Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture pessimiste ce jeudi, la prudence étant de rigueur sur fond de rumeurs affirmant que la Réserve Fédérale pourrait mettre fin à son programme d'achats d'actifs plus tôt qu'anticipé.
L'évolution des prix à la consommation, ainsi que le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage des Etats-Unis seront surveillées de près cet après-midi, les observateurs cherchant à prendre le pouls de l'économie nationale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.3%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.5%.
Elles avaient subi hier de lourdes partes après que le récit détaillé de la réunion du conseil directeur de la banque centrale américaine ayant eu lieu en janvier ait indiqué que ses membres avaient envisagé de ralentir, voire d'arrêter les acquisitions d'obligations avant même que le marché du travail ne reprenne des couleurs, par peur qu'elles destabilisent les marchés financiers.
Le mouvement s'est accentué après que l'activité des usines et des prestataires de services de la zone euro pour février ait déçu.
Les opérateurs en surveillaient d'autant plus les performances nationales, lesquelles seront complétées par les spécialistes de l'immobilier, divulguant les chiffres de ventes de logements d'occasion, en attendant de connaître l'évolution de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
Parmi les bilans à vennir, Wal-Mart plongeait de 0.7% en pré-ouverture dans l'expectative de l'annonce de ses rentrées, qui devrait précéder le lancement des hostilités.
Tesla Motors s'effondrait pour sa part de 6% suite à des pertes ajustées dépassant les craintes dévoilées après la clôture d'hier.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter l'American International Group, géant des assurances, et les ordinateurs Hewlett-Packard, dont les résultats seront dévoilés après la fin des transactions.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt à la baisse, en raison des chiffres décevants provenant de France et d'Allemagne, mais aussi de l'angoisse d'une interruption des injections de liquidités de la Fed.
La circonspection restait également de rigueur à l'approche des élections législatives italiennes à l'horizon de la fin du mois, avec la peur qu'un parlement sans majorité claire ne freine l'avancée des réformes économiques.
L'EURO STOXX 50 chutait de 0.2%, et le CAC 40 français aussi, mais le DAX 30 allemand arrachait 0.2 et le FTSE 100 britannique 0.3%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong sombrait de 1.8%, et le Nikkei 225 japonais de 1.4%, dans l'ombre d'une fermeture des robinets de capitaux américains et d'un durcissement de la politique monétaire chinoise.
L'évolution des prix à la consommation, ainsi que le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage des Etats-Unis seront surveillées de près cet après-midi, les observateurs cherchant à prendre le pouls de l'économie nationale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.3%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.5%.
Elles avaient subi hier de lourdes partes après que le récit détaillé de la réunion du conseil directeur de la banque centrale américaine ayant eu lieu en janvier ait indiqué que ses membres avaient envisagé de ralentir, voire d'arrêter les acquisitions d'obligations avant même que le marché du travail ne reprenne des couleurs, par peur qu'elles destabilisent les marchés financiers.
Le mouvement s'est accentué après que l'activité des usines et des prestataires de services de la zone euro pour février ait déçu.
Les opérateurs en surveillaient d'autant plus les performances nationales, lesquelles seront complétées par les spécialistes de l'immobilier, divulguant les chiffres de ventes de logements d'occasion, en attendant de connaître l'évolution de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
Parmi les bilans à vennir, Wal-Mart plongeait de 0.7% en pré-ouverture dans l'expectative de l'annonce de ses rentrées, qui devrait précéder le lancement des hostilités.
Tesla Motors s'effondrait pour sa part de 6% suite à des pertes ajustées dépassant les craintes dévoilées après la clôture d'hier.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter l'American International Group, géant des assurances, et les ordinateurs Hewlett-Packard, dont les résultats seront dévoilés après la fin des transactions.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt à la baisse, en raison des chiffres décevants provenant de France et d'Allemagne, mais aussi de l'angoisse d'une interruption des injections de liquidités de la Fed.
La circonspection restait également de rigueur à l'approche des élections législatives italiennes à l'horizon de la fin du mois, avec la peur qu'un parlement sans majorité claire ne freine l'avancée des réformes économiques.
L'EURO STOXX 50 chutait de 0.2%, et le CAC 40 français aussi, mais le DAX 30 allemand arrachait 0.2 et le FTSE 100 britannique 0.3%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong sombrait de 1.8%, et le Nikkei 225 japonais de 1.4%, dans l'ombre d'une fermeture des robinets de capitaux américains et d'un durcissement de la politique monétaire chinoise.