Le rythme de croissance dans le zone euro a perdu un peu de son allant au 3ème trimestre, ce qui appelle de nouvelles mesures de soutien de la part de la BCE, estiment vendredi les équipes de Markit.
Le produit intérieur brut (PIB) de la région a augmenté de 0,3% sur la période juillet-septembre par rapport au trimestre précédent, contre une croissance de 0,4% sur la période avril-juin.
Markit note que la croissance a atteint 0,3% en France comme en Allemagne, que l'Italie n'affiche qu'un 'maigre' +0,2% et que l'Espagne continue d'enregistrer une forte croissance à +0,8%.
Pour le bureau d'études économiques, ce niveau de croissance 'morose' dans l'ensemble - conjugué à une inflation basse - mettent la BCE sous pression pour annoncer de nouvelles mesures de stimulus après sa réunion de décembre.
'Tous les regards se tournent désormais vers la BCE et la réflexion qu'elle a entamée sur les mesures à adopter en vue de relancer le taux de croissance dans la région', explique Markit.
'De nouvelles réductions du taux de dépôt, un accroissement de la taille, de la qualité et de la durée du programme d'assouplissement quantitatif (QE) actuel peuvent être envisagés comme autant de possibilités', conclut le cabinet de recherche.
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Le produit intérieur brut (PIB) de la région a augmenté de 0,3% sur la période juillet-septembre par rapport au trimestre précédent, contre une croissance de 0,4% sur la période avril-juin.
Markit note que la croissance a atteint 0,3% en France comme en Allemagne, que l'Italie n'affiche qu'un 'maigre' +0,2% et que l'Espagne continue d'enregistrer une forte croissance à +0,8%.
Pour le bureau d'études économiques, ce niveau de croissance 'morose' dans l'ensemble - conjugué à une inflation basse - mettent la BCE sous pression pour annoncer de nouvelles mesures de stimulus après sa réunion de décembre.
'Tous les regards se tournent désormais vers la BCE et la réflexion qu'elle a entamée sur les mesures à adopter en vue de relancer le taux de croissance dans la région', explique Markit.
'De nouvelles réductions du taux de dépôt, un accroissement de la taille, de la qualité et de la durée du programme d'assouplissement quantitatif (QE) actuel peuvent être envisagés comme autant de possibilités', conclut le cabinet de recherche.
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