Investing.com - L'euro s'est retrouvé en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi, l'euphorie ayant initialement accueilli les nouvelles mesures de lutte contre la crise de la dette de la zone euro s'étant dissipée pour laisser la place à des perspectives mondiales inquiétantes.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.31% pour tomber à 1.2622.
Les chefs des états membres de l'Union Européenne ont en effet décidé vendredi, après deux jours de pourparlers, d'utiliser les capitaux de secours pour la zone euro pour renflouer directement les banques à la dérive, évitant ainsi d'alourdir encore le fardeau des états.
Ils doivent aussi mettre en place une autorité financière conjointe pour la région.
La nouvelle a entraîné un large rebond, l'attente d'avancées majeures pour combattre le problème du surendettement régional ayant presque disparu à l'orée des négociations.
Mais l'optimisme s'est retrouvé douché par les doutes concernant l'efficacité à long terme des mesures adoptées sur les causes premières du problème du surendettement régional, ainsi que le flou concernant les détails de leur mise en action.
L'angoisse concernant l'expansion économique planétaire a ressurgi après que des chiffres officiels aient montré à la mi-journée que le taux de chômage du bloc utilisant la monnaie unique s'était élevé en mai vers un nouveau record avec 11.1%, contre 11% auparavant.
Il avait d'autre part été signalé que l'indice des directeurs des achats manufacturiers y était passé à 45.1 pour juin, dépassant son évaluation préalable à 44.8, se maintenant toutefois à son niveau le plus bas depuis le même mois de l'année 2009.
Le yen lui a aussi fait subir sa pression, l'EUR/JPY chutant de 0.54% pour plonger à 100.49, mais pas le franc suisse, l'EUR/CHF grignotant 0.03% pour se hisser à 1.2015.
Des chiffres officiels helvètes avaient précédemment signalé un bond annualisé de 6.2% des ventes au détail de mai, dépassant ainsi les 5% envisagés.
Une autre étude soulignait quand à elle pour juin un redressement inattendu de l'activité des usines suisses, qui demeurait toutefois en territoire négatif pour le troisième mois d'affilée.
La livre sterling a par contre légèrement pris le dessus, l'EUR/GBP glissant de 0.12% pour descendre à 0.8052.
Une autre étude soulignait de son côté que l'activité manufacturière britannique avait retrouvé des couleurs en juin, tout en demeurant fragilisée.
L'indice des directeurs des achats du secteur secondaire est donc passé de 45.9 à 48.6 pour la période considérée, demeurant toutefois inférieur au seuil des 50 séparant régression et expansion, et ce alors que les experts n'espéraient pas le voir dépasser 46.7.
Il en a été de même avec ses collègues australienne, canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD laissant échapper 0.46% pour sombrer à 1.231, l'EUR/CAD plongeant de 0.26% vers 1.2837 et l'EUR/NZD dégringolant dee 0.53% pour toucheer le fond à 1.5711.
L'indice des directeurs des achats chinois établi par HSBC a quand à lui frémi de 48.1 préalablement estimés vers 48.2 en juin, signalant un huitième mois de contraction consécutif.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait dévoiler l'activité du secteur secondaire dans l'après-midi.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.31% pour tomber à 1.2622.
Les chefs des états membres de l'Union Européenne ont en effet décidé vendredi, après deux jours de pourparlers, d'utiliser les capitaux de secours pour la zone euro pour renflouer directement les banques à la dérive, évitant ainsi d'alourdir encore le fardeau des états.
Ils doivent aussi mettre en place une autorité financière conjointe pour la région.
La nouvelle a entraîné un large rebond, l'attente d'avancées majeures pour combattre le problème du surendettement régional ayant presque disparu à l'orée des négociations.
Mais l'optimisme s'est retrouvé douché par les doutes concernant l'efficacité à long terme des mesures adoptées sur les causes premières du problème du surendettement régional, ainsi que le flou concernant les détails de leur mise en action.
L'angoisse concernant l'expansion économique planétaire a ressurgi après que des chiffres officiels aient montré à la mi-journée que le taux de chômage du bloc utilisant la monnaie unique s'était élevé en mai vers un nouveau record avec 11.1%, contre 11% auparavant.
Il avait d'autre part été signalé que l'indice des directeurs des achats manufacturiers y était passé à 45.1 pour juin, dépassant son évaluation préalable à 44.8, se maintenant toutefois à son niveau le plus bas depuis le même mois de l'année 2009.
Le yen lui a aussi fait subir sa pression, l'EUR/JPY chutant de 0.54% pour plonger à 100.49, mais pas le franc suisse, l'EUR/CHF grignotant 0.03% pour se hisser à 1.2015.
Des chiffres officiels helvètes avaient précédemment signalé un bond annualisé de 6.2% des ventes au détail de mai, dépassant ainsi les 5% envisagés.
Une autre étude soulignait quand à elle pour juin un redressement inattendu de l'activité des usines suisses, qui demeurait toutefois en territoire négatif pour le troisième mois d'affilée.
La livre sterling a par contre légèrement pris le dessus, l'EUR/GBP glissant de 0.12% pour descendre à 0.8052.
Une autre étude soulignait de son côté que l'activité manufacturière britannique avait retrouvé des couleurs en juin, tout en demeurant fragilisée.
L'indice des directeurs des achats du secteur secondaire est donc passé de 45.9 à 48.6 pour la période considérée, demeurant toutefois inférieur au seuil des 50 séparant régression et expansion, et ce alors que les experts n'espéraient pas le voir dépasser 46.7.
Il en a été de même avec ses collègues australienne, canadienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUD laissant échapper 0.46% pour sombrer à 1.231, l'EUR/CAD plongeant de 0.26% vers 1.2837 et l'EUR/NZD dégringolant dee 0.53% pour toucheer le fond à 1.5711.
L'indice des directeurs des achats chinois établi par HSBC a quand à lui frémi de 48.1 préalablement estimés vers 48.2 en juin, signalant un huitième mois de contraction consécutif.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait dévoiler l'activité du secteur secondaire dans l'après-midi.