Au lendemain du vote par le Parlement polonais de la réforme de sa Cour suprême, la décision divise comme rarement. Les Etats-Unis se sont dit très préoccupés et l'Union européenne a agité de possibles sanction à l'encontre de Varsovie. Victor Orban a lui choisi son camp. Sans surprise, pour le Premier ministre hongrois, la réforme est légitime et les critiques de l'Union une forme d'ingérence. " Ce que fait Bruxelles aux Polonais aujourd'hui est injuste, basé sur aucun principe. C'est une repré…