Investing.com - Les options sur l'or ont bétonné ce mardi matin, se rapprochant de leur pic de trois semaines établi hier, dans l'expectative des résultats commerciaux des Etats-Unis, qui pourraient fortement peser sur les orientations futures de leur banque centrale.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.338,50 USD de l'once en début de séance européenne, avançant de 0,3%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1.329,90 USD, leur pire cours journalier, et 1.340,70 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.282,80 USD, leur plancher du 8 août, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.347,85 USD, leur plafond établi le 23 juillet.
Ils avaient conclu hier à 1.334,20 USD, avec une poussée de 1,7%, après avoir culminé à 1.342,90 USD, leur niveau le plus élevé depuis le 24 juillet.
Cette résurgence est survenue sur fond de signes d'un regain de popularité du métal précieux, une vague d'achats techniques ayant eu lieu lors du passage au-dessus d'un seuil de résistance crucial.
Les yeux étaient désormais tournés vers les Etats-Unis, à quelques heures de la diffusion de leurs chiffres des ventes, ainsi que de la série de statistiques de la semaine portant notamment sur l'inflation, la production industrielle, les lancements de chantiers et la confiance de leurs consommateurs.
L'attention était désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations futures.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Ils semblent être partis pour subir près de 21% de pertes sur l'année, en raison de la crainte d'une réduction des perfusions d'argent frais d'ici la fin d'année.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Une telle éventualité nuirait fortement au métal précieux, sa valeur ayant profité de la demande provenant des investisseurs désireux de se prémunir des risques d'inflation découlant de politiques monétaires assouplies.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs rebondi de 0,8% pour grimper à 21,517 USD de l'once, leur plus haut niveau depuis le 19 juin.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont empoché 0,2% pour se retrouver à 3,309 USD la livre dans le même temps, après avoir culminé hier à leur plus forte valeur depuis le 19 juin.
Ces dernières ont continuer à profiter des bonnes nouvelles chinoises, dissipant le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Le pays garde sa première part des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1.338,50 USD de l'once en début de séance européenne, avançant de 0,3%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1.329,90 USD, leur pire cours journalier, et 1.340,70 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.282,80 USD, leur plancher du 8 août, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.347,85 USD, leur plafond établi le 23 juillet.
Ils avaient conclu hier à 1.334,20 USD, avec une poussée de 1,7%, après avoir culminé à 1.342,90 USD, leur niveau le plus élevé depuis le 24 juillet.
Cette résurgence est survenue sur fond de signes d'un regain de popularité du métal précieux, une vague d'achats techniques ayant eu lieu lors du passage au-dessus d'un seuil de résistance crucial.
Les yeux étaient désormais tournés vers les Etats-Unis, à quelques heures de la diffusion de leurs chiffres des ventes, ainsi que de la série de statistiques de la semaine portant notamment sur l'inflation, la production industrielle, les lancements de chantiers et la confiance de leurs consommateurs.
L'attention était désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations futures.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Ils semblent être partis pour subir près de 21% de pertes sur l'année, en raison de la crainte d'une réduction des perfusions d'argent frais d'ici la fin d'année.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de la planche à billets pour remplumer le système financier national.
Une telle éventualité nuirait fortement au métal précieux, sa valeur ayant profité de la demande provenant des investisseurs désireux de se prémunir des risques d'inflation découlant de politiques monétaires assouplies.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs rebondi de 0,8% pour grimper à 21,517 USD de l'once, leur plus haut niveau depuis le 19 juin.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont empoché 0,2% pour se retrouver à 3,309 USD la livre dans le même temps, après avoir culminé hier à leur plus forte valeur depuis le 19 juin.
Ces dernières ont continuer à profiter des bonnes nouvelles chinoises, dissipant le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Le pays garde sa première part des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.