Investing.com - L'euro demeurait proche de son meilleur niveau en deux ans face au dollar U.S. ce jeudi après-midi, les rumeurs de prolongement des apports de capitaux de l'émettrice de son adversaire éclipsant des résultats européens peu réjouissants.
La paire EUR/USD est dmontée jusqu'à 1,3825 en début de séance américaine, son cours le plus élevé depuis novembre 2011, puis s'est stabilisée vers 1,3802, gagnant 0,17%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3740, son plancher psychologique précédent, et de rencontrer de la résistance à 1,3850, le suivant.
Le billet vert demeurait sur la sellette dans le sillage de la déception pour septembre causée en début de semaine par marché de l'emploi où il a cours, renforçant les probabilités que la Réserve Fédérale repousse la fermeture du robinet de ses injections de liquidités jusqu'à ce que l'année prochaine soit bien avancée.
La monnaie unique avait pour sa part subi un passage à vide à la mi-journée en raison de résultats décevants de la part des usines où elle a cours, laissant craindre une persistance d'un manque de vigueur économique.
Le groupe de recherches économiques Markit avait en effet fait savoir que l'évaluation préliminaire de l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire du bloc ayant adopté la monnaie unique avait patiné depuis les 51,1 définitifs de septembre vers 51,3, au lieu d'atteindre les 50,4 qui semblaient probables.
Son équivalent tertiaire a suivi un chemin inverse, depuis les 52,2 précédents vers 50,9.
L'équivalent allemand du premier s'est par contre sans surprise amélioré depuis 51,1 vers 51,5 dans le même temps, mais celui du second a cependant subi une déconvenue, partant des 53,7 de septembre jusqu'à 52,3, sa plus faible valeur en trois mois.
L'étalon américain n'a ensuite guère fait cas de la diminution inférieure aux espérances du nombre des demandeurs d'emploi outre-Atlantique.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a ainsi dénombré 12.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 19 octobre, pour un total hebdomadaire de 350.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 22.000 pour les amener à 340.000 était envisagée.
Il était aussi à noter que le déficit de leur commerce extérieur avait augmenté de 0,4% pour se gonfler de 38,6 à 38,8 milliards d'USD ajustés pour août, une bonne surprise au regard des 39,5 milliards d'USD qui étaient craints.
La devise européenne a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling et le yen, le GBP/USD grignotant 0,16% pour se hisser à 0,8537 et l'EUR/JPY grimpant ded 0,17% pour culminer à 134,41.
La paire EUR/USD est dmontée jusqu'à 1,3825 en début de séance américaine, son cours le plus élevé depuis novembre 2011, puis s'est stabilisée vers 1,3802, gagnant 0,17%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3740, son plancher psychologique précédent, et de rencontrer de la résistance à 1,3850, le suivant.
Le billet vert demeurait sur la sellette dans le sillage de la déception pour septembre causée en début de semaine par marché de l'emploi où il a cours, renforçant les probabilités que la Réserve Fédérale repousse la fermeture du robinet de ses injections de liquidités jusqu'à ce que l'année prochaine soit bien avancée.
La monnaie unique avait pour sa part subi un passage à vide à la mi-journée en raison de résultats décevants de la part des usines où elle a cours, laissant craindre une persistance d'un manque de vigueur économique.
Le groupe de recherches économiques Markit avait en effet fait savoir que l'évaluation préliminaire de l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire du bloc ayant adopté la monnaie unique avait patiné depuis les 51,1 définitifs de septembre vers 51,3, au lieu d'atteindre les 50,4 qui semblaient probables.
Son équivalent tertiaire a suivi un chemin inverse, depuis les 52,2 précédents vers 50,9.
L'équivalent allemand du premier s'est par contre sans surprise amélioré depuis 51,1 vers 51,5 dans le même temps, mais celui du second a cependant subi une déconvenue, partant des 53,7 de septembre jusqu'à 52,3, sa plus faible valeur en trois mois.
L'étalon américain n'a ensuite guère fait cas de la diminution inférieure aux espérances du nombre des demandeurs d'emploi outre-Atlantique.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a ainsi dénombré 12.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 19 octobre, pour un total hebdomadaire de 350.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 22.000 pour les amener à 340.000 était envisagée.
Il était aussi à noter que le déficit de leur commerce extérieur avait augmenté de 0,4% pour se gonfler de 38,6 à 38,8 milliards d'USD ajustés pour août, une bonne surprise au regard des 39,5 milliards d'USD qui étaient craints.
La devise européenne a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling et le yen, le GBP/USD grignotant 0,16% pour se hisser à 0,8537 et l'EUR/JPY grimpant ded 0,17% pour culminer à 134,41.