Investing.com - L'euro a fléchi face à un dollar U.S. largement renforcé ce mercredi, après qu'il ait été montré que le secteur secondaire des Etats-Unis avait connu en avril son expansion la plus rapide des dix derniers mois, apaisant les craintes concernant les perspectives économiques du pays.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3211 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3215, perdant 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3156, son plancher du 27 avril, et de rencontrer de la résistance à 1.324, son plafond d'aujourd'hui.
L'institut de gestion des approvisionnements ISM a en effet déclaré hier que son indice de l'activité manufacturière était passé de 53.4 en mars à 54.8, alors qu'un recul à 53 était redouté.
Cette bonne surprise a étouffé l'angoisse d'une perte de vitesse de l'économie américaine découlant d'une série de performances médiocres, diminuant du même coup l'attente d'une troisième série d'assouplissements de la part de la Réserve Fédérale.
Les observateurs attendaient désormais de connaître l'état du marché de l'emploi américain, dont la révélation est prévue pour vendredi, après que celui de mars ait mis en évidence une diminution des embauches nationales.
La monnaie unique demeurait friable à l'approche des élections de fin de semaine en Grèce et en France, et de la réunion d'orientation politique de la Banque Centrale Européenne de demain.
Elle a aussi cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0.18% vers 0.8145, mais a pris le dessus sur le yen, l'EUR/JPY prenant 0.19% pour se hisser à 106.2.
La zone euro fera connaître dans la journée son taux de chômage officiel, tandis que les autorités allemandes révèleront les évolutions qu'elles auront constatées sur le marché du travail.
Les Etats-Unis ne seront pas en reste avec le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi non agricole, puis les autorités du pays dévoileront le volume des commandes passées auprès des usines et l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3211 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3215, perdant 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3156, son plancher du 27 avril, et de rencontrer de la résistance à 1.324, son plafond d'aujourd'hui.
L'institut de gestion des approvisionnements ISM a en effet déclaré hier que son indice de l'activité manufacturière était passé de 53.4 en mars à 54.8, alors qu'un recul à 53 était redouté.
Cette bonne surprise a étouffé l'angoisse d'une perte de vitesse de l'économie américaine découlant d'une série de performances médiocres, diminuant du même coup l'attente d'une troisième série d'assouplissements de la part de la Réserve Fédérale.
Les observateurs attendaient désormais de connaître l'état du marché de l'emploi américain, dont la révélation est prévue pour vendredi, après que celui de mars ait mis en évidence une diminution des embauches nationales.
La monnaie unique demeurait friable à l'approche des élections de fin de semaine en Grèce et en France, et de la réunion d'orientation politique de la Banque Centrale Européenne de demain.
Elle a aussi cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0.18% vers 0.8145, mais a pris le dessus sur le yen, l'EUR/JPY prenant 0.19% pour se hisser à 106.2.
La zone euro fera connaître dans la journée son taux de chômage officiel, tandis que les autorités allemandes révèleront les évolutions qu'elles auront constatées sur le marché du travail.
Les Etats-Unis ne seront pas en reste avec le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi non agricole, puis les autorités du pays dévoileront le volume des commandes passées auprès des usines et l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.