Investing.com - Le dollar U.S. a glissé dans un creux de sept semaines face à son cousin du nord ce lundi après-midi, après que les autorités canadiennes aient accordé leur feu vert aux accords de prise de contrôle de deux compagnies énergétiques nationales.
La paire USD/CAD est descendue jusqu'à 0.9866 en première partie de séance américaine, son cours le plus bas depuis le 19 octobre, puis s'est stabilisée vers 0.9877, laisant échapper 0.08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 0.9843, son plancher du 19 octobre, et de rencontrer de la résistance à 0.9932, son plafond de vendredi.
Ottawa a en effet donné son approbation à l'achat de Nexen par la China National Offshore Oil Corporation, contrôlée par la Chine.
Le gouvernement a aussi donné son blanc-seing à l'acquisition par la compagnie Petronas, émanation de la Malaisie, de Progress Energy Resources of Canada.
Le billet vert gardait par contre des partisans grâce au rapport sur l'emploi supérieur aux espérances présenté vendredi, mais sa résurgence semblait devoir être limitée dans l'expectative d'une poursuite des accommodements suite à la prochaine réunion de la Réserve Fédérale.
Les négociations à Washington destinées à contourner le problème du mur fiscal menaçant les Etats-Unis restaient aussi parmi les sujets d'inquiétude, en raison des risques que la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet à la nouvelle année ne fassent dérailler la relance économique du pays.
La devise canadienne a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/CAD subissant un faux pas de 0.04% pour reprendre pied à 1.2773.
La monnaie unique restait sur la sellette en raison des incertitudes politiques italiennes, alimentant les craintes que les changements à la tête de l'état ne gènent la gestion du problème du surendettement du pays.
Mario Monti, premier ministre de l'Italie, a en effet déclaré samedi projeter d'abandonner son poste une fois la loi de finances cruciale votée, suite au retrait du soutien des membres du parti de Silvio Berlusconi, qui l'occupait auparavant.
La paire USD/CAD est descendue jusqu'à 0.9866 en première partie de séance américaine, son cours le plus bas depuis le 19 octobre, puis s'est stabilisée vers 0.9877, laisant échapper 0.08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 0.9843, son plancher du 19 octobre, et de rencontrer de la résistance à 0.9932, son plafond de vendredi.
Ottawa a en effet donné son approbation à l'achat de Nexen par la China National Offshore Oil Corporation, contrôlée par la Chine.
Le gouvernement a aussi donné son blanc-seing à l'acquisition par la compagnie Petronas, émanation de la Malaisie, de Progress Energy Resources of Canada.
Le billet vert gardait par contre des partisans grâce au rapport sur l'emploi supérieur aux espérances présenté vendredi, mais sa résurgence semblait devoir être limitée dans l'expectative d'une poursuite des accommodements suite à la prochaine réunion de la Réserve Fédérale.
Les négociations à Washington destinées à contourner le problème du mur fiscal menaçant les Etats-Unis restaient aussi parmi les sujets d'inquiétude, en raison des risques que la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet à la nouvelle année ne fassent dérailler la relance économique du pays.
La devise canadienne a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/CAD subissant un faux pas de 0.04% pour reprendre pied à 1.2773.
La monnaie unique restait sur la sellette en raison des incertitudes politiques italiennes, alimentant les craintes que les changements à la tête de l'état ne gènent la gestion du problème du surendettement du pays.
Mario Monti, premier ministre de l'Italie, a en effet déclaré samedi projeter d'abandonner son poste une fois la loi de finances cruciale votée, suite au retrait du soutien des membres du parti de Silvio Berlusconi, qui l'occupait auparavant.