La marine américaine a attribué d'importants contrats à deux grands constructeurs de navires pour les destroyers DDG 51, renforçant ainsi les capacités de défense du pays et assurant un travail régulier à l'industrie de la construction navale. Ingalls Shipbuilding, une division de Huntington Ingalls Industries (NYSE:HII), et Bath Iron Works, une filiale de General Dynamics (NYSE:GD), sont les bénéficiaires de ces nouveaux contrats.
Ingalls Shipbuilding a conclu un contrat de soutien au chantier naval pour la gestion technique et la production coordonnée des destroyers DDG 51. Ben Barnett est à la tête de cet accord, qui pourrait atteindre une valeur potentielle de 185 millions de dollars sur quatre années optionnelles. Ce contrat souligne la capacité d'adaptation des constructeurs navals et renforce leur rôle dans la défense nationale.
Parallèlement, Bath Iron Works s'est vu attribuer par le Naval Sea Systems Command un contrat de soutien à prix fixe (cost-plus-fixed-fee) pour des travaux similaires sur les destroyers DDG 51. Le contrat a une valeur de base de 58,9 millions de dollars, avec des options qui pourraient porter sa valeur totale à 418,5 millions de dollars. Les travaux prévus dans le cadre de ce contrat devraient être achevés d'ici novembre 2024 dans les installations de l'entreprise dans le Maine.
Ces deux contrats soulignent les efforts continus pour maintenir et moderniser la flotte navale des États-Unis en réponse aux menaces aériennes, de surface et sous-marines. Le contrat initial d'Ingalls Shipbuilding est évalué à 26 millions de dollars, avec une augmentation potentielle de 185 millions de dollars, et leur travail se poursuivra jusqu'en décembre 2024 à Pascagoula, dans le Mississippi.
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