Eni s'illustre à la Bourse de Milan dans le sillage de la publication de ses comptes annuels.
Le titre du géant italien de l'énergie grimpe en effet de plus de 3%, surperformant nettement l'indice Footsie MIB, après l'annonce d'un dégagement de cash flow de quelque 15,1 milliards d'euros en 2014, du jamais vu depuis six ans.
Cette bonne nouvelle s'ajoute à la hausse de 0,6% de la production d'hydrocarbures sur l'année à 1,6 million de barils par jour (1,65 million au quatrième trimestre, soit une progression de 4,5% en glissement annuel), au retour dans le vert de la division Raffinage et marketing, à la proposition d'un dividende de 1,12 euro par action au titre de l'exercice 2014, en légère hausse par rapport à celui de l'année précédente, et à des perspectives encourageantes.
Eni table ainsi sur une augmentation de production de liquide et de gaz naturel à travers le démarrage de nouveaux gisements en Angola, au Congo, en Grande-Bretagne et en Norvège, en parallèle d'une réduction des dépenses.
De quoi faire oublier un bénéfice net ajusté en recul de 16% l'an passé à environ 3,7 milliards d'euros du fait notamment de la baisse des cours de l'or noir (-64% sur le seul quatrième trimestre à 464 millions d'euros, contre 597 millions escomptés par Aurel BGC) ainsi que la diminution de 8,5% du bénéfice opérationnel ajusté à 11,6 milliards (-33,8% à 2,3 milliards d'euros sur les trois derniers mois).
A l'arrivée, une publication plutôt solide donc et des ambitions bien réelles pour l'exercice en cours.
Copyright (c) 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Le titre du géant italien de l'énergie grimpe en effet de plus de 3%, surperformant nettement l'indice Footsie MIB, après l'annonce d'un dégagement de cash flow de quelque 15,1 milliards d'euros en 2014, du jamais vu depuis six ans.
Cette bonne nouvelle s'ajoute à la hausse de 0,6% de la production d'hydrocarbures sur l'année à 1,6 million de barils par jour (1,65 million au quatrième trimestre, soit une progression de 4,5% en glissement annuel), au retour dans le vert de la division Raffinage et marketing, à la proposition d'un dividende de 1,12 euro par action au titre de l'exercice 2014, en légère hausse par rapport à celui de l'année précédente, et à des perspectives encourageantes.
Eni table ainsi sur une augmentation de production de liquide et de gaz naturel à travers le démarrage de nouveaux gisements en Angola, au Congo, en Grande-Bretagne et en Norvège, en parallèle d'une réduction des dépenses.
De quoi faire oublier un bénéfice net ajusté en recul de 16% l'an passé à environ 3,7 milliards d'euros du fait notamment de la baisse des cours de l'or noir (-64% sur le seul quatrième trimestre à 464 millions d'euros, contre 597 millions escomptés par Aurel BGC) ainsi que la diminution de 8,5% du bénéfice opérationnel ajusté à 11,6 milliards (-33,8% à 2,3 milliards d'euros sur les trois derniers mois).
A l'arrivée, une publication plutôt solide donc et des ambitions bien réelles pour l'exercice en cours.
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