Investing.com - Les options sur les actions américaines étaient en plein marasme ce mardi, le renouveau des inquiétudes concernant la gestion de la crise de la dette souveraine de la zone euro pesant sur le moral des investisseurs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors un effonndrement de 1.98%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 2.98% et celles sur le Nasdaq 100 à 2.52%.
Le goût pour le risque a en effet été affecté par le flou concernant les modalités de mise en place des mesures adoptées lors du sommet de l'Union Européenne de jeudi dernier.
Les informations selon lesquelles George Papandreou, premier ministre de la Grèce, aurait appelé à un referendum concernant le nouveau plan de secours et la hausse des coûts des emprunts italiens ont également contribué à mettre l'euro sur la sellette.
Les prêteurs américains se trouvaient en déroute, à l'image de leurs homologues européens, Citigroup plongeant de 7.52%, la Bank of America de 7.07%, Goldman Sachs et JP Morgan de respectivement 5.45 et 5.26%.
La finance s'était aussi trouvée mise à mal par la mise en faillite hier du négociant MF Global, cherchant ainsi à se protéger moins d'une semaine après que l'agence Moody's ait décidé d'en revoir la notation à la baisse après avoir avoué des pertes trimestrielles d'une importance jamais vue.
Le secteur énergétique n'était pas à la fête, après publication d'une étude officielle montrant que l'activité manufacturière chinoise était tombée en octobre à son pire niveau depuis février 2009, les géants des hydrocarbures Chevron Corp et Exxon Mobil s'effondrant de 4.19 et 4.16%, tandis que le charbonnier Alpha Natural Resources dégringolait de 9.49%.
Parmi les rapports de résultats, les laboratoires pharmaceutiques Pfizer ont fléchi de 2.83% malgré des revenus trimestriels supérieurs aux attentes, et la confirmation de ses objectifs pour 2012.
Thomson Reuters s'est écroulé de 1.98% de son côté, bien qu'ayant lui aussi dépassé ses prévisions, rapportant 0.56 USD par action, contre 0.49 l'année dernière.
Tout n'était cependant pas désespéré, Herbalife Ltd, pourvoyeur de compléments pour la nutrition et la perte de poids, raflant 1.66% après avoir pourtant fait savoir que ses dididendes de 2012 ne dépasseraient pas 3.45 USD sur chaque part, décevant ainsi les attentes des experts.
L'assureur Humana a quand à lui prolongé ses gains de lundi, s'élevant de 5.65% suite à l'annonce de profits supérieurs aux prévisions, revoyant ses perspectives des rentrées annuelles à la hausse.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 5.77%, le CAC 40 français de 5.41%, le DAX 30 allemand de 5.76% et le FTSE 100 britannique de 3.56%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 2.5% et le Nikkei 225 japonais 1.7%.
L'institut de gestion des approvisionnements devait quand à lui rendre un rapport sur l'activité manufacturière américaine dans l'après-midi.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors un effonndrement de 1.98%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 2.98% et celles sur le Nasdaq 100 à 2.52%.
Le goût pour le risque a en effet été affecté par le flou concernant les modalités de mise en place des mesures adoptées lors du sommet de l'Union Européenne de jeudi dernier.
Les informations selon lesquelles George Papandreou, premier ministre de la Grèce, aurait appelé à un referendum concernant le nouveau plan de secours et la hausse des coûts des emprunts italiens ont également contribué à mettre l'euro sur la sellette.
Les prêteurs américains se trouvaient en déroute, à l'image de leurs homologues européens, Citigroup plongeant de 7.52%, la Bank of America de 7.07%, Goldman Sachs et JP Morgan de respectivement 5.45 et 5.26%.
La finance s'était aussi trouvée mise à mal par la mise en faillite hier du négociant MF Global, cherchant ainsi à se protéger moins d'une semaine après que l'agence Moody's ait décidé d'en revoir la notation à la baisse après avoir avoué des pertes trimestrielles d'une importance jamais vue.
Le secteur énergétique n'était pas à la fête, après publication d'une étude officielle montrant que l'activité manufacturière chinoise était tombée en octobre à son pire niveau depuis février 2009, les géants des hydrocarbures Chevron Corp et Exxon Mobil s'effondrant de 4.19 et 4.16%, tandis que le charbonnier Alpha Natural Resources dégringolait de 9.49%.
Parmi les rapports de résultats, les laboratoires pharmaceutiques Pfizer ont fléchi de 2.83% malgré des revenus trimestriels supérieurs aux attentes, et la confirmation de ses objectifs pour 2012.
Thomson Reuters s'est écroulé de 1.98% de son côté, bien qu'ayant lui aussi dépassé ses prévisions, rapportant 0.56 USD par action, contre 0.49 l'année dernière.
Tout n'était cependant pas désespéré, Herbalife Ltd, pourvoyeur de compléments pour la nutrition et la perte de poids, raflant 1.66% après avoir pourtant fait savoir que ses dididendes de 2012 ne dépasseraient pas 3.45 USD sur chaque part, décevant ainsi les attentes des experts.
L'assureur Humana a quand à lui prolongé ses gains de lundi, s'élevant de 5.65% suite à l'annonce de profits supérieurs aux prévisions, revoyant ses perspectives des rentrées annuelles à la hausse.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 5.77%, le CAC 40 français de 5.41%, le DAX 30 allemand de 5.76% et le FTSE 100 britannique de 3.56%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 2.5% et le Nikkei 225 japonais 1.7%.
L'institut de gestion des approvisionnements devait quand à lui rendre un rapport sur l'activité manufacturière américaine dans l'après-midi.