Investing.com - Les bourses européennes ont vu s'aggraver leur recul ce mardi après-midi, à l'approche du nouvel examen par la cour constitutionnelle de l'Allemagne du plan de sauvetage de la Banque Centrale Européenne, sur fond de bruits insistants concernant la fermeture imminente des vannes de son homologue américaine.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 2,26%, le CAC 40 français de 2,07%, et le DAX 30 allemand de 1,83%.
La plus haute instance juridique germanique devait en effet procéder à deux jours de réflexion avant de rendre son verdict concernant la constitutionnalité des Transactions Monétaires Directes et du Mécanisme Européen de Stabilité.
Les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale réduirait bientôt le volume de ses injections de liquidités allaient quand à elles bon train dans le sillage des résultats modérément positifs du marché de l'emploi des Etats-Unis, ces derniers ayant aussi vu l'agence Standard & Poor's en revoir hier vers le haut les perspectives de notation à long terme, depuis la négativité vers la stabilité, invoquant l'amélioration de leur situation économique.
La finance était en berne, la Deutsche Bank sombrant de 1,34% à Francfort, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,79 et 2,04%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA coulant de 2,03 et 2,31%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 3,01 et 2,10%.
RWE AG, second fournisseur de services collectifs d'Allemagne, reculait pour sa part de 1,28% en raison de difficultés à trouver acquéreur pour sa branche Dea, centrée sur les hydrocarbures.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 1,80%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, après qu'il ait été annoncé que l'activité manufacturière britannique avait subi un repli inférieur aux craintes avec 0,2% en avril, tandis que l'indice de celle des industries connaissait une embellie inattendue de 0,1%.
La Royal Bank of Scotland glissait de 1,56%, et Barclays de 1,84%, Lloyds Banking et HSBC Holdings se retrouvant en queue de peloton avec 1,90 et 1,92%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant tous les deux de 3,44%, leurs rivaux Evraz et Fresnillo n'étant pas en reste avec 5,18 et 5,59%.
La compagnie aérienne africaine à prix écrasés d'introduction récente FastJet Plc, après s'être envolée ce matin, replongeait de 2,04% après que son président exécutif David Lenigas ait démissioné avec effet immédiat, laissant ainsi temporairement sa place au directeur général Ed Winter.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,67%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,78% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,80%.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 2,26%, le CAC 40 français de 2,07%, et le DAX 30 allemand de 1,83%.
La plus haute instance juridique germanique devait en effet procéder à deux jours de réflexion avant de rendre son verdict concernant la constitutionnalité des Transactions Monétaires Directes et du Mécanisme Européen de Stabilité.
Les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale réduirait bientôt le volume de ses injections de liquidités allaient quand à elles bon train dans le sillage des résultats modérément positifs du marché de l'emploi des Etats-Unis, ces derniers ayant aussi vu l'agence Standard & Poor's en revoir hier vers le haut les perspectives de notation à long terme, depuis la négativité vers la stabilité, invoquant l'amélioration de leur situation économique.
La finance était en berne, la Deutsche Bank sombrant de 1,34% à Francfort, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,79 et 2,04%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA coulant de 2,03 et 2,31%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 3,01 et 2,10%.
RWE AG, second fournisseur de services collectifs d'Allemagne, reculait pour sa part de 1,28% en raison de difficultés à trouver acquéreur pour sa branche Dea, centrée sur les hydrocarbures.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 1,80%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, après qu'il ait été annoncé que l'activité manufacturière britannique avait subi un repli inférieur aux craintes avec 0,2% en avril, tandis que l'indice de celle des industries connaissait une embellie inattendue de 0,1%.
La Royal Bank of Scotland glissait de 1,56%, et Barclays de 1,84%, Lloyds Banking et HSBC Holdings se retrouvant en queue de peloton avec 1,90 et 1,92%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant tous les deux de 3,44%, leurs rivaux Evraz et Fresnillo n'étant pas en reste avec 5,18 et 5,59%.
La compagnie aérienne africaine à prix écrasés d'introduction récente FastJet Plc, après s'être envolée ce matin, replongeait de 2,04% après que son président exécutif David Lenigas ait démissioné avec effet immédiat, laissant ainsi temporairement sa place au directeur général Ed Winter.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,67%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,78% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,80%.