Investing.com - Les options sur l'or ont retrouvé de la vigueur ce mardi, retrouvant de leur superbe grâce au passage à vide de la monnaie américaine.
Certains analystes persistent en effet à estimer que la son émettrice pourrait ne pas tenir ses engagements de maintien de la souplesse de sa politique sans limite de temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1.574,95 USD de l'once en début de séance européenne, frémissant de 0,15%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1.570,15 USD, leur pire cours journalier, et 1.576,85 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.539,85 USD, leur plancher de 11 mois datant du 4 avril, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.604,25 USD, leur plafond du 2 avril.
L'accès de faiblesse de la monnaie des Etats-Unis leur a profité, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0,15% de son côté pour se situer à 82,75.
Les cours avaient repris l'offensive après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait constaté que l'économie nationale avait créé 88.000 postes en mars, leur pire performance depuis juin, se situant nettement au-dessous des 200.000 espérés.
Il avait déjà été montré que le taux de chômage avait fait la bonne surprise de fléchir de 7,7 jusqu'à 7,6% en février, mais cette diminution était imputable à davantage de départs hors de la population active, le taux de participation chutant à 63,3%, son niveau le plus bas depuis 1979.
Ces mauvaises nouvelles ont du coup alimenté la crainte d'une perte de vitesse de la relance du marché du travail des Etats-Unis, faisant taire les bruits farfelus selon lesquels la Réserve Fédérale pourrait bientôt réduire la voilure de son programme d'acquisitions d'actifs.
Elle avait auparavant rappelé son engagement à maintenir ceux-ci à leurs plus bas niveaux historiques "au moins" tant que le taux de chômage dépasserait les 6,5%.
Le compte-rendu de la dernière prise de cap de la Réserve Fédérale dont la publication aura lieu mercredi était au centre des débats, en quête d'indices sur ses orientations futures.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin dès cette année de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi de 0,65% pour grimper à 27,31 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0,7% pour se retrouver à 3,396 USD la livre dans le même temps.
Une étude officielle avait montré à l'aube que les prix à la consommation de la Chine n'avaient augmenté que de 2,1% en mars suite aux 3,2% précédents, au lieu des 2,4% attendus.
Cette nouvelle a du coup laissé espérer que les autorités du pays ne durciraient pas la politique monétaire dans l'immédiat, et pourraient même donner un nouveau coup de pouce à la seconde économie mondiale.
Le pays garde sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.
Certains analystes persistent en effet à estimer que la son émettrice pourrait ne pas tenir ses engagements de maintien de la souplesse de sa politique sans limite de temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1.574,95 USD de l'once en début de séance européenne, frémissant de 0,15%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1.570,15 USD, leur pire cours journalier, et 1.576,85 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1.539,85 USD, leur plancher de 11 mois datant du 4 avril, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.604,25 USD, leur plafond du 2 avril.
L'accès de faiblesse de la monnaie des Etats-Unis leur a profité, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0,15% de son côté pour se situer à 82,75.
Les cours avaient repris l'offensive après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait constaté que l'économie nationale avait créé 88.000 postes en mars, leur pire performance depuis juin, se situant nettement au-dessous des 200.000 espérés.
Il avait déjà été montré que le taux de chômage avait fait la bonne surprise de fléchir de 7,7 jusqu'à 7,6% en février, mais cette diminution était imputable à davantage de départs hors de la population active, le taux de participation chutant à 63,3%, son niveau le plus bas depuis 1979.
Ces mauvaises nouvelles ont du coup alimenté la crainte d'une perte de vitesse de la relance du marché du travail des Etats-Unis, faisant taire les bruits farfelus selon lesquels la Réserve Fédérale pourrait bientôt réduire la voilure de son programme d'acquisitions d'actifs.
Elle avait auparavant rappelé son engagement à maintenir ceux-ci à leurs plus bas niveaux historiques "au moins" tant que le taux de chômage dépasserait les 6,5%.
Le compte-rendu de la dernière prise de cap de la Réserve Fédérale dont la publication aura lieu mercredi était au centre des débats, en quête d'indices sur ses orientations futures.
Les évolutions des cours constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin dès cette année de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi de 0,65% pour grimper à 27,31 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0,7% pour se retrouver à 3,396 USD la livre dans le même temps.
Une étude officielle avait montré à l'aube que les prix à la consommation de la Chine n'avaient augmenté que de 2,1% en mars suite aux 3,2% précédents, au lieu des 2,4% attendus.
Cette nouvelle a du coup laissé espérer que les autorités du pays ne durciraient pas la politique monétaire dans l'immédiat, et pourraient même donner un nouveau coup de pouce à la seconde économie mondiale.
Le pays garde sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.