Investing.com - Les bourses asiatiques étaient largement à la baisse ce lundi, sur fond de craintes concernant le rythme de la reprise économique américaine, après le rapport décevant rendu vendredi sur la masse salariale non agricole, mais aussi de retour du spectre de la contamination de la zone euro par la crise de la dette.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 1.5%, l'indice composite sud-coréen Kospi 1.06% et le Nikkei 225 japonais 0.7%.
Le département d'état au travail a en effet annoncé que le nombre des postes n'avait augmenté que de 18 000 unités pour le mois, soit nettement moins que les 89 000 prédits par les experts, les employeurs réalisant leur plus faible score d'embauches en neuf mois, tandis que le taux de chômage s'élevait à 9.2%, son plus haut niveau en six mois.
Ces résultats peu encourageants ont pesé sur les exportateurs japonais, Mitsubishi Motors perdant 1.9%, le fabricant d'appareils photo numériques Nikon 1.4% et le fournisseur de composants électroniques Tokyo Electron 2.85%.
Elpida Memory, premier fournisseur de semiconducteurs de l'archipel, a plongé de 13.3% après avoir déclaré vendredi que ses commandes d'avril à juin pour ses outils de production avaient perdu près de 34% sur le trimestre.
A Hong Kong, le secteur financier s'est retrouvé en recul après que des résultats officiels aient ontré que le prix au détail chinois avaient bondi de 6.4% en juin, réalisant leur progression la plus rapide en trois ans, et ce malgré les efforts déployés par Pékin pour juguler celle-ci.
La China Construction Bank a ainsi dégringolé de 2.2%, la Bank of China de 2.3% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur national, de 1.9%.
Le S&P/ASX 200 australien a quand à lui perdu 1.5% après que le premier ministre Julia Gillard ait dévoilé une proposition de loi visant à faire payer aux 500 plus gros pollueurs nationaux une taxe pour chaque tonne de dioxyde de carbone émise.
Les compagnies charbonnières et sidérurgiques se sont trouvées affectées par la nouvelle, Bluescope Steel s'effondrant de 6.7% et Aquila Resources de 5%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement pessimiste à l'approche de la réunion des hauts représentants des pays de l'Union Européenne destinée à discuter d'un second plan de sauvetage pour la Grèce et de la menace d'une extension du problème de la dette vers l'Italie.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant un déclin de 0.95%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.9%, celles sur le DAX allemand à 0.8% et sur le FTSE 100 britannique à 0.6%.
La France avait pour sa part prévu de publier les chiffres officiels de sa production industrielle en cours de journée.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 1.5%, l'indice composite sud-coréen Kospi 1.06% et le Nikkei 225 japonais 0.7%.
Le département d'état au travail a en effet annoncé que le nombre des postes n'avait augmenté que de 18 000 unités pour le mois, soit nettement moins que les 89 000 prédits par les experts, les employeurs réalisant leur plus faible score d'embauches en neuf mois, tandis que le taux de chômage s'élevait à 9.2%, son plus haut niveau en six mois.
Ces résultats peu encourageants ont pesé sur les exportateurs japonais, Mitsubishi Motors perdant 1.9%, le fabricant d'appareils photo numériques Nikon 1.4% et le fournisseur de composants électroniques Tokyo Electron 2.85%.
Elpida Memory, premier fournisseur de semiconducteurs de l'archipel, a plongé de 13.3% après avoir déclaré vendredi que ses commandes d'avril à juin pour ses outils de production avaient perdu près de 34% sur le trimestre.
A Hong Kong, le secteur financier s'est retrouvé en recul après que des résultats officiels aient ontré que le prix au détail chinois avaient bondi de 6.4% en juin, réalisant leur progression la plus rapide en trois ans, et ce malgré les efforts déployés par Pékin pour juguler celle-ci.
La China Construction Bank a ainsi dégringolé de 2.2%, la Bank of China de 2.3% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur national, de 1.9%.
Le S&P/ASX 200 australien a quand à lui perdu 1.5% après que le premier ministre Julia Gillard ait dévoilé une proposition de loi visant à faire payer aux 500 plus gros pollueurs nationaux une taxe pour chaque tonne de dioxyde de carbone émise.
Les compagnies charbonnières et sidérurgiques se sont trouvées affectées par la nouvelle, Bluescope Steel s'effondrant de 6.7% et Aquila Resources de 5%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement pessimiste à l'approche de la réunion des hauts représentants des pays de l'Union Européenne destinée à discuter d'un second plan de sauvetage pour la Grèce et de la menace d'une extension du problème de la dette vers l'Italie.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant un déclin de 0.95%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.9%, celles sur le DAX allemand à 0.8% et sur le FTSE 100 britannique à 0.6%.
La France avait pour sa part prévu de publier les chiffres officiels de sa production industrielle en cours de journée.