Investing.com - Le dollar U.S. a légèrement progressé face au franc suisse ce mardi, les observateurs guettant les pourparlers sur la dette grecque devant se tenir dans l'après-midi, après qu'Athènes ait subi hier un échec dans sa quête d'un consensus sur les termes du plan de sauvetage.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.9162 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 3 février, puis s'est stabilisée vers 0.9195, grignotant 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9126, son plancher du 3 février, et de rencontrer de la résistance à 0.9288, son plafond du 26 janvier.
Les investisseurs demeuraient prudents, alors que Lucas Papademos, le premier ministre grec, devait rencontrer les dirigeants de sa coalition en cours de journée afin de discuter de la mise en place de nouvelles mesures fiscales destinées à s'assurer de bénéficier du second programme de secours.
Jean-Claude Juncker, chef de l'Eurogroupe des ministres des finances, a assuré dans la matinée avoir confiance dans le maintien de la Grèce dans le bloc euro, tant qu'elle remplirait ses obligations vis-a-vis des autres membres de ce dernier.
Les représentants de l'Union Européenne avaient affirmé que le plan de secours à hauteur de 130 milliards d'euros devait être définitivement adopté d'ici le 15 février, afin d'éviter un défaut de paiement quand elle aura 14.5 milliards en obligations à rembourser le 20 mars.
La Banque Nationale Suisse a pour sa part avoué auparavant que ses réserves de devises étrangères avaient plongé de 254.3 milliards de CHF vers 227.2 pour le mois de janvier.
La devise helvète a pour sa part perdu quelques pouces de terrain sur la monnaie unique, l'EUR/CHF arrachant 0.11% pour se hisser à 1.2076.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera de son coté en fin de journée des perspectives économiques et de l'état des comptes fédéraux devant le comité budgétaire sénatorial à Washington.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.9162 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 3 février, puis s'est stabilisée vers 0.9195, grignotant 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9126, son plancher du 3 février, et de rencontrer de la résistance à 0.9288, son plafond du 26 janvier.
Les investisseurs demeuraient prudents, alors que Lucas Papademos, le premier ministre grec, devait rencontrer les dirigeants de sa coalition en cours de journée afin de discuter de la mise en place de nouvelles mesures fiscales destinées à s'assurer de bénéficier du second programme de secours.
Jean-Claude Juncker, chef de l'Eurogroupe des ministres des finances, a assuré dans la matinée avoir confiance dans le maintien de la Grèce dans le bloc euro, tant qu'elle remplirait ses obligations vis-a-vis des autres membres de ce dernier.
Les représentants de l'Union Européenne avaient affirmé que le plan de secours à hauteur de 130 milliards d'euros devait être définitivement adopté d'ici le 15 février, afin d'éviter un défaut de paiement quand elle aura 14.5 milliards en obligations à rembourser le 20 mars.
La Banque Nationale Suisse a pour sa part avoué auparavant que ses réserves de devises étrangères avaient plongé de 254.3 milliards de CHF vers 227.2 pour le mois de janvier.
La devise helvète a pour sa part perdu quelques pouces de terrain sur la monnaie unique, l'EUR/CHF arrachant 0.11% pour se hisser à 1.2076.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera de son coté en fin de journée des perspectives économiques et de l'état des comptes fédéraux devant le comité budgétaire sénatorial à Washington.