Les bourses européennes étaient en baisse ce mercredi, tirées vers le bas par les banques et les compagnies minières, les indices des valeurs américaines pointant vers une ouverture de Wall Street à la baisse.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a perdu 0.43%, le CAC 40 français 0.52% et le DAX allemand 0.61%.
Les valeurs bancaires sont restées sous pression ce mercredi, les obligations irlandaises et portugaises ayant chuté, entraînant une hausse des écarts de revenus des bons à 10 ans avec ceux de l'Allemagne vers des sommets jamais vus, agitant de nouveau le spectre de la dette de la "périphérie" de la zone euro.
En France, la Société Générale a glissé de 2.72%, BNP Paribas de 1.89% et le Crédit Agricole de 3.85%.
Les actions de la banque allemande Commerzbank ont chuté de 1.89%, celles de la Deutsche Bank de 1.51% et celles d'Allianz AG de 1.24% après qu'un rapport de l'association des banques allemandes ait indiqué que les 10 plus gros établissements du pays auraient besoin de 105 milliards d'euros de capitaux supplémentaires pour répondre aux exigences des nouvelles régulations bancaires.
Ailleurs, la Banque Nationalee de Grèce s'est effondrée de 9.42% après avoir annoncé qu'elle comptait lever 3.6 milliards pour augmenter son capital.
A Londres, un FTSE lourdement chargé de matières premières a dévissé de 0.67%, handicapé non seulement par ses banques mais aussi par ses compagnies minières.
Barclays Plc, troisième plus grosse banque de Grande-Bretagne, a plongé de 3.07%, la Royal Bank of Scotland de 1.84% et HSBC Holdings de 1.6%.
De leur côté, les valeurs du géant minier Rio Tinto ont dégringolé de 1.78%, celles de Xstrata de 0.65% et celles de BHP Billiton de 1.96%, le nouveau gouvernement travailliste australien comptant mettre en place une taxe sur leurs bénéfices.
Le prix du pétrole brut est quand à lui descendu de 0.16% pour se retrouver à 73.61 dollars U.S. le baril.
Le futur des marchés américains semblait plutôt maussade: les options sur le Dow Jones prévoyaient une régression de 0.18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.11%.
Des chiffres officiels précédemment dévoilés avaient montré une chute des exportations allemandes en juillet, entraînant une progression décevante de l'excédent de sa balance commerciale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a perdu 0.43%, le CAC 40 français 0.52% et le DAX allemand 0.61%.
Les valeurs bancaires sont restées sous pression ce mercredi, les obligations irlandaises et portugaises ayant chuté, entraînant une hausse des écarts de revenus des bons à 10 ans avec ceux de l'Allemagne vers des sommets jamais vus, agitant de nouveau le spectre de la dette de la "périphérie" de la zone euro.
En France, la Société Générale a glissé de 2.72%, BNP Paribas de 1.89% et le Crédit Agricole de 3.85%.
Les actions de la banque allemande Commerzbank ont chuté de 1.89%, celles de la Deutsche Bank de 1.51% et celles d'Allianz AG de 1.24% après qu'un rapport de l'association des banques allemandes ait indiqué que les 10 plus gros établissements du pays auraient besoin de 105 milliards d'euros de capitaux supplémentaires pour répondre aux exigences des nouvelles régulations bancaires.
Ailleurs, la Banque Nationalee de Grèce s'est effondrée de 9.42% après avoir annoncé qu'elle comptait lever 3.6 milliards pour augmenter son capital.
A Londres, un FTSE lourdement chargé de matières premières a dévissé de 0.67%, handicapé non seulement par ses banques mais aussi par ses compagnies minières.
Barclays Plc, troisième plus grosse banque de Grande-Bretagne, a plongé de 3.07%, la Royal Bank of Scotland de 1.84% et HSBC Holdings de 1.6%.
De leur côté, les valeurs du géant minier Rio Tinto ont dégringolé de 1.78%, celles de Xstrata de 0.65% et celles de BHP Billiton de 1.96%, le nouveau gouvernement travailliste australien comptant mettre en place une taxe sur leurs bénéfices.
Le prix du pétrole brut est quand à lui descendu de 0.16% pour se retrouver à 73.61 dollars U.S. le baril.
Le futur des marchés américains semblait plutôt maussade: les options sur le Dow Jones prévoyaient une régression de 0.18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.11%.
Des chiffres officiels précédemment dévoilés avaient montré une chute des exportations allemandes en juillet, entraînant une progression décevante de l'excédent de sa balance commerciale.