Investing.com - Les places d'Asie terminaient sur une note enjouée ce mardi matin, dans le sillage des belles performances de la Chine, renforçant l'optimisme quand à ses perspectives économiques.
Le reflux de l'angoisse d'une frappe sontre la Syrie de la part des Etats-Unis n'était pas non plus à négliger.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,38%, le Hang Seng de Hong Kong 0,5% et le Nikkei 225 japonais 1,54%.
Le moral est en effet remonté après que le président américain Barack Obama ait déclaré que l'offensive contre Damas serait suspendue en cas d'acceptation par le pouvoir syrien de la proposition russe de placer son arsenal chimique sous surveillance internationale.
Sydney avançait dans le sillage des résultats positifs provenant de la seconde économie mondiale.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières dépendent en effet fortement de ses besoins.
Le mastodontes minier Rio Tinto bondissait de 1,5%, et le Fortescue Metals Group, centré sur le minerai de fer, de 1,35%.
La bande des quatre plus grosses banques locales a suivi le mouvement, l'ANZ Banking Group empochant 0,8% et la National Australia Bank aussi, tandis que le Westpac Banking Group se plaçait en tête avec 1,5%.
Hong Kong s'est pour sa part hissée vers un pic de trois mois après qu'une étude officielle ait montré que la production industrielle chinoise avait dépassé les attentes le mois passé.
Elle a ainsi bondi de 10,4% en août, dépassant ainsi les 9,9% envisagés pour prolonger les 9,7% ayant précédé.
Les bons résultats du commerce extérieur sur la même période dévoilés dimanche avaient déjà rassuré quand à la capacité du pays à se sortir de l'impasse.
Les grands noms de l'exportationen ont profité, Lenovo engrangeant 3,4%, Li & Fung 0,6%, et le chausseur Belle International Holdings 2,5%.
Tokyo caracolait à un sommet de quatre semaines, s'appuyant toujours sur l'idée selon laquelle les investissements et les chantiers destinés à accueillir les jeux olympiques de 2020 aideront à mener l'archipel sur le chemin de la relance pour les prochaines années.
Le domaine du bâtiment en a évidemment de nouveau profité, Kajima et Taisei raflant respectivement 7,85 et 13,2%, tandis que les promoteurs immobiliers Mitsubishi Estate et Mitsui Fudosan se contentaient de 2 et 2,5%.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, empochant 1,9%, tandis que le Sumitomo Mitsui Financial Group et le courtier Nomura Holdings suivaient le mouvement avec 2,5 et 2,9%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait lui aussi au diapason de l'ambiance réjouie.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,3%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,3% aussi et celles sur le FTSE 100 britannique à 0,2%.
Le suspense concernant le moment où la Réserve Fédérale commencera à réduire la voilure de ses rachats d'actifs mensuels demeurait aussi au premier plan.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans la montée des cours mondiaux.
Le reflux de l'angoisse d'une frappe sontre la Syrie de la part des Etats-Unis n'était pas non plus à négliger.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,38%, le Hang Seng de Hong Kong 0,5% et le Nikkei 225 japonais 1,54%.
Le moral est en effet remonté après que le président américain Barack Obama ait déclaré que l'offensive contre Damas serait suspendue en cas d'acceptation par le pouvoir syrien de la proposition russe de placer son arsenal chimique sous surveillance internationale.
Sydney avançait dans le sillage des résultats positifs provenant de la seconde économie mondiale.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières dépendent en effet fortement de ses besoins.
Le mastodontes minier Rio Tinto bondissait de 1,5%, et le Fortescue Metals Group, centré sur le minerai de fer, de 1,35%.
La bande des quatre plus grosses banques locales a suivi le mouvement, l'ANZ Banking Group empochant 0,8% et la National Australia Bank aussi, tandis que le Westpac Banking Group se plaçait en tête avec 1,5%.
Hong Kong s'est pour sa part hissée vers un pic de trois mois après qu'une étude officielle ait montré que la production industrielle chinoise avait dépassé les attentes le mois passé.
Elle a ainsi bondi de 10,4% en août, dépassant ainsi les 9,9% envisagés pour prolonger les 9,7% ayant précédé.
Les bons résultats du commerce extérieur sur la même période dévoilés dimanche avaient déjà rassuré quand à la capacité du pays à se sortir de l'impasse.
Les grands noms de l'exportationen ont profité, Lenovo engrangeant 3,4%, Li & Fung 0,6%, et le chausseur Belle International Holdings 2,5%.
Tokyo caracolait à un sommet de quatre semaines, s'appuyant toujours sur l'idée selon laquelle les investissements et les chantiers destinés à accueillir les jeux olympiques de 2020 aideront à mener l'archipel sur le chemin de la relance pour les prochaines années.
Le domaine du bâtiment en a évidemment de nouveau profité, Kajima et Taisei raflant respectivement 7,85 et 13,2%, tandis que les promoteurs immobiliers Mitsubishi Estate et Mitsui Fudosan se contentaient de 2 et 2,5%.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, empochant 1,9%, tandis que le Sumitomo Mitsui Financial Group et le courtier Nomura Holdings suivaient le mouvement avec 2,5 et 2,9%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait lui aussi au diapason de l'ambiance réjouie.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,3%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,3% aussi et celles sur le FTSE 100 britannique à 0,2%.
Le suspense concernant le moment où la Réserve Fédérale commencera à réduire la voilure de ses rachats d'actifs mensuels demeurait aussi au premier plan.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans la montée des cours mondiaux.