Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, renforcé par l'absence de nouvelles mesures d'assouplissement monétaire de la part de la Réserve Fédérale, tandis que la persistance des problèmes de dette européens redorait le blason des valeurs sûres.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.31% pour tomber à 1.2668.
La banque centrale américaine a en effet annoncé le prolongement de son "Opération Twist", consistant à racheter des bons du trésor, jusqu'à la fin de l'année, alors que sa fin était prévue ce mois-ci, précisant être prête à agir davantage, décevant ainsi ceux qui attendaient des mesures plus agressives afin de renflouer la croissance de la première économie mondiale, suite à une récente série de résultats médiocres.
Le groupe de recherches économiques Markit a pour sa part signalé que son indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers de l'Allemagne avait davantage reculé que redouté, se retrouvant à 44.7 après ajustement saisonnier pour juin, après s'être définitivement situé à 45.2 en mai.
Le secteur tertiaire s'est toutefois renforcé, mais à un rythme inférieur aux espérances, passant de 51.8 à 50.3 dans le même temps.
Une autre évaluation signalait de son côté que l'activité secondaire de la zone euro était passée de 45.1 à 44.8, mais que celle du domaine des services s'était élevée vers un pic des deux mois écoulés dans le même temps.
Madrid a quand à elle vu augmenter les coûts de ses emprunts lors d'adjudications réussies de bons du trésors à deux, trois et cinq ans, ses obligations décennales voyant par la suite leurs taux s'apaiser à 6.65% au lieu des 6.74% les ayant précédées, après avoir établi lundi des records historiques.
La nervosité restait grande dans l'attente des résultats de l'audit des établissements bancaires de l'Espagne dont la divulgation devrait se dérouler aujourd'hui, sur fond de craintes que les 100 milliards d'euros de secours attribués à ces derniers en début de mois se révèlent insuffisants.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.1% pour chuter à 1.5704.
La devise de la Grande-Bretagne avait toutefois sauvé les meubles après que des chiffres officiels aient souligné que les ventes aux particuliers avaient rebondi de 1.4% en mai, après avoir dégringolé de 2.4% le mois précédent.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.24% pour se hisser à 79.72 et l'USD/CHF grignotant 0.29% pour culminer à 0.9479.
Un membre du conseil directeur de la Banque du Japon avait rappelé en début de journée que celle-ci était prête à agir pour soutenir l'économie nationale si nécessaire, laissant envisager des injections de capitaux supplémentaires.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.28% pour monter à 1.0212, l'AUD/USD cédant 0.28% pour se retrouver à 1.0164 et le NZD/USD arrachant 0.28% pour culminer à 0.7984.
Une étude émanant des autorités de Nouvelle-Zélande avait auparavant fait savoir que le produit intérieur brut national avait augmenté de 1.1% au premier trimestre, dépassant largement les 0.5% envisagés, et prolongeant les 0.4% précédents.
Les monnaies fortement dépendantes de la croissance s'étaient trouvées tirées vers le bas ce matin par les résultats chinois déplorant en juin un huitième mois diminution de l'activité des usines d'affilée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.22% pour se situer à 81.8.
Le gouvernement américain comptait quannd à lui dévoiler cet après-midi le nombre des nouvelles inscriptions au chômage, suivi de l'estimation préalable de l'activité manufacturière et d'un rapport des experts en immobilier portant sur les ventes de logements, sans oublier l'état de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.31% pour tomber à 1.2668.
La banque centrale américaine a en effet annoncé le prolongement de son "Opération Twist", consistant à racheter des bons du trésor, jusqu'à la fin de l'année, alors que sa fin était prévue ce mois-ci, précisant être prête à agir davantage, décevant ainsi ceux qui attendaient des mesures plus agressives afin de renflouer la croissance de la première économie mondiale, suite à une récente série de résultats médiocres.
Le groupe de recherches économiques Markit a pour sa part signalé que son indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers de l'Allemagne avait davantage reculé que redouté, se retrouvant à 44.7 après ajustement saisonnier pour juin, après s'être définitivement situé à 45.2 en mai.
Le secteur tertiaire s'est toutefois renforcé, mais à un rythme inférieur aux espérances, passant de 51.8 à 50.3 dans le même temps.
Une autre évaluation signalait de son côté que l'activité secondaire de la zone euro était passée de 45.1 à 44.8, mais que celle du domaine des services s'était élevée vers un pic des deux mois écoulés dans le même temps.
Madrid a quand à elle vu augmenter les coûts de ses emprunts lors d'adjudications réussies de bons du trésors à deux, trois et cinq ans, ses obligations décennales voyant par la suite leurs taux s'apaiser à 6.65% au lieu des 6.74% les ayant précédées, après avoir établi lundi des records historiques.
La nervosité restait grande dans l'attente des résultats de l'audit des établissements bancaires de l'Espagne dont la divulgation devrait se dérouler aujourd'hui, sur fond de craintes que les 100 milliards d'euros de secours attribués à ces derniers en début de mois se révèlent insuffisants.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.1% pour chuter à 1.5704.
La devise de la Grande-Bretagne avait toutefois sauvé les meubles après que des chiffres officiels aient souligné que les ventes aux particuliers avaient rebondi de 1.4% en mai, après avoir dégringolé de 2.4% le mois précédent.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.24% pour se hisser à 79.72 et l'USD/CHF grignotant 0.29% pour culminer à 0.9479.
Un membre du conseil directeur de la Banque du Japon avait rappelé en début de journée que celle-ci était prête à agir pour soutenir l'économie nationale si nécessaire, laissant envisager des injections de capitaux supplémentaires.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.28% pour monter à 1.0212, l'AUD/USD cédant 0.28% pour se retrouver à 1.0164 et le NZD/USD arrachant 0.28% pour culminer à 0.7984.
Une étude émanant des autorités de Nouvelle-Zélande avait auparavant fait savoir que le produit intérieur brut national avait augmenté de 1.1% au premier trimestre, dépassant largement les 0.5% envisagés, et prolongeant les 0.4% précédents.
Les monnaies fortement dépendantes de la croissance s'étaient trouvées tirées vers le bas ce matin par les résultats chinois déplorant en juin un huitième mois diminution de l'activité des usines d'affilée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.22% pour se situer à 81.8.
Le gouvernement américain comptait quannd à lui dévoiler cet après-midi le nombre des nouvelles inscriptions au chômage, suivi de l'estimation préalable de l'activité manufacturière et d'un rapport des experts en immobilier portant sur les ventes de logements, sans oublier l'état de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.