Investing.com - L'euro a réussi à ne guère aller plus loin que les abords d'un creux de cinq semaines face au dollar U.S. ce lundi matin, ce dernier ayant connu un sursaut suite à des chiffres de l'emploi non agricole américain dépassant les attentes.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2816 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le premier octobre, puis s'est stabilisée vers 1.2834, trébuchant de 0.01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2753, son plancher du 11 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1.2941, son plafond de vendredi.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet déclaré que l'économie nationale avait créé 171 000 emplois en octobre, surpassant ainsi largement les 125 000 espérés, tandis que le chômage subissait cependant un frémissement de 7.8 vers 7.9% avec le retour de davantage de travailleurs dans la population active.
Cette bonne surprise a poussé les observateurs à revoir à la baisse les probabilités de nouveaux accommodements de la part de la Réserve Fédérale, redorant du même coup le blason du billet vert.
Le billet vert se trouvait aussi soutenu par l'inconnue dûe aux élections de son pays émetteur ayant lieu mardi.
La monnaie unique demeurait quand à elle sur la corde raide, en raison des incertitudes concernant un éventuel appel au secours de Madrid, ainsi que des doutes concernant la capacité d'Athènes à remplir ses objectifs de réduction des déficits budgétaires afin de se voir attribuer sa prochaine tranche d'aides.
Le devise européenne a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP laissant échapper 0.09% pour reprendre pied à 0.8004 et l'EUR/JPY dérapant de 0.15% pour glisser à 103.11.
La zone euro comptait dévoiler à la mi-journée un sondage sur la confiance des investisseurs, imitée par l'Espagne avec les variations constatées sur son marché de l'emploi.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements conclura la journée avec ses informations au sujet de l'évolution de l'activité dans le domaine des services.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2816 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas depuis le premier octobre, puis s'est stabilisée vers 1.2834, trébuchant de 0.01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2753, son plancher du 11 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1.2941, son plafond de vendredi.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet déclaré que l'économie nationale avait créé 171 000 emplois en octobre, surpassant ainsi largement les 125 000 espérés, tandis que le chômage subissait cependant un frémissement de 7.8 vers 7.9% avec le retour de davantage de travailleurs dans la population active.
Cette bonne surprise a poussé les observateurs à revoir à la baisse les probabilités de nouveaux accommodements de la part de la Réserve Fédérale, redorant du même coup le blason du billet vert.
Le billet vert se trouvait aussi soutenu par l'inconnue dûe aux élections de son pays émetteur ayant lieu mardi.
La monnaie unique demeurait quand à elle sur la corde raide, en raison des incertitudes concernant un éventuel appel au secours de Madrid, ainsi que des doutes concernant la capacité d'Athènes à remplir ses objectifs de réduction des déficits budgétaires afin de se voir attribuer sa prochaine tranche d'aides.
Le devise européenne a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP laissant échapper 0.09% pour reprendre pied à 0.8004 et l'EUR/JPY dérapant de 0.15% pour glisser à 103.11.
La zone euro comptait dévoiler à la mi-journée un sondage sur la confiance des investisseurs, imitée par l'Espagne avec les variations constatées sur son marché de l'emploi.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements conclura la journée avec ses informations au sujet de l'évolution de l'activité dans le domaine des services.