Investing.com - L'euro a pris le dessus face au dollar U.S. ce mercredi matin, après qu'il ait été montré que les économies de la France et de l'Allemagne avaient toutes deux dépassé les attentes au second trimestre, alimentant l'espoir d'une sortie de récession de la région.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3281 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3267, frémissant de 0,05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3232, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3343, son plafond de lundi.
Les premières évaluations dévoilées en début de journée ont en effet montré que l'économie française s'était renforcée de 0,5% entre début avril et fin juin, après deux trimestres de rétraction, au lieu des 0,2% espérés.
Il était aussi à noter que celle de l'Allemagne allait dans le même sens avec 0,7%, après les 0,1% des trois premiers mois de l'année, dépassant ainsi légèrement les 0,6% anticipés.
Bruxelles s'apprêtait à faire de même sous peu concernant l'ensemble du bloc ayant adopté la monnaie unique, avec l'espoir d'un retour, même modeste, en zone positive.
Mais le billet vert gardait des couleurs, après que les résultats commerciaux des Etats-Unis se soient avérés assez bons pour conforter l'idée d'une éventuelle diminution dès cette année des coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Le département d'état au commerce américain a en effet révélé que les ventes auprès des particuliers avaient augmenté de 0,2% le mois passé, et que celles de base, excluant le commerce des véhicules, avaient progressé de 0,5%, leur meilleure progression en sept mois.
La devise européenne a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,10% pour se hisser à 0,8592, ainsi que sur le yen, l'EUR/JPY empochant 0,20% pour se hisser à 130,50.
Les observateurs guettaient aussi l'état du marché du travail britannique après que la Banque d'Angleterre ait annoncé la semaine passée son intention de maintenir les coûts des emprunts consentis aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que le chômage britannique repasse sous la barre des 7%.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec l'inflation des prix à la production.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3281 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3267, frémissant de 0,05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3232, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3343, son plafond de lundi.
Les premières évaluations dévoilées en début de journée ont en effet montré que l'économie française s'était renforcée de 0,5% entre début avril et fin juin, après deux trimestres de rétraction, au lieu des 0,2% espérés.
Il était aussi à noter que celle de l'Allemagne allait dans le même sens avec 0,7%, après les 0,1% des trois premiers mois de l'année, dépassant ainsi légèrement les 0,6% anticipés.
Bruxelles s'apprêtait à faire de même sous peu concernant l'ensemble du bloc ayant adopté la monnaie unique, avec l'espoir d'un retour, même modeste, en zone positive.
Mais le billet vert gardait des couleurs, après que les résultats commerciaux des Etats-Unis se soient avérés assez bons pour conforter l'idée d'une éventuelle diminution dès cette année des coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Le département d'état au commerce américain a en effet révélé que les ventes auprès des particuliers avaient augmenté de 0,2% le mois passé, et que celles de base, excluant le commerce des véhicules, avaient progressé de 0,5%, leur meilleure progression en sept mois.
La devise européenne a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,10% pour se hisser à 0,8592, ainsi que sur le yen, l'EUR/JPY empochant 0,20% pour se hisser à 130,50.
Les observateurs guettaient aussi l'état du marché du travail britannique après que la Banque d'Angleterre ait annoncé la semaine passée son intention de maintenir les coûts des emprunts consentis aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que le chômage britannique repasse sous la barre des 7%.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec l'inflation des prix à la production.