Investing.com - Les options sur l'or ont fini sur un plongeon de près de 1%, se retrouvant boudées après qu'il ait été signalé que l'inflation de la Chine avait atteint en décembre son plus haut niveau en sept mois, douchant les attentes d'apports de capitaux à court terme de la part de Pékin.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 662.55 USD de l'once à la clôture des échanges, cédant 0.9%.
Ils ont tout de même conclu avec un gain hebdomadaire de 0.4%, le premier en sept semaines, les signes d'augmentation de la demande de la Chine en prévision du nouvel an lunaire amplifiant aussi la tendance.
Ce phénomène débute généralement avant Noël et dure jusqu'aux festivités accueillant la nouvelle année, en février, les besoins du pays restant les plus importants après ceux de l'Inde.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 626.05 USD, leur plancher du 4 janvier, et rencontrer de la résistance à 1 680.95 USD, leur plafond du 30 décembre.
Ils se sont ainsi retrouvés sur la sellette après qu'il ait été signalé vendredi que l'augmentation à l'année des prix à la consommation chinois était passée de 2 à 2.5% pour décembre, au lieu des 2.3% envisagés.
Les coûts des denrées alimentaires, politiquement cruciaux, ont du coup bondi de 4.2% en un an, en raison notamment d'une explosion de 14.8% des valeurs des légumes.
Ces chiffres dépassant les prévisions ont du coup diminué l'attente de nouveaux accommodements à court terme de la part des autorités, soucieuses d'encourager la seconde économie mondiale.
Les politiques montaires souples employées ces dernières années par les banques centrales des Etats-Unis, d'Europe et de Chine ont contribué à consolider le métal précieux, servant de rempart contre l'inflation.
Les avaient culminé jeudi au plus haut de la semaine, le dollar U.S. ayant été boudé suite au maintien du taux d'intérêt directeur de la Banque Centrale Européenne à 0.75%, et à l'affirmation de sa confiance dans une reprise graduée en cours d'année.
L'or a souvent tendance à monter quand l'étalon américain descend.
Les perspectives montaires de la Réserve Fédérale feront des gorges chaudes au cours de la semaine, de même que les tractations politiques américaines, en vue du relèvement du plafond d'endettement du pays le mois prochain.
Le discours que Ben Bernanke, président de la Fed, tiendra demain au sujet des mesures prises par celle-ci et de la relance après la crise financière sera aussi au centre des débats.
Les prix s'étaient effondrés le 4 janvier à leur niveau le plus faible en quatre mois, après que compte-rendu du conseil de direction effectué le mois dernier par la Réserve Fédérale ait montré que celle-ci envisageait de mettre fin aux injections de liquidités plus tôt que prévu.
Ce programme d'assouplissement quantitatif est considéré par de nombreux observateurs comme une source majeure de liquidités, affaiblissant le billet vert et renforçant au contraire les matières premières, et notamment le métal précieux.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs chuté de 1.5% lors de la dernière journée de cotation pour conclure à 30.46 USD de l'once, grignotant malgré cela 0.8% hebdomadaires.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles glissé de 1.35% lors de l'ultime session, pour fondre à 3.659 USD la livre, dérapant de 1.1% au cours de la semaine.
Le produit intérieur brut du quatrième trimestre de la Chine reste très attendu, les observateurs guettant des signes de reprise de la deuxième économie au monde.
Elle fera connaître le 18 janvier le volume officiel de son économie, alors qu'elle garde sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année passée.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 662.55 USD de l'once à la clôture des échanges, cédant 0.9%.
Ils ont tout de même conclu avec un gain hebdomadaire de 0.4%, le premier en sept semaines, les signes d'augmentation de la demande de la Chine en prévision du nouvel an lunaire amplifiant aussi la tendance.
Ce phénomène débute généralement avant Noël et dure jusqu'aux festivités accueillant la nouvelle année, en février, les besoins du pays restant les plus importants après ceux de l'Inde.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 626.05 USD, leur plancher du 4 janvier, et rencontrer de la résistance à 1 680.95 USD, leur plafond du 30 décembre.
Ils se sont ainsi retrouvés sur la sellette après qu'il ait été signalé vendredi que l'augmentation à l'année des prix à la consommation chinois était passée de 2 à 2.5% pour décembre, au lieu des 2.3% envisagés.
Les coûts des denrées alimentaires, politiquement cruciaux, ont du coup bondi de 4.2% en un an, en raison notamment d'une explosion de 14.8% des valeurs des légumes.
Ces chiffres dépassant les prévisions ont du coup diminué l'attente de nouveaux accommodements à court terme de la part des autorités, soucieuses d'encourager la seconde économie mondiale.
Les politiques montaires souples employées ces dernières années par les banques centrales des Etats-Unis, d'Europe et de Chine ont contribué à consolider le métal précieux, servant de rempart contre l'inflation.
Les avaient culminé jeudi au plus haut de la semaine, le dollar U.S. ayant été boudé suite au maintien du taux d'intérêt directeur de la Banque Centrale Européenne à 0.75%, et à l'affirmation de sa confiance dans une reprise graduée en cours d'année.
L'or a souvent tendance à monter quand l'étalon américain descend.
Les perspectives montaires de la Réserve Fédérale feront des gorges chaudes au cours de la semaine, de même que les tractations politiques américaines, en vue du relèvement du plafond d'endettement du pays le mois prochain.
Le discours que Ben Bernanke, président de la Fed, tiendra demain au sujet des mesures prises par celle-ci et de la relance après la crise financière sera aussi au centre des débats.
Les prix s'étaient effondrés le 4 janvier à leur niveau le plus faible en quatre mois, après que compte-rendu du conseil de direction effectué le mois dernier par la Réserve Fédérale ait montré que celle-ci envisageait de mettre fin aux injections de liquidités plus tôt que prévu.
Ce programme d'assouplissement quantitatif est considéré par de nombreux observateurs comme une source majeure de liquidités, affaiblissant le billet vert et renforçant au contraire les matières premières, et notamment le métal précieux.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs chuté de 1.5% lors de la dernière journée de cotation pour conclure à 30.46 USD de l'once, grignotant malgré cela 0.8% hebdomadaires.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles glissé de 1.35% lors de l'ultime session, pour fondre à 3.659 USD la livre, dérapant de 1.1% au cours de la semaine.
Le produit intérieur brut du quatrième trimestre de la Chine reste très attendu, les observateurs guettant des signes de reprise de la deuxième économie au monde.
Elle fera connaître le 18 janvier le volume officiel de son économie, alors qu'elle garde sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année passée.