Investing.com - Le dollar U.S. a laissé l'avantage à la plupart de ses concurrents ce vendredi, alors que les yeux se tournaient pour cet après-midi vers l'étude préliminaire sur le produit intérieur brut américain.
En fin de première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,01% pour grimper à 1,3012.
La monnaie unique restait toutefois fragilisée, après que Goldman Sachs ait revu hier ses prévisions pour les taux Banque Centrale Européenne vers le bas, estimant qu'ils devraient perdre 0,25 points de pourcentage lors de la prise de cap de la semaine prochaine.
Elle a aussi révisé à la baisse ses estimations de l'évolution annuelle du produit intérieur brut du bloc ayant adopté la monnaie unique de -0,5 vers -0,7%.
L'attention se tournait aussi vers Madrid, sur le point de faire connaître son nouveau programme de lutte contre la crise financière, au lendemain d'une étude officielle montrant que le taux de chômage de l'Espagne avait grimpé depuis 26,0 vers 27,2% pour le premier trimestre, au lieu des 26,5% déjà redoutés.
Le billet vert a également bien résisté à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,01% pour se hisser à 1,5433.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0,56% pour se retrouver à 98,69 et l'USD/CHF glissant de 0,07% pour tomber à 0,9440.
La devise nippone a retrouvé des couleurs après que la Banque du Japon ait renouvelé dans son communiqué post-réunion son engagement à élargir la masse monétaire de 60 à 70 billions de JPY par an.
Elle a aussi prédit que l'inflation atteindrait presque ses objectifs d'ici deux ans.
Le baromètre économique helvète de l'agence de recherches économiques KOF a pour sa part grimpé depuis 1,00 vers 1,02 pour le mois en cours, alors qu'un recul à 0,98 était redouté.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été légèrement dominée par ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas par l'australienne, l'AUD/USD laissant échapper 0,05% pour descendre à 1,0283, le NZD/USD engrangeant 0,08% pour culminer à 0,8506 et l'USD/CAD régressant de 0,08% pour aller vers 1,0193.
Il avait été signalé à l'aube par les autorités de Nouvelle-Zélande que l'excédent de la balance commerciale nationale avait bondi de 441 jusqu'à 718 millions de NZD, alors qu'une fonte à 373 millions était envisagée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,16% pour se situer à 82,77.
Les Etats-Unis comptent de leur côté diffuser cet après-midi les premières évaluations des variations de leur produit intérieur brut pour les trois premiers mois de l'année, puis concluront la semaine avec les chiffres corrigés du moral des consommateurs et de l'inflation attendue mesurés par l'université du Michigan.
En fin de première partie de séance européenne, il a à peine fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,01% pour grimper à 1,3012.
La monnaie unique restait toutefois fragilisée, après que Goldman Sachs ait revu hier ses prévisions pour les taux Banque Centrale Européenne vers le bas, estimant qu'ils devraient perdre 0,25 points de pourcentage lors de la prise de cap de la semaine prochaine.
Elle a aussi révisé à la baisse ses estimations de l'évolution annuelle du produit intérieur brut du bloc ayant adopté la monnaie unique de -0,5 vers -0,7%.
L'attention se tournait aussi vers Madrid, sur le point de faire connaître son nouveau programme de lutte contre la crise financière, au lendemain d'une étude officielle montrant que le taux de chômage de l'Espagne avait grimpé depuis 26,0 vers 27,2% pour le premier trimestre, au lieu des 26,5% déjà redoutés.
Le billet vert a également bien résisté à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,01% pour se hisser à 1,5433.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0,56% pour se retrouver à 98,69 et l'USD/CHF glissant de 0,07% pour tomber à 0,9440.
La devise nippone a retrouvé des couleurs après que la Banque du Japon ait renouvelé dans son communiqué post-réunion son engagement à élargir la masse monétaire de 60 à 70 billions de JPY par an.
Elle a aussi prédit que l'inflation atteindrait presque ses objectifs d'ici deux ans.
Le baromètre économique helvète de l'agence de recherches économiques KOF a pour sa part grimpé depuis 1,00 vers 1,02 pour le mois en cours, alors qu'un recul à 0,98 était redouté.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été légèrement dominée par ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas par l'australienne, l'AUD/USD laissant échapper 0,05% pour descendre à 1,0283, le NZD/USD engrangeant 0,08% pour culminer à 0,8506 et l'USD/CAD régressant de 0,08% pour aller vers 1,0193.
Il avait été signalé à l'aube par les autorités de Nouvelle-Zélande que l'excédent de la balance commerciale nationale avait bondi de 441 jusqu'à 718 millions de NZD, alors qu'une fonte à 373 millions était envisagée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,16% pour se situer à 82,77.
Les Etats-Unis comptent de leur côté diffuser cet après-midi les premières évaluations des variations de leur produit intérieur brut pour les trois premiers mois de l'année, puis concluront la semaine avec les chiffres corrigés du moral des consommateurs et de l'inflation attendue mesurés par l'université du Michigan.