Investing.com - L'euro était timide face à la plupart de ses concurrents ce mardi, les intertitudes découlant des débats concernant la restructuration de la dette grecque le tirant vers le bas malgré le soutien d'un indice des directeurs des achats supérieur aux attentes et du succès des enchères de dettes espagnoles.
En fin de première séance européenne, le billet vert ne l'avait presque pas fait fléchir, l'EUR/USD trébuchant de 0.01% pour glisser à 1.3012.
Après leur réunion d'hier, les ministres des finances de l'Union Européenne ont refusé d'accorder aux créanciers privés de la Grèce un taux de 4% aux obligations à plus long terme proposées afin de remplacer celles actuellement détenues, prolongeant les négociations sur la question.
Des résultats officiels avaient auparavant indiqué que les nouvelles commandes auprès des industries avaient diminué en novembre, bien que leur chute ait été moins importante qu'il n'avait été craint.
La devise européenne avait auparavant été encouragée par une étude préliminaire montrant que l'activité manufacturière régionale avait réalisé pour janvier sa croissance la plus rapide depuis août, apaisant l'angoisse des conséquences du problème du surendettement sur son économie.
Celui du secteur tertiaire de la zone euro s'est quand à lui hissé jusqu'à un pic des cinq derniers mois dans le même temps.
D'autres résultats avaient dependant indiqué que les nouvelles commandes auprès des industries avaient diminué en novembre, bien que leur chute ait été moins importante qu'il n'avait été craint.
L'Espagne avait pour sa part émis pour 2.51 milliards d'euros d'obligations à court terme en début de journée, rencontrant une forte demande à des taux en nette baisse.
Cette vente survenait au lendemain de l'aveur par la Banque d'Espagne de la probabilité que le produit intérieur brut du pays ne fonde de 1.5% en 2012, puis connaisse une "reprise modérée" de 0.2% en 2013.
Elle a cédé quelques pouces terrain à la livre sterling, mais par à la valeur refuge qu'est le yen, l'EUR/GBP se laissant grignoter 0.02% pour glisser à 0.8358 et l'EUR/JPY gagnant 0.37% pour grimper à 100.6.
Une étude émanant des autorités avait auparavant signalé que les emprunts nets du secteur public du Royaume-Uni avaient moins progressé en décembre qu'il n'avait été prévu, mais que le total des dettes encourues avait dépassé le billion de GBP pour la toute première fois.
La Banque du Japon avait maintenu ce matin son taux d'intérêt de base aux abords de zéro, revoyant par contre ses prévisions de croissance pour l'année fiscale en cours ainsi que les prochaines à la baisse, invoquant la crise de la dette souveraine de la zone euro, désignée comme principale menace pesant sur l'économie mondiale.
Elle a vaillamment résisté à la pression du franc suisse, l'EUR/CHF trébuchant de 0.05% pour tomber à 1.2064.
Elle s'est cependant éloignée de ses planchers historiques par rapport à ses homologues australienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD s'élevant de 0.53% pour culminer à 1.2432 et l'EUR/NZD prenant 0.18% pour monter à 1.6093.
Il en a été de même avec le dollar canadien, l'EUR/CAD arrachant 0.34% pour se situer à 1.3167.
Les ministres des finances de l'Union Européenne avaient quand à eux prévu de tenir de nouveaux pourparlers à Bruxelles tout au long de la journée.
En fin de première séance européenne, le billet vert ne l'avait presque pas fait fléchir, l'EUR/USD trébuchant de 0.01% pour glisser à 1.3012.
Après leur réunion d'hier, les ministres des finances de l'Union Européenne ont refusé d'accorder aux créanciers privés de la Grèce un taux de 4% aux obligations à plus long terme proposées afin de remplacer celles actuellement détenues, prolongeant les négociations sur la question.
Des résultats officiels avaient auparavant indiqué que les nouvelles commandes auprès des industries avaient diminué en novembre, bien que leur chute ait été moins importante qu'il n'avait été craint.
La devise européenne avait auparavant été encouragée par une étude préliminaire montrant que l'activité manufacturière régionale avait réalisé pour janvier sa croissance la plus rapide depuis août, apaisant l'angoisse des conséquences du problème du surendettement sur son économie.
Celui du secteur tertiaire de la zone euro s'est quand à lui hissé jusqu'à un pic des cinq derniers mois dans le même temps.
D'autres résultats avaient dependant indiqué que les nouvelles commandes auprès des industries avaient diminué en novembre, bien que leur chute ait été moins importante qu'il n'avait été craint.
L'Espagne avait pour sa part émis pour 2.51 milliards d'euros d'obligations à court terme en début de journée, rencontrant une forte demande à des taux en nette baisse.
Cette vente survenait au lendemain de l'aveur par la Banque d'Espagne de la probabilité que le produit intérieur brut du pays ne fonde de 1.5% en 2012, puis connaisse une "reprise modérée" de 0.2% en 2013.
Elle a cédé quelques pouces terrain à la livre sterling, mais par à la valeur refuge qu'est le yen, l'EUR/GBP se laissant grignoter 0.02% pour glisser à 0.8358 et l'EUR/JPY gagnant 0.37% pour grimper à 100.6.
Une étude émanant des autorités avait auparavant signalé que les emprunts nets du secteur public du Royaume-Uni avaient moins progressé en décembre qu'il n'avait été prévu, mais que le total des dettes encourues avait dépassé le billion de GBP pour la toute première fois.
La Banque du Japon avait maintenu ce matin son taux d'intérêt de base aux abords de zéro, revoyant par contre ses prévisions de croissance pour l'année fiscale en cours ainsi que les prochaines à la baisse, invoquant la crise de la dette souveraine de la zone euro, désignée comme principale menace pesant sur l'économie mondiale.
Elle a vaillamment résisté à la pression du franc suisse, l'EUR/CHF trébuchant de 0.05% pour tomber à 1.2064.
Elle s'est cependant éloignée de ses planchers historiques par rapport à ses homologues australienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD s'élevant de 0.53% pour culminer à 1.2432 et l'EUR/NZD prenant 0.18% pour monter à 1.6093.
Il en a été de même avec le dollar canadien, l'EUR/CAD arrachant 0.34% pour se situer à 1.3167.
Les ministres des finances de l'Union Européenne avaient quand à eux prévu de tenir de nouveaux pourparlers à Bruxelles tout au long de la journée.