Investing.com - L'euro a légèrement pris l'avantage sur un dollar U.S. largement affaibli ce mercredi matin, profitant des belles performances économiques du bloc où il a cours, qui laissaient espérer une consolidation de la relance.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3316 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3308, grignotant 0,02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3245, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3343, son plafond de six semaines établi de 31 juillet.
Il avait en effet été montré hier que les usines allemandes avaient enregistré 3,8% de commandes supplémentaires en juin, au lieu des 1% espérés.
Il était aussi à noter que l'Italie avait sauvé les meubles en limitant la contraction de son économie à 0,2% au second trimestre, perettant ainsi d'envisager une stabilisation de la troisième économie de la zone.
Le Fonds Monétaire International a pour sa part revu à la hausse les projections d'expansion de son bulletin annuel pour l'Allemagne depuis 1,3 vers 1,4% pour 2014 et maintenu les 0,3% avancés pour cette année.
Le billet vert demeurait par contre sur la sellette, sur fond d'incertitudes sur les orientations futures de son émettrice.
La monnaie unique a par ailleurs grignoté quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0,01% pour se hisser à 0,8670, mais a cédé la main au yen, l'EUR/JPY chutant de 0,66% pour reprendre pied à 129,21.
La prudence restait de mise à l'approche de la publication du bulletin trimestriel sur l'inflation de la Banque d'Angleterre, dont le nouveau gouverneur Mark Carney devrait également présenter les résultats d'une étude concernant la fourniture d'informations sur les évolutions futures des taux d'intérêt.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3316 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3308, grignotant 0,02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3245, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3343, son plafond de six semaines établi de 31 juillet.
Il avait en effet été montré hier que les usines allemandes avaient enregistré 3,8% de commandes supplémentaires en juin, au lieu des 1% espérés.
Il était aussi à noter que l'Italie avait sauvé les meubles en limitant la contraction de son économie à 0,2% au second trimestre, perettant ainsi d'envisager une stabilisation de la troisième économie de la zone.
Le Fonds Monétaire International a pour sa part revu à la hausse les projections d'expansion de son bulletin annuel pour l'Allemagne depuis 1,3 vers 1,4% pour 2014 et maintenu les 0,3% avancés pour cette année.
Le billet vert demeurait par contre sur la sellette, sur fond d'incertitudes sur les orientations futures de son émettrice.
La monnaie unique a par ailleurs grignoté quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0,01% pour se hisser à 0,8670, mais a cédé la main au yen, l'EUR/JPY chutant de 0,66% pour reprendre pied à 129,21.
La prudence restait de mise à l'approche de la publication du bulletin trimestriel sur l'inflation de la Banque d'Angleterre, dont le nouveau gouverneur Mark Carney devrait également présenter les résultats d'une étude concernant la fourniture d'informations sur les évolutions futures des taux d'intérêt.