Investing.com - L'euro était en forme face au dollar U.S. ce jeudi, la forte demande des investisseurs lors des mises aux enchères d'obligations françaises et espagnoles rassurant les observateurs, mais tout enthousiasme restant cependant tempéré par l'angoisse liée au problème du surendettement régional.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3504 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3478, prenant 0.23%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3319, son plancher du 23 novembre, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.3532, son plafond de mercredi.
La France a ainsi émis pour 4.5 milliards d'euros de dettes, et l'Espagne a atteint le total des 3.75 milliards qu'elle visait.
La première a écoulé pour 1.57 milliards de bons du trésor à dix ans, à un taux moyen de 3.18%, contre 3.22% lors d'un évènement similaire du mois dernier, le coût moyen des emprunts à cinq ans de la seconde s'est quand à lui établi à 5.54%, contre 4.84% début novembre.
Ces enchères étaient considérées comme un test crucial de la confiance des investisseurs, au lendemain de la décision conjointe de six des plus grosses banques centrales, notamment la Réserve Fédérale des Etats-Unis et la Banque Centrale Européenne, de diminuer le coût des fonds d'urgence en dollars pour les établissements bancaires européens.
L'enthousiasme des observateurs s'était auparavant trouvé douché par l'affirmation de Mario Draghi, nouveau président de la Banque Centrale Européenne, selon laquelle les risques de baisse des perspectives économiques avaient augmenté.
L'euro a également gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grimpant de 0.24% pour se hisser à 0.8584.
Les Etats-Unis devraient publier aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements faire de même concernant le volume de l'activité des usines.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3504 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3478, prenant 0.23%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3319, son plancher du 23 novembre, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.3532, son plafond de mercredi.
La France a ainsi émis pour 4.5 milliards d'euros de dettes, et l'Espagne a atteint le total des 3.75 milliards qu'elle visait.
La première a écoulé pour 1.57 milliards de bons du trésor à dix ans, à un taux moyen de 3.18%, contre 3.22% lors d'un évènement similaire du mois dernier, le coût moyen des emprunts à cinq ans de la seconde s'est quand à lui établi à 5.54%, contre 4.84% début novembre.
Ces enchères étaient considérées comme un test crucial de la confiance des investisseurs, au lendemain de la décision conjointe de six des plus grosses banques centrales, notamment la Réserve Fédérale des Etats-Unis et la Banque Centrale Européenne, de diminuer le coût des fonds d'urgence en dollars pour les établissements bancaires européens.
L'enthousiasme des observateurs s'était auparavant trouvé douché par l'affirmation de Mario Draghi, nouveau président de la Banque Centrale Européenne, selon laquelle les risques de baisse des perspectives économiques avaient augmenté.
L'euro a également gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grimpant de 0.24% pour se hisser à 0.8584.
Les Etats-Unis devraient publier aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements faire de même concernant le volume de l'activité des usines.