Investing.com - Les bourses européennes restaient mitigées ce mercredi après-midi, sur fond de nervosité à l'orée du vote au sujet du relèvement du plafond d'endettement des Etats-Unis.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.19%, et le CAC 40 français de 0.3'%, mais le DAX 30 allemand arrachait cependant 0.22%.
Les débats américains restaient sur le devant de la scène, après que les élus républicains aient laissé entendre qu'ils accepteraient cette semaine le vote d'une extension de près de quatre mois de l'endettement maximal du pays, afin de permettre au gouvernement de remplir ses obligations pendant ce temps.
L'ambiance s'était trouvée plombée hier en raison de rumeurs selon lesquelles certaines grandes banques allemandes pourraient se trouver dans l'obligation de scinder leurs activités de détail et d'investissement.
La finance était du coup encore en berne, les français BNP Paribas et Société Générale voyaient leur situation empirer en dérapant respectivement de 1.12 et 1.67%, tandis que les allemands Commerzbank et Deutsche Bank limitaient les dégâts avec 1.33% et 0.5%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant révélé que ce dernier devrait débourser 1.6 millions d'USD afin d'échapper aux poursuites de la commission fédérale de régulation de l'énergie, accusant une de ses succursales d'avoir manipulé le marché californien de l'électricité.
Elle a aussi indiqué qu'il devrait payer 1.5 millions d'USD de dommages au civil et 172 645 USD avec intérêts à l'opérateur du réseau électrique de l'état.
Tout n'était cependant pas désespéré, les laboratoires pharmaceutiques Novartis engrangeant 4.71% après avoir annoncé que son président Daniel Vasella laisserait sa place au sein du conseil d'administration après l'avoir occupée 17 ans, et que Joerg Reinhardt, de Bayer AG, le remplacerait, sans disposer de pouvoirs exécutifs.
A Londres, le FTSE 100, a conquis 0.15%, après qu'une étude officielle ait montré pour décembre une chute du nombre de bénéficiaires des allocations de recherche de travail à son plus bas niveau depuis juin 2011.
Unilever était dans le peloton de tête avec un bond de 2.77%, suite à la revendication d'une croissance de 7.8% de son chiffre d'affaires, dépassant ainsi les prévisions des experts.
Tullow Oil n'était pas en reste, avec 2.94%, suivi des compagnies minières Rangol Resources et Evraz avec 2.28 et 1.92%.
La City partageait le pessimisme de ses homologues continentaux, la Royal Bank of Scotland chutant de 0.21%, Lloyds Banking de 1.06%, tandis que HSBC Holdings émergeait de 0.19% et Barclays de 0.48%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi partagées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.01%, celles sur le S&P 500 tablant sur un faux pas de 0.1% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur une frémissement de 0.12%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières, tandis que le forum économique mondial se poursuivra pour une seconde journée d'affilée dans la station de ski helvète de Davos.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.19%, et le CAC 40 français de 0.3'%, mais le DAX 30 allemand arrachait cependant 0.22%.
Les débats américains restaient sur le devant de la scène, après que les élus républicains aient laissé entendre qu'ils accepteraient cette semaine le vote d'une extension de près de quatre mois de l'endettement maximal du pays, afin de permettre au gouvernement de remplir ses obligations pendant ce temps.
L'ambiance s'était trouvée plombée hier en raison de rumeurs selon lesquelles certaines grandes banques allemandes pourraient se trouver dans l'obligation de scinder leurs activités de détail et d'investissement.
La finance était du coup encore en berne, les français BNP Paribas et Société Générale voyaient leur situation empirer en dérapant respectivement de 1.12 et 1.67%, tandis que les allemands Commerzbank et Deutsche Bank limitaient les dégâts avec 1.33% et 0.5%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant révélé que ce dernier devrait débourser 1.6 millions d'USD afin d'échapper aux poursuites de la commission fédérale de régulation de l'énergie, accusant une de ses succursales d'avoir manipulé le marché californien de l'électricité.
Elle a aussi indiqué qu'il devrait payer 1.5 millions d'USD de dommages au civil et 172 645 USD avec intérêts à l'opérateur du réseau électrique de l'état.
Tout n'était cependant pas désespéré, les laboratoires pharmaceutiques Novartis engrangeant 4.71% après avoir annoncé que son président Daniel Vasella laisserait sa place au sein du conseil d'administration après l'avoir occupée 17 ans, et que Joerg Reinhardt, de Bayer AG, le remplacerait, sans disposer de pouvoirs exécutifs.
A Londres, le FTSE 100, a conquis 0.15%, après qu'une étude officielle ait montré pour décembre une chute du nombre de bénéficiaires des allocations de recherche de travail à son plus bas niveau depuis juin 2011.
Unilever était dans le peloton de tête avec un bond de 2.77%, suite à la revendication d'une croissance de 7.8% de son chiffre d'affaires, dépassant ainsi les prévisions des experts.
Tullow Oil n'était pas en reste, avec 2.94%, suivi des compagnies minières Rangol Resources et Evraz avec 2.28 et 1.92%.
La City partageait le pessimisme de ses homologues continentaux, la Royal Bank of Scotland chutant de 0.21%, Lloyds Banking de 1.06%, tandis que HSBC Holdings émergeait de 0.19% et Barclays de 0.48%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi partagées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.01%, celles sur le S&P 500 tablant sur un faux pas de 0.1% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur une frémissement de 0.12%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières, tandis que le forum économique mondial se poursuivra pour une seconde journée d'affilée dans la station de ski helvète de Davos.