Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme malgré la prudence dominante ce mercredi, soutenues par l'avancée des valeurs financières malgré la persistance des craintes dûes aux problèmes fiscaux espagnols, tandis que les obseervateurs guettaient les mises aux enchères de dettes italiennes et allemandes de la mi-journée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.89%, le CAC 40 français de 0.67%, et le DAX 30 allemand de 0.83%.
L'angoisse que le plan de secours au secteur bancaire de l'Espagne ne vienne alourdir le fardeau de son surendettement a poussé hier les taux de ses obligations décennales jusqu'à 6.82%, leur plus haut niveau depuis l'adoption de l'euro, frôlant le seuil critique des 7% au-delà duquel la Grèce, l'Irlande et le Portugal ont dû demander de l'aide.
Tous les yeux étaient tournés vers le nouveau scrutin législatif grec de dimanche, où les partis opposés au programme de rigueur et ceux qui y sont favorables étant au coude-à-coude dans les sondages, alimentant la peurr que le pays ne se retrouve hors du bloc euro.
La finance était donc largement en forme, l'italien Intesa Sanpaolo progressant de 1.51%, et Unicredit de 1.01%, alors que de plus en plus d'yeux scrutaient l'état des caisses du pays, dont les coûts des emprunts se sont situés hier à 6.27%, se rapprochant dangereusement de la barre fatidique des 7% estimés intenables sur le long terme.
BNP Paribas et Société Générale, leurs deux plus gros collègues français, ont respectivement pris 0.85et 1.43%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank n'étant pas en reste avec 1.1 et 0.67%.
Le revendeur de vêtements Inditex se trouvait parmi le peloton de tête, s'envolant de 8.29% après avoir annoncé 30% de bénéfices supplémentaires au premier trimestre, dépassant ainsi les attentes grâce à l'ouverture de nouveaux établissements en Asie.
Air France a pour sa part engrangé 1.27% après que le journal français Les Echos ait rapporté dans la soirée d'hier que la compagnie aérienne était en négociations avec Etihad Airways afin d'établir une alliance commerciale.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.63%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a avancé de 1.78%, et la Royal Bank of Scotland de 1.49%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings se contentaient de 0.94 et 0.32%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton étaient aussi de la fête avec 0.71 et 0.36%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys grignotant 0.18 et 0.57% grâce à la hausse des cours du métal rouge.
Le secteur énergétique n'était pas à négliger, Anglo American suivant la tendance avec 1.1% et BP aussi avec 0.1%.
Les supermarchés britanniques J. Sainsbury Plc. ont par contre dégringolé de 2.47% après avoir pourtant fait savoir que les rentrées de ses magasins ouverts depuis au moins un an avaient gonflé de 1.4% hors recettes dûes au carburant au cours de la période de douze semaines achevée le 9 juin.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois nettement moins optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.09% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.07%.
L'Italie devrait émettre aujourd'hui jusqu'à 4.5 milliards d'euros en bons du trésor, tandis que la zone euro dévoilera les chiffres officiels de sa production industrielle, et que l'Allemagne mettra aux enchères des dettes échéant dans dix ans.
Les Etats-Unis feront de même concernant le volume des ventes au détail mesuré par leurs autorités ainsi que l'évolution des prix à la production.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.89%, le CAC 40 français de 0.67%, et le DAX 30 allemand de 0.83%.
L'angoisse que le plan de secours au secteur bancaire de l'Espagne ne vienne alourdir le fardeau de son surendettement a poussé hier les taux de ses obligations décennales jusqu'à 6.82%, leur plus haut niveau depuis l'adoption de l'euro, frôlant le seuil critique des 7% au-delà duquel la Grèce, l'Irlande et le Portugal ont dû demander de l'aide.
Tous les yeux étaient tournés vers le nouveau scrutin législatif grec de dimanche, où les partis opposés au programme de rigueur et ceux qui y sont favorables étant au coude-à-coude dans les sondages, alimentant la peurr que le pays ne se retrouve hors du bloc euro.
La finance était donc largement en forme, l'italien Intesa Sanpaolo progressant de 1.51%, et Unicredit de 1.01%, alors que de plus en plus d'yeux scrutaient l'état des caisses du pays, dont les coûts des emprunts se sont situés hier à 6.27%, se rapprochant dangereusement de la barre fatidique des 7% estimés intenables sur le long terme.
BNP Paribas et Société Générale, leurs deux plus gros collègues français, ont respectivement pris 0.85et 1.43%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank n'étant pas en reste avec 1.1 et 0.67%.
Le revendeur de vêtements Inditex se trouvait parmi le peloton de tête, s'envolant de 8.29% après avoir annoncé 30% de bénéfices supplémentaires au premier trimestre, dépassant ainsi les attentes grâce à l'ouverture de nouveaux établissements en Asie.
Air France a pour sa part engrangé 1.27% après que le journal français Les Echos ait rapporté dans la soirée d'hier que la compagnie aérienne était en négociations avec Etihad Airways afin d'établir une alliance commerciale.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.63%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a avancé de 1.78%, et la Royal Bank of Scotland de 1.49%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings se contentaient de 0.94 et 0.32%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton étaient aussi de la fête avec 0.71 et 0.36%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys grignotant 0.18 et 0.57% grâce à la hausse des cours du métal rouge.
Le secteur énergétique n'était pas à négliger, Anglo American suivant la tendance avec 1.1% et BP aussi avec 0.1%.
Les supermarchés britanniques J. Sainsbury Plc. ont par contre dégringolé de 2.47% après avoir pourtant fait savoir que les rentrées de ses magasins ouverts depuis au moins un an avaient gonflé de 1.4% hors recettes dûes au carburant au cours de la période de douze semaines achevée le 9 juin.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois nettement moins optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.09% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.07%.
L'Italie devrait émettre aujourd'hui jusqu'à 4.5 milliards d'euros en bons du trésor, tandis que la zone euro dévoilera les chiffres officiels de sa production industrielle, et que l'Allemagne mettra aux enchères des dettes échéant dans dix ans.
Les Etats-Unis feront de même concernant le volume des ventes au détail mesuré par leurs autorités ainsi que l'évolution des prix à la production.