Investing.com - L'uro a laissé le dollar U.S. prendre l'avantage ce jeudi matin, ce dernier profitant toujours de la crainte d'une intervention à l'encontre du gouvernement de la Syrie.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3282 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3204, perdant 0,39%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3275, son plancher du 12 août, et de rencontrer de la résistance à 1,3396, son plafond d'hier.
Les opérateurs demeuraient prudents en raison de la menace d'une action militaire américaine imminente contre les autorités de Damas, accusées d'avoir utilisé des armes chimiques.
La président Barack Obama a en effet déclaré hier que les Etats-Unis avaient conclu que c'est ce qui était arrivé dans les faubourgs de la ville, ajoutant cependant ne pas encore avoir pris la décision de frapper ou non.
La monnaie unique demeurait quand à elle sur la défensive après que le groupe de recherches économiques Gfk ait auparavant fait savoir que son baromètre de l'humeur des particuliers allemands avait trébuché depuis 7,0 vers 6,9 pour août, subissant ainsi son pire revers en huit mois.
Elle a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP chutant de 0,35% pour sombrer à 0,8561, et l'EUR/JPY dérapant de 0,15% pour glisser à 130,04.
L'Allemagne comptait pour sa part divulguer aujourd'hui les variations dans le nombre de ses demandeurs d'emploi, ainsi que l'évolution de ses prix à la consommation, après quoi les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec les données révisées concernant leur produit intérieur brut, ainsi que leur décompte hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3282 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3204, perdant 0,39%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3275, son plancher du 12 août, et de rencontrer de la résistance à 1,3396, son plafond d'hier.
Les opérateurs demeuraient prudents en raison de la menace d'une action militaire américaine imminente contre les autorités de Damas, accusées d'avoir utilisé des armes chimiques.
La président Barack Obama a en effet déclaré hier que les Etats-Unis avaient conclu que c'est ce qui était arrivé dans les faubourgs de la ville, ajoutant cependant ne pas encore avoir pris la décision de frapper ou non.
La monnaie unique demeurait quand à elle sur la défensive après que le groupe de recherches économiques Gfk ait auparavant fait savoir que son baromètre de l'humeur des particuliers allemands avait trébuché depuis 7,0 vers 6,9 pour août, subissant ainsi son pire revers en huit mois.
Elle a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP chutant de 0,35% pour sombrer à 0,8561, et l'EUR/JPY dérapant de 0,15% pour glisser à 130,04.
L'Allemagne comptait pour sa part divulguer aujourd'hui les variations dans le nombre de ses demandeurs d'emploi, ainsi que l'évolution de ses prix à la consommation, après quoi les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec les données révisées concernant leur produit intérieur brut, ainsi que leur décompte hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.