Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, alors que les mauvais résultats économiques de la zone euro aggravaient les craintes concernant la gestion de sa crise de la dette.
En première partie de séance européenne, la monnaie unique a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.47% pour tomber à 1.3155.
Des informations préliminaires avaient signalé que l'activité du secteur secondaire de la zone euro avait ralenti en avril à son pire niveau depuis juin 2009.
Dans son rapport, l'institut de recherches économiques Markit a fait savoir que son indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers de la région était effectivement tombé à 46 pour le mois, après s'être situé à 47.7 lors du précédent, alors que les experts s'étaient pourtant attendus à le voir se hisser à 48.2 pour la période considérée.
Le document précisait aussi que le domaine des services régional avait chuté dans le mêem temps vers sa pire valeur des cinq derniers mois.
L'indice préliminaire des directeurs des achats tertiaires a pour sa part fondu de 1.3 pour passer de 49.2 à 47.9, alors que les spécialistes pensaient le voir grapiller 0.2 points pour s'élever vers 49.4.
Il avait auparavant été signalé que l'activité manufacturière allemande avait ralenti en avril jusqu'à son pire niveau en près de trois ans, alimentant les incertitudes concernant la première économie de la zone euro.
Ces informations ont éclipsé le fait que que le groupe des 20 pays les plus développés s'était mis d'accord vendredi pour porter la puissance de prêt du Fonds Monétaire International à 430 milliards d'USD, afin d'aider à protéger l'économie mondiale des conséquences du problème de surendettement qui hante la région.
L'atmosphère s'était trouvée assombrie ce matin en raison des incertitudes concernant le résultat des élections présidentielles françaises, après que le président sortant Nicolas Sarkozy ait réalisé au premier tour une piètre performance contre son rival François Hollande.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.14% pour chuter à 1.61.
Il a toutefois subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY plongeant de 0.52% pour sombrer à 81.09 et l'USD/CHF grignotant 0.5% pour culminer à 0.9135.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.32% pour monter à 0.9954, l'AUD/USD cédant 0.62% pour se retrouver à 1.0314 et le NZD/USD se laissant arracher 0.71% pour reprendre pied à 0.8129.
Celles-ci, fortement dépendantes des exportations, ont subi les sixièmes signes mensuels consécutifs de ralentissement de l'activité du domaine secondaire de la Chine.
Un rapport préliminaire de Markit avait montré en début de matinée que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire du pays était passé de 48.3 à 49.1 pour avril.
Des chiffres officiels avaient également souligné que les frais de production australiens avaient connu un recul inattendu au premier trimestre, régressant de 0.3% après avoir augmenté d'un pourcentage similaire lors du précédent, et ce alors que les analystes prévoyaient qu'ils prendraient 0.5%.
Cette nouvelle a renforcé l'attente d'une nouvelle baisse des taux de la Réserve Bancaire d'Australie lors de sa réunion d'orientation politique de cette semaine.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.27% pour se situer à 79.49.
En première partie de séance européenne, la monnaie unique a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.47% pour tomber à 1.3155.
Des informations préliminaires avaient signalé que l'activité du secteur secondaire de la zone euro avait ralenti en avril à son pire niveau depuis juin 2009.
Dans son rapport, l'institut de recherches économiques Markit a fait savoir que son indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers de la région était effectivement tombé à 46 pour le mois, après s'être situé à 47.7 lors du précédent, alors que les experts s'étaient pourtant attendus à le voir se hisser à 48.2 pour la période considérée.
Le document précisait aussi que le domaine des services régional avait chuté dans le mêem temps vers sa pire valeur des cinq derniers mois.
L'indice préliminaire des directeurs des achats tertiaires a pour sa part fondu de 1.3 pour passer de 49.2 à 47.9, alors que les spécialistes pensaient le voir grapiller 0.2 points pour s'élever vers 49.4.
Il avait auparavant été signalé que l'activité manufacturière allemande avait ralenti en avril jusqu'à son pire niveau en près de trois ans, alimentant les incertitudes concernant la première économie de la zone euro.
Ces informations ont éclipsé le fait que que le groupe des 20 pays les plus développés s'était mis d'accord vendredi pour porter la puissance de prêt du Fonds Monétaire International à 430 milliards d'USD, afin d'aider à protéger l'économie mondiale des conséquences du problème de surendettement qui hante la région.
L'atmosphère s'était trouvée assombrie ce matin en raison des incertitudes concernant le résultat des élections présidentielles françaises, après que le président sortant Nicolas Sarkozy ait réalisé au premier tour une piètre performance contre son rival François Hollande.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.14% pour chuter à 1.61.
Il a toutefois subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY plongeant de 0.52% pour sombrer à 81.09 et l'USD/CHF grignotant 0.5% pour culminer à 0.9135.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.32% pour monter à 0.9954, l'AUD/USD cédant 0.62% pour se retrouver à 1.0314 et le NZD/USD se laissant arracher 0.71% pour reprendre pied à 0.8129.
Celles-ci, fortement dépendantes des exportations, ont subi les sixièmes signes mensuels consécutifs de ralentissement de l'activité du domaine secondaire de la Chine.
Un rapport préliminaire de Markit avait montré en début de matinée que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire du pays était passé de 48.3 à 49.1 pour avril.
Des chiffres officiels avaient également souligné que les frais de production australiens avaient connu un recul inattendu au premier trimestre, régressant de 0.3% après avoir augmenté d'un pourcentage similaire lors du précédent, et ce alors que les analystes prévoyaient qu'ils prendraient 0.5%.
Cette nouvelle a renforcé l'attente d'une nouvelle baisse des taux de la Réserve Bancaire d'Australie lors de sa réunion d'orientation politique de cette semaine.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.27% pour se situer à 79.49.