Investing.com - La livre sterling était en léger recul facce au dollar U.S. ce mardi, alors que les peurs liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro freinaient la demande pour les investissements les plus risqués.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5873 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 10 novembre, puis s'est stabilisée vers 1.5887, perdant 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5843, son plancher du 9 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1.5972, son plafond du 21 octobre.
L'audace s'est en effet trouvée mise à mal lundi par le bond des dividendes des obligations italiennes et espagnoles, attisant l'angoisse liée aux efforts d'endiguement de la crise de la dette souveraine à l'intérieur de la zone euro.
Les dividendes des 3 milliards d'euro d'obligations à cinq ans italiennes se sont en effet élevés hier vers 6.29%, un nouveau record depuis l'introduction de l'euro, au lendemain de la désignation de l'ancien commissaire européen Mario Monti comme premier ministre, tandis que ceux des bons du trésor à 10 ans de l'Espagne ont quand à eux dépassé les 6% pour la première fois depuis août.
Le parti CDU de la chancelière allemande Angela Merkel, actuellement au pouvoir en Allemagne, a pour sa part adopté une mesure permettant aux nations le désirant de quitter la zone euro tout en continuant à faire partie de l'Union Européenne.
Le pays doit à présent persuader le reste des membres de l'UE de modifier le traité qui la définit afin de permettre une telle manoeuvre.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait fragilisée dans l'attente du prochain rapport sur l'inflation de la Banque d'Angleterre, en raison des rumeurs grandissantes de révision à la baisse de ses prévisions de croissance pour cette année et la prochaine.
Elle a par contre gagné du terrain sur l'euro , l'EUR/GBP glissant de 0.32% pour tomber à 0.8541.
Le Royaume-Uni devrait dévoiler aujourd'hui l'inflation de ses prix à la consommation mesurée par les autorités.
Les Etats-Unis feront de même concernant le volume officiel de leurs ventes au détail et l'évolution des coûts de production nationaux.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5873 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 10 novembre, puis s'est stabilisée vers 1.5887, perdant 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5843, son plancher du 9 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1.5972, son plafond du 21 octobre.
L'audace s'est en effet trouvée mise à mal lundi par le bond des dividendes des obligations italiennes et espagnoles, attisant l'angoisse liée aux efforts d'endiguement de la crise de la dette souveraine à l'intérieur de la zone euro.
Les dividendes des 3 milliards d'euro d'obligations à cinq ans italiennes se sont en effet élevés hier vers 6.29%, un nouveau record depuis l'introduction de l'euro, au lendemain de la désignation de l'ancien commissaire européen Mario Monti comme premier ministre, tandis que ceux des bons du trésor à 10 ans de l'Espagne ont quand à eux dépassé les 6% pour la première fois depuis août.
Le parti CDU de la chancelière allemande Angela Merkel, actuellement au pouvoir en Allemagne, a pour sa part adopté une mesure permettant aux nations le désirant de quitter la zone euro tout en continuant à faire partie de l'Union Européenne.
Le pays doit à présent persuader le reste des membres de l'UE de modifier le traité qui la définit afin de permettre une telle manoeuvre.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait fragilisée dans l'attente du prochain rapport sur l'inflation de la Banque d'Angleterre, en raison des rumeurs grandissantes de révision à la baisse de ses prévisions de croissance pour cette année et la prochaine.
Elle a par contre gagné du terrain sur l'euro , l'EUR/GBP glissant de 0.32% pour tomber à 0.8541.
Le Royaume-Uni devrait dévoiler aujourd'hui l'inflation de ses prix à la consommation mesurée par les autorités.
Les Etats-Unis feront de même concernant le volume officiel de leurs ventes au détail et l'évolution des coûts de production nationaux.