Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme, notamment face au franc suisse ce jeudi, après que l'émettrice de ce dernier ait maintenu son cap précédent, précisant que la valeur de monnaie demeurait "élevée".
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9350 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 10 juin, puis s'est stabilisée vers 0,9337, perdant 0,60%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9250, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 0,9417, son plafond déjà évoqué.
La Banque Nationale Suisse a en effet gardé sans surprise un taux d'intérêt directeur nul.
Elle a fait de même avec son taux de change minimal de 1,20 avec l'euro, estimant que cette manoeuvre est "importante pour éviter un durcissement malvenu des conditions monétaires".
Elle a rappelé qu'elle le défendrait au besoin avec des achats de devises étrangères en quantités illimités.
Elle a confirmé attendre une croissance se situant entre 1 et 1,5% pour l'année en cours, avertissant que l'économie demeurait fortement menacée, rappelant que "les tensions pourraient réapparaître à tout moment sur les marchés financiers".
Le billet vert a retrouvé des couleurs après que la banque centrale des Etats-Unis ait rappelé qu'elle pourrait diminuer le volume de ses rachats d'actifs d'ici la fin de l'année.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a ainsi affirmé hier que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux avant que l'année soit achevée, et qu'elle pourrait même les interrompre d'ici la mi-2014 au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
La devise helvète a par ailleurs fait mieux que ésister à l'euro, l'EUR/CHF trébuchant de 0,01%% pour glisser à 1,2337%.
La monnaie unique s'est retrouvée fragilisée après qu'il ait été montré que l'activité des usines allemandes avait davantage diminué pour le mois en cours qu'il n'était craint.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet montré ce matin que l'évaluation préalable de son baromètre de l'activité manufacturée allemande s'était érodé depuis les 49,4 définitifs de mai vers 48,7, une déception au regard des 49,8 envisagés.
Son équivalent pour les prestataires de services a par contre rebondi depuis 49,7 vers 51,3 dans le même temps, sa plus haute valeur en quatre mois, dépassant ainsi les 50,0 pressentis.
Celui du secteur secondaire du bloc ayant adopté la monnaie unique passait de 48,3 vers 48,7 sur la même période, demeurant simplement largement inférieurs à la barre des 50 dénotant une croissance du secteur et inversement.
Celui portant sur son tertiaire a pour sa part évolué depuis 47,2 jusqu'à 48,6, sa meilleure valeur en quinze mois, dépassant nettement les 47,5 avancés.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9350 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 10 juin, puis s'est stabilisée vers 0,9337, perdant 0,60%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0,9250, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 0,9417, son plafond déjà évoqué.
La Banque Nationale Suisse a en effet gardé sans surprise un taux d'intérêt directeur nul.
Elle a fait de même avec son taux de change minimal de 1,20 avec l'euro, estimant que cette manoeuvre est "importante pour éviter un durcissement malvenu des conditions monétaires".
Elle a rappelé qu'elle le défendrait au besoin avec des achats de devises étrangères en quantités illimités.
Elle a confirmé attendre une croissance se situant entre 1 et 1,5% pour l'année en cours, avertissant que l'économie demeurait fortement menacée, rappelant que "les tensions pourraient réapparaître à tout moment sur les marchés financiers".
Le billet vert a retrouvé des couleurs après que la banque centrale des Etats-Unis ait rappelé qu'elle pourrait diminuer le volume de ses rachats d'actifs d'ici la fin de l'année.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a ainsi affirmé hier que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux avant que l'année soit achevée, et qu'elle pourrait même les interrompre d'ici la mi-2014 au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
La devise helvète a par ailleurs fait mieux que ésister à l'euro, l'EUR/CHF trébuchant de 0,01%% pour glisser à 1,2337%.
La monnaie unique s'est retrouvée fragilisée après qu'il ait été montré que l'activité des usines allemandes avait davantage diminué pour le mois en cours qu'il n'était craint.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet montré ce matin que l'évaluation préalable de son baromètre de l'activité manufacturée allemande s'était érodé depuis les 49,4 définitifs de mai vers 48,7, une déception au regard des 49,8 envisagés.
Son équivalent pour les prestataires de services a par contre rebondi depuis 49,7 vers 51,3 dans le même temps, sa plus haute valeur en quatre mois, dépassant ainsi les 50,0 pressentis.
Celui du secteur secondaire du bloc ayant adopté la monnaie unique passait de 48,3 vers 48,7 sur la même période, demeurant simplement largement inférieurs à la barre des 50 dénotant une croissance du secteur et inversement.
Celui portant sur son tertiaire a pour sa part évolué depuis 47,2 jusqu'à 48,6, sa meilleure valeur en quinze mois, dépassant nettement les 47,5 avancés.