Investing.com - L'euro n'a pas eu à rougir face à la plupart de ses concurrents ce mardi, bénéficiant du soutien de la réussite des adjudications de dettes néerlandaises, malgré le scepticisme dû à la hausse des coûts des emprunts espagnols et italiens lors d'opérations similaires.
En fin de première partie de séance européenne, il n'a presque pas fléchi sous le dollar U.S. avec un couple EUR/USD trébuchant de 0.01% pour descendre à 1.3155.
L'Espagne a en effet écoulé 725 millions d'euros en bons à trois mois à 0.63%, contre 0.38% en mars, et 1.2 milliards à six mois à 1.58%, contre 0.83% le mois dernier.
Cet évènement survenait au lendemain de l'aveu par le Banque d'Espagne que le pays était rentré en récession, son produit intérieur brut ayant régressé de 0.4% au cours des trois mois achevés en mars, et ce après une stagnation au troisième trimestre 2011 et une contraction de 0.3% au quatrième.
L'Italie a pour sa part écoulé 3.34 milliards d'obligations gouvernementales à leur taux le plus élevé depuis janvier.
Le moral a toutefois reçu un signe positif des Pays-Bas, qui ont pour leur part réussi leur adjudication de 1.99 milliards d'euros d'emprunts à deux et vingt-cinq ans.
Cette manoeuvre était très surveillée, sur fond de crainte d'une perte par le pays de sa notation monétaire triple A suite à l'effondrement lundi de son gouvernement, découlant de l'échec des pourparlers concernant le budget d'austérité pour 2013.
La monnaie unique se maintenait juste au-dessus de son ornière des 20 derniers mois coontre une livre sterling largement renforcée, l'EUR/GBP cédant 0.09% pour glisser à 0.8148.
Une étude officielle britannique avait auparavant indiqué que les emprunts du secteur public avaient davantage augmenté le mois dernier qu'il n'avait été prévu, le rapport entre l'endettement et le produit intérieur brut du pays s'élevant à 8.3%, son plus haut niveau historique.
Le bureau national des statistiques a en effet révélé qu'ils étaient passés pour mars de 17.95 à 18.17 milliards de GBP d'une année sur l'autre, alors que seulement 14.4 milliards étaient attendus.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait soutenue par les attentes de stimuli monétaires qui proviendraient de la Banque d'Angleterre en repli.
Le yen a légèrement subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'EUR/GBP grignotant 0.03% pour se hisser à 106.82 et l'EUR/CHF se rétractant de 0.01% pour reprendre pied à 1.2019.
L'excédent du commerce extérieur helvète a pour sa part baissé de 2.61 milliards de CHF en février à 1.69 milliards pour le mois dernier, l'import ayant retrouvé de la vigueur après son passage à vide précédent.
Ses homologues australienne et néo-zélandais se sont pour leur part trouvées dominées, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD gagnant 0.38% pour grimper à 1.2797, l'EUR/CAD laissant échapper 0.06% pour déraper à 1.3034 et l'EUR/NZD prenant 0.12% pour monter à 1.619.
Le dollar australien s'est trouvé en mauvaise posture après que des chiffres émanant des autorités de l'Australie aient montré ce matin que les prix au détail n'avaient augmenté que de 0.1% au premier trimestre, au lieu des 0.7% prévus, renforçant la probabilité d'une baisse des taux de la banque centrale du pays lors de sa réunion prévue pour la semaine prochaine.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part divulguer cet après-midi un rapport sur l'inflation des coûts des logements, tandis que le groupe de recherches Conference Board publiera son baromètre de la confiance des consommateurs, imité par le gouvernement concernant le volume des ventes d'habitations neuves.
En fin de première partie de séance européenne, il n'a presque pas fléchi sous le dollar U.S. avec un couple EUR/USD trébuchant de 0.01% pour descendre à 1.3155.
L'Espagne a en effet écoulé 725 millions d'euros en bons à trois mois à 0.63%, contre 0.38% en mars, et 1.2 milliards à six mois à 1.58%, contre 0.83% le mois dernier.
Cet évènement survenait au lendemain de l'aveu par le Banque d'Espagne que le pays était rentré en récession, son produit intérieur brut ayant régressé de 0.4% au cours des trois mois achevés en mars, et ce après une stagnation au troisième trimestre 2011 et une contraction de 0.3% au quatrième.
L'Italie a pour sa part écoulé 3.34 milliards d'obligations gouvernementales à leur taux le plus élevé depuis janvier.
Le moral a toutefois reçu un signe positif des Pays-Bas, qui ont pour leur part réussi leur adjudication de 1.99 milliards d'euros d'emprunts à deux et vingt-cinq ans.
Cette manoeuvre était très surveillée, sur fond de crainte d'une perte par le pays de sa notation monétaire triple A suite à l'effondrement lundi de son gouvernement, découlant de l'échec des pourparlers concernant le budget d'austérité pour 2013.
La monnaie unique se maintenait juste au-dessus de son ornière des 20 derniers mois coontre une livre sterling largement renforcée, l'EUR/GBP cédant 0.09% pour glisser à 0.8148.
Une étude officielle britannique avait auparavant indiqué que les emprunts du secteur public avaient davantage augmenté le mois dernier qu'il n'avait été prévu, le rapport entre l'endettement et le produit intérieur brut du pays s'élevant à 8.3%, son plus haut niveau historique.
Le bureau national des statistiques a en effet révélé qu'ils étaient passés pour mars de 17.95 à 18.17 milliards de GBP d'une année sur l'autre, alors que seulement 14.4 milliards étaient attendus.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait soutenue par les attentes de stimuli monétaires qui proviendraient de la Banque d'Angleterre en repli.
Le yen a légèrement subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'EUR/GBP grignotant 0.03% pour se hisser à 106.82 et l'EUR/CHF se rétractant de 0.01% pour reprendre pied à 1.2019.
L'excédent du commerce extérieur helvète a pour sa part baissé de 2.61 milliards de CHF en février à 1.69 milliards pour le mois dernier, l'import ayant retrouvé de la vigueur après son passage à vide précédent.
Ses homologues australienne et néo-zélandais se sont pour leur part trouvées dominées, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD gagnant 0.38% pour grimper à 1.2797, l'EUR/CAD laissant échapper 0.06% pour déraper à 1.3034 et l'EUR/NZD prenant 0.12% pour monter à 1.619.
Le dollar australien s'est trouvé en mauvaise posture après que des chiffres émanant des autorités de l'Australie aient montré ce matin que les prix au détail n'avaient augmenté que de 0.1% au premier trimestre, au lieu des 0.7% prévus, renforçant la probabilité d'une baisse des taux de la banque centrale du pays lors de sa réunion prévue pour la semaine prochaine.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part divulguer cet après-midi un rapport sur l'inflation des coûts des logements, tandis que le groupe de recherches Conference Board publiera son baromètre de la confiance des consommateurs, imité par le gouvernement concernant le volume des ventes d'habitations neuves.