Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture nettement positive ce jeudi après-midi, la banque centrale des Etats-Unis n'ayant donné aucun signe d'une réduction prochaine de ses coups de pouce.
Les bons résultats des secteurs secondaires chinois et européens ont également amélioré l'ambiance.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,7%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,7% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,7% également.
La Réserve Fédérale a en effet achevé hier ses deux jours de réunion en affirmant qu'elle poursuivrait ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats de prêts hypothécaires et d'obligations nationales, précisant que la croissance demeurait "modérée".
Time Warner Cable était sur le devant de la scène après avoir revendiqué 1,69 USD de bénéfices par action pour le second trimestre, au lieu des 1,65 USD anticipés.
Ils réprésentaient ainsi un total de 5,55 milliards d'USD sur cette période, soit tout de même un petit peu moins que les 5,57 milliards prédits.
sur le front du Dow, il ne fallait pas négliger Exxon Mobil et Procter & Gamble, dont les résultats devaient être proclamés avant l'ouverture.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.
Les chiffres de l'emploi qu'ils diffuseront demain seront aussi sous surveillance, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en forme, après que des statistiques aient laissé à penser que la débâcle industrielle régionale était en train de se résorber.
L'EURO STOXX 50 grimpait de 0,7%, le CAC 40 français de 0,4%, le DAX 30 allemand de 1,1% et le FTSE 100 britannique de 0,3%.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant révélé que son indice de la vigueur des industries du bloc euro avait connu un sursaut depuis 48,8 vers 50,3 en juillet, son plus haut niveau en deux ans, après avoir été évalué à 50,1.
Celui de l'Allemagne passait sur une période identique de 48,6 à 50,7, sa valeur la plus élevée en 18 mois, alors qu'il avait été estimé préalablement à 50,3.
Son équivalent britannique bondissait de 52,9 à 54,6 dans le même temps, ce qui ne s'était pas vu en 28 mois.
Les observateurs guettaient désormais les conclusions des conseils d'orientation de la bce et de la Banque d'Angleterre.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,95%, et le Nikkei 225 japonais 2,5%, grâce à de belles performances.
Le moral s'était aussi trouvé regonfléé à l'aube par une bonne surprise en provenance de Chine.
L'indice des directeurs d'achats manufacturiers établi les autorités chinoises est ainsi remonté sans crier gare depuis 50,1 vers 50,3 sur une période identique à celle de ses homologues européens.
Toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénote une croissance du secteur et inversement.
Les bons résultats des secteurs secondaires chinois et européens ont également amélioré l'ambiance.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,7%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,7% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,7% également.
La Réserve Fédérale a en effet achevé hier ses deux jours de réunion en affirmant qu'elle poursuivrait ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats de prêts hypothécaires et d'obligations nationales, précisant que la croissance demeurait "modérée".
Time Warner Cable était sur le devant de la scène après avoir revendiqué 1,69 USD de bénéfices par action pour le second trimestre, au lieu des 1,65 USD anticipés.
Ils réprésentaient ainsi un total de 5,55 milliards d'USD sur cette période, soit tout de même un petit peu moins que les 5,57 milliards prédits.
sur le front du Dow, il ne fallait pas négliger Exxon Mobil et Procter & Gamble, dont les résultats devaient être proclamés avant l'ouverture.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.
Les chiffres de l'emploi qu'ils diffuseront demain seront aussi sous surveillance, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en forme, après que des statistiques aient laissé à penser que la débâcle industrielle régionale était en train de se résorber.
L'EURO STOXX 50 grimpait de 0,7%, le CAC 40 français de 0,4%, le DAX 30 allemand de 1,1% et le FTSE 100 britannique de 0,3%.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant révélé que son indice de la vigueur des industries du bloc euro avait connu un sursaut depuis 48,8 vers 50,3 en juillet, son plus haut niveau en deux ans, après avoir été évalué à 50,1.
Celui de l'Allemagne passait sur une période identique de 48,6 à 50,7, sa valeur la plus élevée en 18 mois, alors qu'il avait été estimé préalablement à 50,3.
Son équivalent britannique bondissait de 52,9 à 54,6 dans le même temps, ce qui ne s'était pas vu en 28 mois.
Les observateurs guettaient désormais les conclusions des conseils d'orientation de la bce et de la Banque d'Angleterre.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,95%, et le Nikkei 225 japonais 2,5%, grâce à de belles performances.
Le moral s'était aussi trouvé regonfléé à l'aube par une bonne surprise en provenance de Chine.
L'indice des directeurs d'achats manufacturiers établi les autorités chinoises est ainsi remonté sans crier gare depuis 50,1 vers 50,3 sur une période identique à celle de ses homologues européens.
Toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénote une croissance du secteur et inversement.