La Bourse de Paris devrait terminer la semaine sur une note de prudence vendredi avant un week-end de tous les dangers, avec un référendum grec qui pourrait pousser Athènes vers une sortie de la zone euro.
Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison fin juillet - recule de 0,1% à 4840 points, prémisse d'un début de séance en léger repli.
Le facteur d'incertitude grec et la forte indécision du scrutin à en croire les derniers sondages devraient inciter les gérants à réduire la voilure.
En cas de 'oui' à l'austérité, Alexis Tsipras et Yanis Varoufakis ont d'ores et déjà laissé entendre qu'ils démissionneraient.
'Une victoire du 'oui' précipiterait la Grèce dans un chaos politique sans précédent', prévient Stan Shamu, stratège de marché chez IG.
'Mais ce serait encore pire si le 'non' venait à l'emporter compte tenu de son lot d'incertitudes susceptibles de venir ébranler les marches', ajoute-t-il.
'Dans les deux cas de figure, les investisseurs vont devoir attacher leurs ceintures en vue d'une séance tumultueuse lundi', prévient l'analyste.
L'absence d'orientation en provenance de Wall Street - qui sera fermée aujourd'hui à la veille de la fête nationale ('Independence Day') -devrait également inciter les intervenants à la prudence.
Hier, à New York, les intervenants s'étaient déjà montrés prudents avant le 'pont' du 4 juillet.
La consolidation l'a emporté à l'issue d'une séance où le redressement de la dernière heure n'a pas été suffisant pour ramener les indices dans le vert avec un Dow Jones qui s'effritait au final de 0,2%.
Sur l'ensemble de la semaine (de quatre séances donc) le Dow abandonne 1,2%.
En Europe, la séance sera surtout animée par quelques indicateurs économiques avec les indices PMI des services et les ventes de détail dans la zone euro.
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Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison fin juillet - recule de 0,1% à 4840 points, prémisse d'un début de séance en léger repli.
Le facteur d'incertitude grec et la forte indécision du scrutin à en croire les derniers sondages devraient inciter les gérants à réduire la voilure.
En cas de 'oui' à l'austérité, Alexis Tsipras et Yanis Varoufakis ont d'ores et déjà laissé entendre qu'ils démissionneraient.
'Une victoire du 'oui' précipiterait la Grèce dans un chaos politique sans précédent', prévient Stan Shamu, stratège de marché chez IG.
'Mais ce serait encore pire si le 'non' venait à l'emporter compte tenu de son lot d'incertitudes susceptibles de venir ébranler les marches', ajoute-t-il.
'Dans les deux cas de figure, les investisseurs vont devoir attacher leurs ceintures en vue d'une séance tumultueuse lundi', prévient l'analyste.
L'absence d'orientation en provenance de Wall Street - qui sera fermée aujourd'hui à la veille de la fête nationale ('Independence Day') -devrait également inciter les intervenants à la prudence.
Hier, à New York, les intervenants s'étaient déjà montrés prudents avant le 'pont' du 4 juillet.
La consolidation l'a emporté à l'issue d'une séance où le redressement de la dernière heure n'a pas été suffisant pour ramener les indices dans le vert avec un Dow Jones qui s'effritait au final de 0,2%.
Sur l'ensemble de la semaine (de quatre séances donc) le Dow abandonne 1,2%.
En Europe, la séance sera surtout animée par quelques indicateurs économiques avec les indices PMI des services et les ventes de détail dans la zone euro.
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