Investing.com - L'euro s'est retrouvé en mauvaise posture face à la plupart de ses concurrents ce mardi, après les déclarations d'un représentant éminent de la Banque Centrale Européenne, se trouvant toujours tiré vers le bas par les angoisses persistantes découlant du gonflement des coûts des emprunts espagnols.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi face au dollar U.S. pour se rapprocher de son ornière des 22 derniers mois, l'EUR/USD trébuchant de 0.09% pour descendre à 1.253.
Il s'est en effet retrouvé sur la sellette après qu'Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la BCE, ait déclaré que cette dernière n'avait toujours pas évoqué la reprise de son programme d'achats d'actifs.
Il a aussi pâti de la situation de l'Espagne, où l'augmentation des taux des bons du trésor, ainsi que des capitaux dévolus aux sauvetages de banques, pesant sur une économie durement touchée par la récession, ont contribué à faire redouter un recours à un programme de secours international.
Madrid a émis à la mi-journée pour 8.5 milliards d'euros en obligations semestrielles, à un taux moyen de 2.1%, le plus important des six derniers mois, au lieu des 1.77% précédents.
Celui des décennales s'est du coup propulsé vers les 6.48%, se maintenant juste au-dessous de leur sommet de l'année 2012 à 6.5% atteint d'hier après que le gouvernement ait annoncé son intention de renflouer un des plus gros établissements financiers du pays.
La monnaie unique a également cédé du terrain au yen, l'EUR/JPY régressant de 0.02% pour glisser à 99.63.
Des résultats émanant des autorités japonaises indiquaient ce matin pour avril une augmentation décevante des ventes au détail, se limitant à 5.8% alors que les experts espéraient qu'elle atteindrait les 6.2%.
Il avait toutefois été auparavant montré que les dépenses des ménages nippons avaient grimpé de 2.6% pour la même période, au lieu des 2.5% attendus.
La livre sterling et le franc suisse ont eux aussi exercé leur pression, l'EUR/GBP perdant 0.09% pour chuter à 0.799 et l'EUR/CHF laissant échapper 0.07% pour tomber à 1.2012.
Ses homologues australienne et néo-zélandaise ont toutefois subi sa domination, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD arrachant 0.05% pour se hisser à 1.2734, l'EUR/CAD flanchant de 0.12% pour se retrouver à 1.2822 et l'EUR/NZD avançant de 0.09% pour s'élever à 1.6485.
L'Allemagne devait de son côté révéler aujourd'hui l'évaluation préliminaire de son inflation au détail, tandis que les Etats-Unis feront de même avec l'évolution des prix de leur immobilier, et leur baromètre de la confiance des consommateurs.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi face au dollar U.S. pour se rapprocher de son ornière des 22 derniers mois, l'EUR/USD trébuchant de 0.09% pour descendre à 1.253.
Il s'est en effet retrouvé sur la sellette après qu'Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la BCE, ait déclaré que cette dernière n'avait toujours pas évoqué la reprise de son programme d'achats d'actifs.
Il a aussi pâti de la situation de l'Espagne, où l'augmentation des taux des bons du trésor, ainsi que des capitaux dévolus aux sauvetages de banques, pesant sur une économie durement touchée par la récession, ont contribué à faire redouter un recours à un programme de secours international.
Madrid a émis à la mi-journée pour 8.5 milliards d'euros en obligations semestrielles, à un taux moyen de 2.1%, le plus important des six derniers mois, au lieu des 1.77% précédents.
Celui des décennales s'est du coup propulsé vers les 6.48%, se maintenant juste au-dessous de leur sommet de l'année 2012 à 6.5% atteint d'hier après que le gouvernement ait annoncé son intention de renflouer un des plus gros établissements financiers du pays.
La monnaie unique a également cédé du terrain au yen, l'EUR/JPY régressant de 0.02% pour glisser à 99.63.
Des résultats émanant des autorités japonaises indiquaient ce matin pour avril une augmentation décevante des ventes au détail, se limitant à 5.8% alors que les experts espéraient qu'elle atteindrait les 6.2%.
Il avait toutefois été auparavant montré que les dépenses des ménages nippons avaient grimpé de 2.6% pour la même période, au lieu des 2.5% attendus.
La livre sterling et le franc suisse ont eux aussi exercé leur pression, l'EUR/GBP perdant 0.09% pour chuter à 0.799 et l'EUR/CHF laissant échapper 0.07% pour tomber à 1.2012.
Ses homologues australienne et néo-zélandaise ont toutefois subi sa domination, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD arrachant 0.05% pour se hisser à 1.2734, l'EUR/CAD flanchant de 0.12% pour se retrouver à 1.2822 et l'EUR/NZD avançant de 0.09% pour s'élever à 1.6485.
L'Allemagne devait de son côté révéler aujourd'hui l'évaluation préliminaire de son inflation au détail, tandis que les Etats-Unis feront de même avec l'évolution des prix de leur immobilier, et leur baromètre de la confiance des consommateurs.