Investing.com - L'euro n'a pas flanché face au dollar U.S. ce lundi matin, se maintenant aux abords d'un sommet de cinq semaines dans l'expectative des résultats américains du jour, la prudence restant de mise à quelques jours des prises de caps de leurs émettrices respectives.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3274 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3275, trébuchant de 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3177, son plancher du 24 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,3359, son plafond de près de quatre mois établi le 12 juin.
La nervosité était en effet palpable après que les résultats peu glorieux publiés la semaine passée par les Etats-Unis aient ravivé les incertitudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale.
La monnaie unique avait retrouvé du mordant après qu'il ait été signalé que le baromètre de l'humeur des entreprises de l'Allemagne établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait frémi depuis 105,9 vers 106,2 pour juillet, dépassant d'un cheveu les 106,1 anticipés.
Elle avait déjà repris du poil de la bête, après que l'indice composite de l'activité du bloc euro établi par le groupe de recherches économiques Markit soit remonté depuis 48,7 vers 50,4 pour le mois dernier, laissant du coup espérer une sortie de récession régionale au troisième trimestre.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,03% pour glisser à 0,8629.
Les spécialistes de l'immobilier américain devraient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements en cours.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3274 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3275, trébuchant de 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3177, son plancher du 24 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,3359, son plafond de près de quatre mois établi le 12 juin.
La nervosité était en effet palpable après que les résultats peu glorieux publiés la semaine passée par les Etats-Unis aient ravivé les incertitudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale.
La monnaie unique avait retrouvé du mordant après qu'il ait été signalé que le baromètre de l'humeur des entreprises de l'Allemagne établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait frémi depuis 105,9 vers 106,2 pour juillet, dépassant d'un cheveu les 106,1 anticipés.
Elle avait déjà repris du poil de la bête, après que l'indice composite de l'activité du bloc euro établi par le groupe de recherches économiques Markit soit remonté depuis 48,7 vers 50,4 pour le mois dernier, laissant du coup espérer une sortie de récession régionale au troisième trimestre.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,03% pour glisser à 0,8629.
Les spécialistes de l'immobilier américain devraient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements en cours.