Investing.com - L'euro s'est s'envolé vers un pic de 14 mois face à la livre sterling ce vendredi après-midi, encouragé par les bons résultats du bloc l'ayant adopté, tandis que les yeux se tournaient vers les chiffres de l'emploi américain de la fin de journée.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 0.8648 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 23 novembre 2011, puis s'est stabilisée vers 0.862, engrangeant 0.67%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.856, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 0.8665, son plafond du 22 novembre 2011.
La monnaie unique a prolongé son ascension contre son homologue des Etats-Unis après que des informations émanant des autorités aient souligné que le taux de chômage de la zone où elle a cours s'était stabilisé à 11.7% pour décembre, alors qu'une montée à 11.9% était anticipée.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de l'Espagne était remonté depuis 44.6 jusqu'à 46.1 pour janvier, au lieu des 45.5 espérés.
L'étude ajoutait que celui de la zone euro avait frémi de 47.5 vers 47.9, alors qu'une stagnation était redoutée sur la période considérée.
Il était aussi à noter que l'inflation des prix à la consommation de la région avait reculé depuis 2.2 vers 2% annualisés pour janvier, tandis que les experts anticipaient une stabilisation.
L'attention se reportait désormais vers le rapport sur l'emploi hors agriculture national qui sera publié cet après-midi, après que celui de l'agence de gestion des ressources humaines ADP ait montré la création de 192 000 emplois au cours du mois dernier, dépassant nettement les 165 000 anticipés.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain au dollar U.S. avec un couple GBP/USD trébuchant de 0.17% pour glisser à 1.5829.
L'institut d'études économiques Markit avait aussi révélé dans la matinée que son baromètre de l'activité des usines britanniques avait subi une érosion de 51.2 vers 50.8 pour le premier mois de l'année, alors qu'un déclin à 51 était déjà craint.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec le rapport gouvernemental crucial sur le nombre des employés hors agriculture et le taux des demandeurs d'emploi, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements rendra son rapport sur l'activité des usines nationales.
L'université du Michigan fera de même avec son étude révisée sur le moral des consommateurs.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 0.8648 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 23 novembre 2011, puis s'est stabilisée vers 0.862, engrangeant 0.67%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.856, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 0.8665, son plafond du 22 novembre 2011.
La monnaie unique a prolongé son ascension contre son homologue des Etats-Unis après que des informations émanant des autorités aient souligné que le taux de chômage de la zone où elle a cours s'était stabilisé à 11.7% pour décembre, alors qu'une montée à 11.9% était anticipée.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de l'Espagne était remonté depuis 44.6 jusqu'à 46.1 pour janvier, au lieu des 45.5 espérés.
L'étude ajoutait que celui de la zone euro avait frémi de 47.5 vers 47.9, alors qu'une stagnation était redoutée sur la période considérée.
Il était aussi à noter que l'inflation des prix à la consommation de la région avait reculé depuis 2.2 vers 2% annualisés pour janvier, tandis que les experts anticipaient une stabilisation.
L'attention se reportait désormais vers le rapport sur l'emploi hors agriculture national qui sera publié cet après-midi, après que celui de l'agence de gestion des ressources humaines ADP ait montré la création de 192 000 emplois au cours du mois dernier, dépassant nettement les 165 000 anticipés.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain au dollar U.S. avec un couple GBP/USD trébuchant de 0.17% pour glisser à 1.5829.
L'institut d'études économiques Markit avait aussi révélé dans la matinée que son baromètre de l'activité des usines britanniques avait subi une érosion de 51.2 vers 50.8 pour le premier mois de l'année, alors qu'un déclin à 51 était déjà craint.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec le rapport gouvernemental crucial sur le nombre des employés hors agriculture et le taux des demandeurs d'emploi, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements rendra son rapport sur l'activité des usines nationales.
L'université du Michigan fera de même avec son étude révisée sur le moral des consommateurs.