Durant tout le début d’année, nous nous étonnions de voir les marchés aussi optimistes sur la capacité des banques centrales à réduire l’inflation en quelques mois, voire quelques semaines, sans, en sus, que cela ne pénalise significativement les actifs risqués: on observait en effet les taux longs chuter – signe de retour à l’environnement de la décennie 2010 et à la lutte contre la récession et/ou la déflation – et les actions grimper, ce qui nous laissait perplexes, comme nous l’écrivions dans nos derniers hebdos.