelé hier son opposition à l'émission d'Eurobons du trésor mutualisés.
Sa discussion d'aujourd'hui avec le président français François Hollande, en préambule de la rencontre européenne des deux prochains jours, était toutefois surveillée de près.
L'Italie a pour sa part vu ce matin les coûts de ses emprunts s'élever à leur plus haut niveau depuis décembre lors d'une adjudication de dettes à six mois.
Rome a en effet émis la totalité des 9 milliards d'euros visés, à un taux moyen de 2.95%, contre 2.1% le mois dernier.
Le yen et le franc suisse ont également exercé leur pression, l'EUR/JPY trébuchant de 0.03% pour glisser à 99.32 et l'EUR/CHF laissant échapper 0.01% pour descendre à 1.2009.
La livre sterling lui a par contre cédé quelques pouces de terrain, l'EUR/GBP grignotant 0.05% pour grimper à 0.7991.
La devise de la Grande-Bretagne tenait bon malgré les rumeurs grandissantes de nouvelles injections de capitaux de la part de la Banque d'Angleterre, qui serviraient à renflouer une croissance à la dérive.
Mervyn King, gouverneur de cette dernière, avait affirmé mardi que les perspectives économiques britanniques s'étaient détériorées ces dernières semaines en raison de l'extension la crise de la dette de la zone euro et qu'une baisse des taux d'intérêt serait moins effective dans un rôle de stimulation de l'économie que des apports de liquidités supplémentaires.
Il n'en a pas été de même avec son homologue australienne, mais la canadienne et la néo-zélandaise se trouvaient toutefois dominées, l'EUR/AUD régressant de 0.08% pour tomber à 1.2404, l'EUR/CAD prenant 0.1% pour monter à 1.2806 et l'EUR/NZD gagnant 0.11% pour s'élever à 1.5811.
Une étude officielle avait auparavant annoncé que l'excédent du commerce extérieur de la Nouvelle-Zélande était descendu à 301 millions de NZD en mai, contre 335 millions après révision auparavant, dépassant toutefois légèrement les 300 millions attendus.
Les Etats-Unis publieront de leur côté cet après-midi le volume des commandes de biens durables mesuré par les autorités, sans oublier des chiffres d'experts sur les ventes de logements en cours et l'inventaire gouvernemental des réserves pétrolières nationales.
En fin de première partie de séance européenne, il a oscillé entre légers gains et pertes minimes contre le billet vert, l'EUR/USD arrachant 0.01% pour se hisser à 1.2495.
Les probabilités d'apparition de solutions à la crise de la dette semblaient s'évanouir à l'approche de la réunion des chefs des états membres de l'UE, alors qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, avait martelé hier son opposition à l'émission d'Eurobons du trésor mutualisés.
Sa discussion d'aujourd'hui avec le président français François Hollande, en préambule de la rencontre européenne des deux prochains jours, était toutefois surveillée de près.
L'Italie a pour sa part vu ce matin les coûts de ses emprunts s'élever à leur plus haut niveau depuis décembre lors d'une adjudication de dettes à six mois.
Rome a en effet émis la totalité des 9 milliards d'euros visés, à un taux moyen de 2.95%, contre 2.1% le mois dernier.
Le yen et le franc suisse ont également exercé leur pression, l'EUR/JPY trébuchant de 0.03% pour glisser à 99.32 et l'EUR/CHF laissant échapper 0.01% pour descendre à 1.2009.
La livre sterling lui a par contre cédé quelques pouces de terrain, l'EUR/GBP grignotant 0.05% pour grimper à 0.7991.
La devise de la Grande-Bretagne tenait bon malgré les rumeurs grandissantes de nouvelles injections de capitaux de la part de la Banque d'Angleterre, qui serviraient à renflouer une croissance à la dérive.
Mervyn King, gouverneur de cette dernière, avait affirmé mardi que les perspectives économiques britanniques s'étaient détériorées ces dernières semaines en raison de l'extension la crise de la dette de la zone euro et qu'une baisse des taux d'intérêt serait moins effective dans un rôle de stimulation de l'économie que des apports de liquidités supplémentaires.
Il n'en a pas été de même avec son homologue australienne, mais la canadienne et la néo-zélandaise se trouvaient toutefois dominées, l'EUR/AUD régressant de 0.08% pour tomber à 1.2404, l'EUR/CAD prenant 0.1% pour monter à 1.2806 et l'EUR/NZD gagnant 0.11% pour s'élever à 1.5811.
Une étude officielle avait auparavant annoncé que l'excédent du commerce extérieur de la Nouvelle-Zélande était descendu à 301 millions de NZD en mai, contre 335 millions après révision auparavant, dépassant toutefois légèrement les 300 millions attendus.
Les Etats-Unis publieront de leur côté cet après-midi le volume des commandes de biens durables mesuré par les autorités, sans oublier des chiffres d'experts sur les ventes de logements en cours et l'inventaire gouvernemental des réserves pétrolières nationales.