Bella Loykhter Allaire, directrice administrative de Raymond James Financial Inc. (NYSE:RJF), a récemment vendu un nombre important d'actions de la société. Selon une récente déclaration à la SEC, Allaire a vendu 3.451 actions le 03/12/2024, à un prix moyen de 165,6221$ par action, pour un total d'environ 571.561$. Cette transaction intervient alors que RJF se négocie près de son plus haut sur 52 semaines de 171,38$, l'action ayant enregistré des rendements impressionnants de plus de 51% depuis le début de l'année.
En plus de cette transaction, Allaire a vendu 1.170 actions le 29/11/2024, à un prix moyen de 169,4266$, pour un montant de 198.229$. Ces transactions faisaient partie d'une série d'opérations comprenant l'exercice et l'acquisition d'unités d'actions restreintes et des ventes pour couvrir les obligations fiscales.
À la suite de ces ventes, Allaire détient directement 80.421 actions. Ces transactions reflètent une gestion continue des participations en actions par les dirigeants de l'entreprise, une pratique courante en matière de gouvernance d'entreprise.
Dans d'autres actualités récentes, Raymond James Financial a annoncé un chiffre d'affaires net record au quatrième trimestre de 3,46 milliards de dollars et un bénéfice net de 601 millions de dollars. Cette augmentation significative a été stimulée par une hausse des revenus de conseil et une forte performance de la banque d'investissement. La société a également annoncé une augmentation de 11,1% de son dividende trimestriel et autorisé un nouveau programme de rachat d'actions pouvant atteindre 1,5 milliard de dollars.
Les analystes ont réagi positivement à ces développements. TD Cowen a maintenu une recommandation de "Conserver" mais a augmenté l'objectif de cours à 150,00$, tandis que BofA Securities et Citi ont également relevé leurs objectifs de cours à 152$ et 145$ respectivement. Ces ajustements font suite au dépassement des attentes de la société en termes de bénéfice par action.
Raymond James prévoit une sortie de fonds de 5 milliards de dollars au premier trimestre en raison du départ d'un Bureau de Juridiction de Supervision. Cependant, BofA s'attend à une normalisation des nouveaux actifs nets, projetant un taux de croissance de 5 à 7% pour l'année suivante. Dans le cadre de ces récents développements, Raymond James maintient des perspectives optimistes pour l'exercice 2025, s'attendant à une croissance tirée par l'augmentation des actifs et des comptes basés sur les frais.
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