Investing.com - Les places asiatiques étaient sur la défensive lors des transactions raréfiées par les congés de ce lundi matin, les incertitudes grandissantes concernant la capacité des élus des Etats-Unis à éviter l'épée de Damoclès budgétaire suspendue au-dessus du pays nuisant à la popularité des valeurs audacieuses.
Mais elles se sont toutefois extirpées de leurs ornières journalières après qu'il ait été révélé à l'aube que l'activité manufacturière chinoise avait connu en décembre sa plus forte expansion des 19 mois écoulés.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong glissait de 0.2%, et l'ASX/200 australien de 0.5%, au cours de sessions écourtées à la veille des fêtes de fin d'année.
Tokyo restait cependant close pour quatre jours, avec une réouverture prévue vendredi, le Nikkei 225 clôturant l'année 2012 avec pas moins de 22.9% de progression annuelle.
Le mur fiscal menaçant la relance des Etats-Unis, qui découlerait de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires pour un total d'environ 600 milliards d'USD restait au centre des débats, à l'approche du premier janvier où il prendra effet, à moins que les deux factions politiques se partageant le pouvoir trouvent un compromis la manière de juguler les déficits en douceur.
Le président américain Barack Obama avait rencontré vendredi après midi les chefs des différentes faction parlementaires à la Maison Blanche, mais aucun consensus n'a pu être dégagé malgré le spectre de la date fatidique.
Harry Reid, chef de file du groupe majoritaire démocrate du sénat, a déclaré que ce dernier reprendrait du service aujourd'hui pour poursuivre les pourparlers, mais que les oppositions demeuraient fortes.
En l'absence d'un terrain d'entente, un retour en récession national serait fortement probable, tirant le reste du monde vers le bas.
Hong Kong hésitait pour sa part entre légers gains et pertes minimales, de nombreux investisseurs estimant urgent d'attendre l'année prochaine.
Un rapport de la HSBC avait en effet indiqué ce matin que les usines chinoises avaient vu leur activité réaliser pour le dernier mois de l'année leur plus grand bond en avant depuis mai 2011, la valeur définitive de son indice des directeurs des achats passant ainsi de 50.5 à 51.5.
Le poids lourd bancaire laissait par contre lui-même échapper 0.8%, le premier établissement financier d'Europe pesant pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Ce dernier aura du coup engrangé près de 23% en cours d'année.
Sydney voyait par contre l'ASX/200 en berne au fil d'un marché clairsemé, gardant les yeux sur les tractations à Washington.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient notamment à la peine, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant tous deux de 0.8% et Newcrest Mining de 1.5%.
L'indice phare national aura tout de même empoché 14.6% sur l'année.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose, celles-ci partageant les incertitudes globales au sujet des Etats-Unis.
Les places boursières d'Allemagne devraient demeurer closes en cette veille du nouvel an, tandis que Wall Street rendra la main de manière anticipée à 13:30 locales, soit 18:30 en temps universel.
Le CAC 40 français ouvrait avec un plongeon de 0.6%, et le FTSE 100 britannique ne faisait guère moins mal avec 0.5%.
Le volume des transactions semblait toutefois devoir rester peu important, en raison de débouclages assurant les plus-values avant la fin d'année, limitant les flux de capitaux et pouvant entraîner des évolutions rapides.
Mais elles se sont toutefois extirpées de leurs ornières journalières après qu'il ait été révélé à l'aube que l'activité manufacturière chinoise avait connu en décembre sa plus forte expansion des 19 mois écoulés.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong glissait de 0.2%, et l'ASX/200 australien de 0.5%, au cours de sessions écourtées à la veille des fêtes de fin d'année.
Tokyo restait cependant close pour quatre jours, avec une réouverture prévue vendredi, le Nikkei 225 clôturant l'année 2012 avec pas moins de 22.9% de progression annuelle.
Le mur fiscal menaçant la relance des Etats-Unis, qui découlerait de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires pour un total d'environ 600 milliards d'USD restait au centre des débats, à l'approche du premier janvier où il prendra effet, à moins que les deux factions politiques se partageant le pouvoir trouvent un compromis la manière de juguler les déficits en douceur.
Le président américain Barack Obama avait rencontré vendredi après midi les chefs des différentes faction parlementaires à la Maison Blanche, mais aucun consensus n'a pu être dégagé malgré le spectre de la date fatidique.
Harry Reid, chef de file du groupe majoritaire démocrate du sénat, a déclaré que ce dernier reprendrait du service aujourd'hui pour poursuivre les pourparlers, mais que les oppositions demeuraient fortes.
En l'absence d'un terrain d'entente, un retour en récession national serait fortement probable, tirant le reste du monde vers le bas.
Hong Kong hésitait pour sa part entre légers gains et pertes minimales, de nombreux investisseurs estimant urgent d'attendre l'année prochaine.
Un rapport de la HSBC avait en effet indiqué ce matin que les usines chinoises avaient vu leur activité réaliser pour le dernier mois de l'année leur plus grand bond en avant depuis mai 2011, la valeur définitive de son indice des directeurs des achats passant ainsi de 50.5 à 51.5.
Le poids lourd bancaire laissait par contre lui-même échapper 0.8%, le premier établissement financier d'Europe pesant pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Ce dernier aura du coup engrangé près de 23% en cours d'année.
Sydney voyait par contre l'ASX/200 en berne au fil d'un marché clairsemé, gardant les yeux sur les tractations à Washington.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient notamment à la peine, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant tous deux de 0.8% et Newcrest Mining de 1.5%.
L'indice phare national aura tout de même empoché 14.6% sur l'année.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose, celles-ci partageant les incertitudes globales au sujet des Etats-Unis.
Les places boursières d'Allemagne devraient demeurer closes en cette veille du nouvel an, tandis que Wall Street rendra la main de manière anticipée à 13:30 locales, soit 18:30 en temps universel.
Le CAC 40 français ouvrait avec un plongeon de 0.6%, et le FTSE 100 britannique ne faisait guère moins mal avec 0.5%.
Le volume des transactions semblait toutefois devoir rester peu important, en raison de débouclages assurant les plus-values avant la fin d'année, limitant les flux de capitaux et pouvant entraîner des évolutions rapides.