Investing.com - Le dollar U.S. était davantage en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, dans le sillage de l'abandon par l'ancien ministre des finances Lawrence Summers de la course au poste de président de la Réserve Fédérale et de résultats décevants de la part du secteur secondaire.
En deuxième partie de séance européenne, il a encore fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,64% pour se retrouver à 98,71.
La confiance est en effet revenue après que M. Summers ait jeté l'éponge, apaisant l'angoisse d'une fermeture des vannes bien plus rapide de sa part que de celle de Janet Yellen, sa principale rivale.
Les observateurs guettaient aussi les conclusions de la réunion que la banque centrale des Etats-Unis tiendra mercredi.
L'indice de l'activité manufacturière dans la région de New York s'est pour sa part rétracté des 8,24 d'août jusqu'à 6,29, sa pire valeur en quatre ois, alors qu'un sursaut à 9,é était espéré.
Cette contre-perforance a du coup contribué à semer le doute sur sa volonté de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs dès ce mois-ci.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,60% pour grimper à 1,3375, aux abords d'un sommet de trois semaines.
Mario Draghi, à la tête de la Banque Centrale Européenne, a pour sa part rappelé lors d'un discours à Berlin que la relance économique était encore "fragile" et que ses taux d'intérêt demeureraient à leur niveau actuel ou plus bas "pour encore longtemps".
Il était aussi à noter que les prix à la consommation au sein du bloc dont elle a la charge avaient augmenté de 1,3% d'une année sur l'autre le mois dernier, comme lors du précédent, conformément aux prédictions et aux premières estimations.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,46% pour se hisser à 1,5950, frôlant un pic de huit mois.
Il a d'autre part davantage subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,54% pour tomber à 0,9246.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 1,50% pour monter à 0,9384, le NZD/USD engrangeant 1,07% pour culminer à 0,8220 et l'USD/CAD régressant de 0,57% pour aller vers 1,0296.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,59% pour se situer à 81,18.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume de leur production industrielle et le taux d'utilisation des capacités.
En deuxième partie de séance européenne, il a encore fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,64% pour se retrouver à 98,71.
La confiance est en effet revenue après que M. Summers ait jeté l'éponge, apaisant l'angoisse d'une fermeture des vannes bien plus rapide de sa part que de celle de Janet Yellen, sa principale rivale.
Les observateurs guettaient aussi les conclusions de la réunion que la banque centrale des Etats-Unis tiendra mercredi.
L'indice de l'activité manufacturière dans la région de New York s'est pour sa part rétracté des 8,24 d'août jusqu'à 6,29, sa pire valeur en quatre ois, alors qu'un sursaut à 9,é était espéré.
Cette contre-perforance a du coup contribué à semer le doute sur sa volonté de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs dès ce mois-ci.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,60% pour grimper à 1,3375, aux abords d'un sommet de trois semaines.
Mario Draghi, à la tête de la Banque Centrale Européenne, a pour sa part rappelé lors d'un discours à Berlin que la relance économique était encore "fragile" et que ses taux d'intérêt demeureraient à leur niveau actuel ou plus bas "pour encore longtemps".
Il était aussi à noter que les prix à la consommation au sein du bloc dont elle a la charge avaient augmenté de 1,3% d'une année sur l'autre le mois dernier, comme lors du précédent, conformément aux prédictions et aux premières estimations.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,46% pour se hisser à 1,5950, frôlant un pic de huit mois.
Il a d'autre part davantage subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,54% pour tomber à 0,9246.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 1,50% pour monter à 0,9384, le NZD/USD engrangeant 1,07% pour culminer à 0,8220 et l'USD/CAD régressant de 0,57% pour aller vers 1,0296.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,59% pour se situer à 81,18.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume de leur production industrielle et le taux d'utilisation des capacités.