Investing.com - L'euro a conclu sans grandes variations par rapport à son homologue des Etats-Unis, s'accrochant à un pic de six semaines dans l'attente des prises de cap de leurs émettrices rspectives.
Il a ainsi pris l'avantage sur l'étalon américain, l'EUR/USD grimpant jusqu'à 1,3296 avant de se stabiliser à 1,3279, arrachant 0,01% journaliers et 0,91% sur la semaine.
Le couple avait des chances de trouver du soutien à 1,3177, son ornière de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 1,3318, son plafond du 11 juin.
La nervosité était palpable après que les résultats peu glorieux publiés jeudi par les Etats-Unis aient ravivé les inquiétudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale dès cette année.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 7.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 20 juillet, pour un total hebdomadaire corrigé de 343.000, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Son équivalent dévolu au commerce a pour sa part déclaré que les commandes de biens durables avaient augmenté de 4,2% le mois dernier, alors qu'un saut de puce de 1,3% seulement était anticipé.
Leur poussée de 3,7% avancée pour mai a d'autre part été revue jusqu'à 5,2%.
Celles de base, excluant les moyens de transport, dont la volatilité est grande, ont par contre stagné, au lieu d'amasser les 0,5% pressentis.
La monnaie unique avait retrouvé du mordant après qu'il ait été signalé que le baromètre de l'humeur des entreprises de l'Allemagne établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait frémi depuis 105,9 vers 106,2 pour juillet, dépassant d'un cheveu les 106,1 anticipés.
Elle avait déjà repris du poil de la bête, après que l'indice composite de l'activité du bloc euro établi par le groupe de recherches économiques Markit soit remonté depuis 48,7 vers 50,4 pour le mois en cours, grâce aux belles performances de la locomotive franco-allemande.
Cette bonne nouvelle laissait du coup espérer une sortie de récession régionale au troisième trimestre.
Celui des directeurs d'achat des industries germaniques avait ainsi bondi de 48,6 vers 50,3 pour juillet, surpassant du coup les 49,2 espérés, alors que son équivalent concernant les services était remonté des 50,4 de juin à 52,5, dépassant également les 50,8 anticipés.
Ceux de la france sont respectivement passés de 48,4 à 49,8, établissant un sommet de 17 mois, et de 47,2 à 48,2 sur la même période.
Les prises de décisions mensuelles de la Réserve Fédérale et de la Banque Centrale Européenne seront au coeurs des débats à venir, de même que les chiffres du marché du travail et du produit intérieur brut des Etats-Unis, ainsi que le taux de chômage du bloc euro.
Investing.com a établi pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que d'autres également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 29 juillet
Les spécialistes de l'immobilier américain annonceront le volume des ventes de logements en cours, donnant le pouls de l'économie.
Mardi 30 juillet
Sur le front de la zone euro, l'institut économique Gfk rendra son rapport sur le moral des ménages de l'Allemagne, de même que les premières estimations de l'évolution des prix à la consommation nationaux et le produit intérieur brut de l'Espagne.
Les Etats-Unis feront de même avec l'indice Standard & Poor's/Case-Shiller des prix des logements établi à partir de 20 composantes, après quoi le groupe de recherches sur les marchés Conference Board sur la confiance des particuliers américains.
Mercredi 31 juillet
L'Allemagne diffusera le volume de ses ventes au détail, ainsi que les variations dans les nombres des salariés, tandis que la France rendra une étude sur les dépenses de ses consommateurs, sans oublier l'état des prix à la consommation et le taux de chômage de la région entière.
Les Etats-Unis révèleront pour leur part l'évolution leur produit intérieur brut, la mesure de la valeur des marchandises et des services produits par l'économie du pays, ainsi qu'un rapport sur le marché de l'emploi, et un autre sur l'activité manufacturière de Chicago.
La Réserve Fédérale publiera son bulletin mensuel sur la politique monétaire, en quête d'indices sur ses orientations futures.
Jeudi premier août
La zone euro verra la publication d'études sur l'activité manufacturière de l'Espagne et de l'Italie, ainsi que de la région entière, après quoi la Banque Centrale Européenne diffusera son communiqué sur ses orientations, après quoi elle tiendra une conférence de presse.
Les Etats-Unis ne seront pas en reste avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.
Vendredi 2 août
Du côté européen, l'Espagne publiera les évolution de son marché du travail.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la semaine avec une série de résultats concernant l'évolution de l'emploi hors agriculture, le taux de chômage, les revenus horaires moyens, et les dépenses individuelles, sans oublier le volume des commandes passées auprès des usines.
Il a ainsi pris l'avantage sur l'étalon américain, l'EUR/USD grimpant jusqu'à 1,3296 avant de se stabiliser à 1,3279, arrachant 0,01% journaliers et 0,91% sur la semaine.
Le couple avait des chances de trouver du soutien à 1,3177, son ornière de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 1,3318, son plafond du 11 juin.
La nervosité était palpable après que les résultats peu glorieux publiés jeudi par les Etats-Unis aient ravivé les inquiétudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale dès cette année.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 7.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 20 juillet, pour un total hebdomadaire corrigé de 343.000, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Son équivalent dévolu au commerce a pour sa part déclaré que les commandes de biens durables avaient augmenté de 4,2% le mois dernier, alors qu'un saut de puce de 1,3% seulement était anticipé.
Leur poussée de 3,7% avancée pour mai a d'autre part été revue jusqu'à 5,2%.
Celles de base, excluant les moyens de transport, dont la volatilité est grande, ont par contre stagné, au lieu d'amasser les 0,5% pressentis.
La monnaie unique avait retrouvé du mordant après qu'il ait été signalé que le baromètre de l'humeur des entreprises de l'Allemagne établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait frémi depuis 105,9 vers 106,2 pour juillet, dépassant d'un cheveu les 106,1 anticipés.
Elle avait déjà repris du poil de la bête, après que l'indice composite de l'activité du bloc euro établi par le groupe de recherches économiques Markit soit remonté depuis 48,7 vers 50,4 pour le mois en cours, grâce aux belles performances de la locomotive franco-allemande.
Cette bonne nouvelle laissait du coup espérer une sortie de récession régionale au troisième trimestre.
Celui des directeurs d'achat des industries germaniques avait ainsi bondi de 48,6 vers 50,3 pour juillet, surpassant du coup les 49,2 espérés, alors que son équivalent concernant les services était remonté des 50,4 de juin à 52,5, dépassant également les 50,8 anticipés.
Ceux de la france sont respectivement passés de 48,4 à 49,8, établissant un sommet de 17 mois, et de 47,2 à 48,2 sur la même période.
Les prises de décisions mensuelles de la Réserve Fédérale et de la Banque Centrale Européenne seront au coeurs des débats à venir, de même que les chiffres du marché du travail et du produit intérieur brut des Etats-Unis, ainsi que le taux de chômage du bloc euro.
Investing.com a établi pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que d'autres également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 29 juillet
Les spécialistes de l'immobilier américain annonceront le volume des ventes de logements en cours, donnant le pouls de l'économie.
Mardi 30 juillet
Sur le front de la zone euro, l'institut économique Gfk rendra son rapport sur le moral des ménages de l'Allemagne, de même que les premières estimations de l'évolution des prix à la consommation nationaux et le produit intérieur brut de l'Espagne.
Les Etats-Unis feront de même avec l'indice Standard & Poor's/Case-Shiller des prix des logements établi à partir de 20 composantes, après quoi le groupe de recherches sur les marchés Conference Board sur la confiance des particuliers américains.
Mercredi 31 juillet
L'Allemagne diffusera le volume de ses ventes au détail, ainsi que les variations dans les nombres des salariés, tandis que la France rendra une étude sur les dépenses de ses consommateurs, sans oublier l'état des prix à la consommation et le taux de chômage de la région entière.
Les Etats-Unis révèleront pour leur part l'évolution leur produit intérieur brut, la mesure de la valeur des marchandises et des services produits par l'économie du pays, ainsi qu'un rapport sur le marché de l'emploi, et un autre sur l'activité manufacturière de Chicago.
La Réserve Fédérale publiera son bulletin mensuel sur la politique monétaire, en quête d'indices sur ses orientations futures.
Jeudi premier août
La zone euro verra la publication d'études sur l'activité manufacturière de l'Espagne et de l'Italie, ainsi que de la région entière, après quoi la Banque Centrale Européenne diffusera son communiqué sur ses orientations, après quoi elle tiendra une conférence de presse.
Les Etats-Unis ne seront pas en reste avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.
Vendredi 2 août
Du côté européen, l'Espagne publiera les évolution de son marché du travail.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la semaine avec une série de résultats concernant l'évolution de l'emploi hors agriculture, le taux de chômage, les revenus horaires moyens, et les dépenses individuelles, sans oublier le volume des commandes passées auprès des usines.