Investing.com - Les bourses européennes étaient en net recul ce mardi, l'angoisse persistante découlant des effets de la crise de la dette en zone euro sur les persspectives de croissance assombrissant l'atmosphère.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 1.12%, le CAC 40 français de 0.9%, et le DAX 30 allemand de 1.16%.
Le moral s'est retrouvé malmené après que la Chine ait revu à la baisse ses prévisions de croissance, et que des résultats pointent du doigt un possible retour en récession de la zone euro.
Une étude avait montré hier que l'activité du secteur tertiaire de la région avait davantage reculé en février que redouté, diminuant pour le cinquième mois sur les six derniers, tandis que la confiance des investisseurs pour mars dans la zone euro avait moins progressé qu'espéré, demeurant en territoire négatif pour le huitième mois d'affilée.
Les acteurs des marchés restaient sur les nerfs en attendant la date butoir du 8 mars avant laquelle les détenteurs d'obligations hellènes pourront se joindre à la manoeuvre de substitution des bons du trésor qu'ils détiennent contre d'autres.
La finance s'en est ressentie, les banques françaises Société Générale et BNP Paribas plonggeant de 1.96 et 1.2%, et les allemandes Deutsche Bank et Commerzbank de 1.52 et 3.9%.
Les constructeurs automobiles ont également souffert, avec une plongée de 4.47% de Peugeot, second du secteur sur l'Europe, ayant annoncé vouloir lever environ 1 milliard d'euros avec une offre sur les droits, qui seront utilisés pour des projets avec General Motors.
La fournisseuse d'électricité allemande RWE a aussi suivi le mouvement, glissant de 1.4% suite à la chute de ses revenus nets fixes annuels de 3.75 à 2.48 milliards d'euros.
A Londres, le FTSE 100 a cédé 0.55%, après que des informations émanant de spécialistes aient montré que les prix des logements britanniques avaient subi en février un revers inattendu.
Les prêteurs de Grande-Bretagne ont quand à eux suivi le chemin descendant tracé par leurs homologues continentaux, Lloyds Banking s'effondrant de 1.49%, la Royal Bank of Scotland de 1.17%, HSBC Holdings et Barclays limitant les dégâts à 1.02 et 1.06%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont de leur côté fondu de 0.94 et 0.65%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys sombrant de 0.81 et 2.29%.
Les perspectives des marchés américains étaient également pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une diminution de 0.52%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.57% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.5%.
Le premier ministre portugais Pedro Passos Coelho a pour sa part déclaré aujourd'hui qu'il n'imiterait pas son homologue espagnol et ne laisserait pas déraper les déficits pour lutter contre l'aggravation de la récession.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 1.12%, le CAC 40 français de 0.9%, et le DAX 30 allemand de 1.16%.
Le moral s'est retrouvé malmené après que la Chine ait revu à la baisse ses prévisions de croissance, et que des résultats pointent du doigt un possible retour en récession de la zone euro.
Une étude avait montré hier que l'activité du secteur tertiaire de la région avait davantage reculé en février que redouté, diminuant pour le cinquième mois sur les six derniers, tandis que la confiance des investisseurs pour mars dans la zone euro avait moins progressé qu'espéré, demeurant en territoire négatif pour le huitième mois d'affilée.
Les acteurs des marchés restaient sur les nerfs en attendant la date butoir du 8 mars avant laquelle les détenteurs d'obligations hellènes pourront se joindre à la manoeuvre de substitution des bons du trésor qu'ils détiennent contre d'autres.
La finance s'en est ressentie, les banques françaises Société Générale et BNP Paribas plonggeant de 1.96 et 1.2%, et les allemandes Deutsche Bank et Commerzbank de 1.52 et 3.9%.
Les constructeurs automobiles ont également souffert, avec une plongée de 4.47% de Peugeot, second du secteur sur l'Europe, ayant annoncé vouloir lever environ 1 milliard d'euros avec une offre sur les droits, qui seront utilisés pour des projets avec General Motors.
La fournisseuse d'électricité allemande RWE a aussi suivi le mouvement, glissant de 1.4% suite à la chute de ses revenus nets fixes annuels de 3.75 à 2.48 milliards d'euros.
A Londres, le FTSE 100 a cédé 0.55%, après que des informations émanant de spécialistes aient montré que les prix des logements britanniques avaient subi en février un revers inattendu.
Les prêteurs de Grande-Bretagne ont quand à eux suivi le chemin descendant tracé par leurs homologues continentaux, Lloyds Banking s'effondrant de 1.49%, la Royal Bank of Scotland de 1.17%, HSBC Holdings et Barclays limitant les dégâts à 1.02 et 1.06%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont de leur côté fondu de 0.94 et 0.65%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys sombrant de 0.81 et 2.29%.
Les perspectives des marchés américains étaient également pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une diminution de 0.52%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.57% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.5%.
Le premier ministre portugais Pedro Passos Coelho a pour sa part déclaré aujourd'hui qu'il n'imiterait pas son homologue espagnol et ne laisserait pas déraper les déficits pour lutter contre l'aggravation de la récession.