Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce jeudi, le moral ayant retrouvé des couleurs grâce à l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale pourrait incessamment procéder à de nouveaux accomodements, tandis que les observateurs guettaient la série de résultats américains du jour.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.23%.
Le compte-rendu de la réunion Fed avait en effet laissé entendre que de nombreux membres de son conseil estimaient que davantage d'accomodements pourraient être nécessaires "dans un futur assez proche" à moins de voir les preuves d'un renforcement "substantiel et durable" de la relance économique.
Les rumeurs à propos d'une troisième salve d'accomodements de sa part ont ainsi éclipsé des résultats peu encourageants provenant de la zone euro et de la Chine.
L'activité manufacturière de la première a en effet progressé en août, tout en demeurant en territoire négatif pour le douzième mois d'affilée, tandis que celle du secteur tertiaire s'était dans le même temps détériorée vers son niveau le plus bas depuis juin.
Mais des chiffres provenant de la seconde aient montré en début de matinée que l'activité manufacturière y avait subi en août un ralentissement jusqu'à son niveau le plus bas en neuf mois, ravivant du même coup les craintes d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
Les compagnies aériennes étaient attendues sur le devant de la scène, après que l'australien Qantas ait enregistré ses premières pertes annuelles depuis au moins 17 ans, le forçant à annuler la commande d'une nouvelle flotte de 35 appareils Boeing 787-9, d'une valeur de 8.5 milliards d'USD.
L'association des travailleurs de l'ingénierie aéronautique, second syndicat de ce dernier, a d'autre part affirmé avoir porté plainte contre celui-ci, invoquant une violation du droit du travail lors d'une assemblée des employés.
Le constructeur aérien se trouvait également sur la liste de compagnies mentionnées dans une règlementation adoptées hier par le gendarme boursier américain comme devant surveiller ses achats de quatre métaux afin de s'assurer que ceux-ci ne servaient pas à financer des actions contraires aux Droits de l'Homme en Afrique.
Celui-ci a ainsi décidé que les entreprises fabriquantt des produits à partir d'étain, de tantale, de tungstène et d'or devaient procéder à des tentatives "raisonnables" de déterminer si ces matières premières provenaient des mines de la République Démocratique du Congo soutenant des groupes armés.
Apple, qui se trouvait aussi dans la liste, devrait encore poursuivre son ascension aujourd'hui, prennat 0.52% avant les prremières transactions, tandis que les jurés devaient procéder à leur seconde journée de délibérations dans le procès en violation de brevets intenté à son rival coréen Samsung Electronics et portant sur plusieurs milliards de dollars.
Toujours dans le domaine technologique, l'assembleur d'ordinateurs Hewlett-Packard a plongé de 5.36% en pré-ouverture, après avoir encore subi un trimestre de ralentissement de la demande informatique des particuliers et pour les services destinés aux entreprises.
Un article de l'agence de presse Bloomberg estimait de plus que ces performances décevantes illustraient les difficultés rencontrées par sa directrice générale Meg Whitman pour entamer un redressement.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Hormel Foods, Big Lots et Salesforce.com, dont les résultats devraient être divulgués en fin de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles en hausse modeste, l'EURO STOXX 50 avançant de 0.11%, le CAC 40 français de 0.15%, le DAX 30 allemand de 0.17% et le FTSE 100 britannique de 0.4%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait bondi de 1.23%, et le Nikkei 225 japonais de 0.51%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté dévoiler dans l'après-midi avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, suivi par l'évaluation préliminaire de l'activité du secteur industriel, et leur volume officiel des ventes de logements neufs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.23%.
Le compte-rendu de la réunion Fed avait en effet laissé entendre que de nombreux membres de son conseil estimaient que davantage d'accomodements pourraient être nécessaires "dans un futur assez proche" à moins de voir les preuves d'un renforcement "substantiel et durable" de la relance économique.
Les rumeurs à propos d'une troisième salve d'accomodements de sa part ont ainsi éclipsé des résultats peu encourageants provenant de la zone euro et de la Chine.
L'activité manufacturière de la première a en effet progressé en août, tout en demeurant en territoire négatif pour le douzième mois d'affilée, tandis que celle du secteur tertiaire s'était dans le même temps détériorée vers son niveau le plus bas depuis juin.
Mais des chiffres provenant de la seconde aient montré en début de matinée que l'activité manufacturière y avait subi en août un ralentissement jusqu'à son niveau le plus bas en neuf mois, ravivant du même coup les craintes d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
Les compagnies aériennes étaient attendues sur le devant de la scène, après que l'australien Qantas ait enregistré ses premières pertes annuelles depuis au moins 17 ans, le forçant à annuler la commande d'une nouvelle flotte de 35 appareils Boeing 787-9, d'une valeur de 8.5 milliards d'USD.
L'association des travailleurs de l'ingénierie aéronautique, second syndicat de ce dernier, a d'autre part affirmé avoir porté plainte contre celui-ci, invoquant une violation du droit du travail lors d'une assemblée des employés.
Le constructeur aérien se trouvait également sur la liste de compagnies mentionnées dans une règlementation adoptées hier par le gendarme boursier américain comme devant surveiller ses achats de quatre métaux afin de s'assurer que ceux-ci ne servaient pas à financer des actions contraires aux Droits de l'Homme en Afrique.
Celui-ci a ainsi décidé que les entreprises fabriquantt des produits à partir d'étain, de tantale, de tungstène et d'or devaient procéder à des tentatives "raisonnables" de déterminer si ces matières premières provenaient des mines de la République Démocratique du Congo soutenant des groupes armés.
Apple, qui se trouvait aussi dans la liste, devrait encore poursuivre son ascension aujourd'hui, prennat 0.52% avant les prremières transactions, tandis que les jurés devaient procéder à leur seconde journée de délibérations dans le procès en violation de brevets intenté à son rival coréen Samsung Electronics et portant sur plusieurs milliards de dollars.
Toujours dans le domaine technologique, l'assembleur d'ordinateurs Hewlett-Packard a plongé de 5.36% en pré-ouverture, après avoir encore subi un trimestre de ralentissement de la demande informatique des particuliers et pour les services destinés aux entreprises.
Un article de l'agence de presse Bloomberg estimait de plus que ces performances décevantes illustraient les difficultés rencontrées par sa directrice générale Meg Whitman pour entamer un redressement.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Hormel Foods, Big Lots et Salesforce.com, dont les résultats devraient être divulgués en fin de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles en hausse modeste, l'EURO STOXX 50 avançant de 0.11%, le CAC 40 français de 0.15%, le DAX 30 allemand de 0.17% et le FTSE 100 britannique de 0.4%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait bondi de 1.23%, et le Nikkei 225 japonais de 0.51%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté dévoiler dans l'après-midi avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, suivi par l'évaluation préliminaire de l'activité du secteur industriel, et leur volume officiel des ventes de logements neufs.